Un grand «ouf» de soulagement a été poussé par les syndicats du secteur de la santé suite à l’adoption de ces textes, reportés à plusieurs reprises et attendus depuis près de 15 ans…
Une première depuis la naissance de cette confédération. Des représentants de la Confédération des syndicats algériens (CSA) ont été reçus, lundi dernier, par le ministre du Travail de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Fayçal Bentaleb.
La grève à laquelle ont appelé quatre syndicats de l’éducation nationale a été timidement suivie. Les trois paliers étaient concernés par l’appel à la grève lancé par le Conseil national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Cnapest), le Conseil des enseignants des lycées d’Algérie (CELA) et le Syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Snapest) et l’Organisation algérienne des enseignants.
Quatre syndicats du secteur de l’éducation menacent de mener une grève les 28 et 29 avril, ont-ils annoncé dans un communiqué transmis hier à notre rédaction.
Le flou qui entoure l’élaboration du statut particulier des enseignants de l’éducation nationale aggrave les appréhensions des syndicats du secteur.
Le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belaabed, s’est montré rassurant, jeudi, à l’égard des syndicats, qui ont exprimé leur déception suite au report de la présentation du projet de Loi fondamentale sur les statuts et le régime indemnitaire des corps spécifiques de l’éducation nationale.
Deuxième report en deux mois ! Les projets du statut et du régime indemnitaire des travailleurs de l’éducation nationale sont renvoyés à nouveau pour enrichissement.
Des syndicats du secteur de l’éducation nationale montent au créneau pour dénoncer ce qu’ils appellent «l’opacité» dans l’élaboration du projet de statut particulier des enseignants.
Le chef de l’Etat a jugé utile, lors de la tenue d’une réunion du Conseil des ministres, fin décembre dernier, d’enrichir les projets de loi relatifs aux statuts et régimes indemnitaires des corps relevant de plusieurs secteurs, notamment celui de la santé, de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur…
Les n°1 des syndicats français CFDT et de la CGT, des responsables d’associations de lutte contre la précarité ou de défense des droits des étrangers et des universitaires ont demandé, hier, au président Emmanuel Macron le retrait du projet de loi immigration, «tache indélébile sur nos principes républicains».
Qualifiée de «Conférence humanitaire indépendante», l’initiative algérienne devant aboutir à l’élaboration d’une plainte devant la Cour pénale internationale (CPI) contre l’entité sioniste pour les crimes génocidaires commis contre les Palestiniens a drainé plus de 500 avocats, magistrats et professionnels du droit, algériens, mauritaniens, tunisiens, libyens, jordaniens, palestiniens et français. Très engagé dans cette action, Laidi Aoudeche, président du Syndicat national des magistrats (SNM), revient dans cet entretien sur la conférence, les objectifs, le rôle du SNM dans cette action, la procédure devant la CPI et les chances d’aboutissement de celle-ci.
La Confédération des syndicats autonomes algériens (CSA) dénonce l’attitude du ministère de Travail refusant de donner suite à sa demande d’agrément déposée depuis plusieurs mois.
Les travailleurs du secteur de l’éducation nationale attendent depuis plusieurs années la révision des statuts particuliers régissant leur corporation. Ce retard inquiète les organisations syndicales de ce secteur.
Les syndicats autonomes du secteur de l’éducation livrent leurs appréciations sur le taux de réussite au bac et plaident pour une refonte totale du système de l'éducation nationale.
Aucun travailleur «soumis à la volonté d'une machine» : la patronne des syndicats européens Esther Lynch appelle l'UE à «garantir un principe de contrôle humain», sur les technologies d'intelligence artificielle en plein essor.
Plusieurs organisations syndicales du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique se sont félicitées des décisions prises par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, lors de la réunion du Conseil des ministres qu’il a présidée dimanche, portant révision du statut des enseignants du supérieur et révision des salaires des enseignants du supérieur et des chercheurs universitaires, tous grades scientifiques confondus, les qualifiant de «bond qualitatif» sur la voie de la promotion de l’université algérienne.
Un 1er mai plutôt morose à Tunis en cette année 2023. Pourtant, c’est la pleine crise socioéconomique et financière. Et cette date est synonyme ces dernières années de discours incendiaires des dirigeants syndicalistes pour exprimer leurs revendications.
A la veille du 1er mai, Journée internationale du travailleurs, le Front des forces socialistes (FFS) a organisé, au siège du parti, une conférence-débat consacrée à «la situation sociale et pouvoir d’achat, ainsi que les droits des travailleurs et libertés syndicales».
L'impopulaire réforme des retraites et sa mesure phare, le recul de l'âge de départ à 64 ans, ont été validées vendredi par le Conseil Constitutionnel français, au grand dam des oppositions et des syndicats, déterminés à continuer à combattre ce projet emblématique du président Macron.
Déplorant un «mépris» et une «fébrilité», le n° 1 du Parti socialiste, Olivier Faure, a promis un «harcèlement démocratique» pour revenir sur le recul de l’âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans.