Qualifiée de «Conférence humanitaire indépendante», l’initiative algérienne devant aboutir à l’élaboration d’une plainte devant la Cour pénale internationale (CPI) contre l’entité sioniste pour les crimes génocidaires commis contre les Palestiniens a drainé plus de 500 avocats, magistrats et professionnels du droit, algériens, mauritaniens, tunisiens, libyens, jordaniens, palestiniens et français. Très engagé dans cette action, Laidi Aoudeche, président du Syndicat national des magistrats (SNM), revient dans cet entretien sur la conférence, les objectifs, le rôle du SNM dans cette action, la procédure devant la CPI et les chances d’aboutissement de celle-ci.
La Confédération des syndicats autonomes algériens (CSA) dénonce l’attitude du ministère de Travail refusant de donner suite à sa demande d’agrément déposée depuis plusieurs mois.
Les travailleurs du secteur de l’éducation nationale attendent depuis plusieurs années la révision des statuts particuliers régissant leur corporation. Ce retard inquiète les organisations syndicales de ce secteur.
Les syndicats autonomes du secteur de l’éducation livrent leurs appréciations sur le taux de réussite au bac et plaident pour une refonte totale du système de l'éducation nationale.
Aucun travailleur «soumis à la volonté d'une machine» : la patronne des syndicats européens Esther Lynch appelle l'UE à «garantir un principe de contrôle humain», sur les technologies d'intelligence artificielle en plein essor.
Plusieurs organisations syndicales du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique se sont félicitées des décisions prises par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, lors de la réunion du Conseil des ministres qu’il a présidée dimanche, portant révision du statut des enseignants du supérieur et révision des salaires des enseignants du supérieur et des chercheurs universitaires, tous grades scientifiques confondus, les qualifiant de «bond qualitatif» sur la voie de la promotion de l’université algérienne.
Un 1er mai plutôt morose à Tunis en cette année 2023. Pourtant, c’est la pleine crise socioéconomique et financière. Et cette date est synonyme ces dernières années de discours incendiaires des dirigeants syndicalistes pour exprimer leurs revendications.
A la veille du 1er mai, Journée internationale du travailleurs, le Front des forces socialistes (FFS) a organisé, au siège du parti, une conférence-débat consacrée à «la situation sociale et pouvoir d’achat, ainsi que les droits des travailleurs et libertés syndicales».
L'impopulaire réforme des retraites et sa mesure phare, le recul de l'âge de départ à 64 ans, ont été validées vendredi par le Conseil Constitutionnel français, au grand dam des oppositions et des syndicats, déterminés à continuer à combattre ce projet emblématique du président Macron.
Déplorant un «mépris» et une «fébrilité», le n° 1 du Parti socialiste, Olivier Faure, a promis un «harcèlement démocratique» pour revenir sur le recul de l’âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans.
La présidente de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA) et présidente de Businessafrica, Saïda Neghza, a appelé à Accra (Ghana), les syndicats et les employeurs africains à améliorer le climat des affaires.
Fin de non-recevoir, hier matin, du gouvernement aux syndicats qui réclamaient le retrait de la loi sur les retraites. Au même moment, le ministre de l’Intérieur défendait le schéma de maintien de l’ordre.
Le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale décide de proroger le délai de déclaration de la représentativité syndicale auprès de l’administration.
Les organisations syndicales des travailleurs salariés et d’employeurs enregistrées doivent produire, avant le 31 mars 2023, les éléments permettant d’apprécier leur représentativité. Le ministère du Travail a en effet rappelé, hier, dans un communiqué, l’obligation pour les syndicats enregistrés de communiquer, au plus tard le 31 mars courant, les éléments permettant d’apprécier leur représentativité syndicale.
Après sept mois de protestation, le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste) affirme être prêt à négocier la fin de ses actions.
Les membres de la Confédération des syndicats autonomes (CSA) affirment que plusieurs secteurs ont été paralysés au deuxième jour de la grève.
Guerre des déclarations ! A moins de quatre jours de la grève générale à laquelle ont appelé une trentaine d’organisations autonomes formant la Confédération des syndicats algériens (CSA), un bras de fer est engagé entre le gouvernement et les initiateurs.
Les travailleurs ont émis un grand espoir sur les promesses faites par le Président et son Premier ministre, qui ont annoncé des augmentations conséquentes et une amélioration du pouvoir d’achat des travailleurs», a indiqué à El Watan le coordinateur de la CSA, Boualem Amoura.
L’ensemble des titulaires des contrats pré-emploi dans le secteur seront régularisés avant la fin de mai 2022. C’est la bonne nouvelle pour des milliers d’employés de l’éducation, qui verront enfin leurs contrats passer du dispositif d’aide à l’insertion professionnelle (DAIP) au régime normal de la Fonction publique.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le président du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef) et frais émoulu coordinateur de la Confédération des syndicats autonomes (CSA), Boualem Amoura, revient sur le constat fait par les syndicats autonomes réunis dernièrement : érosion du pouvoir d’achat et «insignifiances» des dernières augmentations salariales. Pour Amoura, les représentants des travailleurs, réunis au sein de la CSA, plaident pour un SNMG de 80 000 DA. Le syndicaliste est favorable à l’ouverture d’un dialogue «sérieux» afin d’éviter une explosion sociale. «Nous devons être associés à toutes les questions qui concernent la vie et l’avenir des travailleurs. Nous sommes pour l’inclusion et non pour l’exclusion», affirme-t-il.