Cette année, la célébration de la journée mondiale du diabète, dont le slogan choisi est «Diabète et bien-être», s’est faite en deux temps. En effet, c’est en partenariat avec Novo Nordisk Algérie que le ministère de la Santé a d’abord donné, dès le 18 novembre au niveau de la wilaya déléguée de Ksar Chellala, le coup d’envoi des activités de la journée.
C’est suite à des enquêtes minutieuses que les services de la division régionale de la Gendarmerie nationale ont réussi à stopper l’activité d’un atelier «caché», dont le propriétaire fabriquait et imitait des compléments alimentaires, et ce, en l’absence totale des conditions sanitaires appropriées et du non-respect des conditions de conservation des produits destinés à la consommation humaine.
A l’occasion de la Journée mondiale du diabète, l’agence AR Events International, en collaboration avec la Fédération nationale du sport pour tous, organise une course dénommée «Les foulées de la santé et du bien-être» aujourd’hui au niveau du Complexe olympique Mohamed Boudiaf, à Alger.
Même si les cas chez les humains restent rares, les experts craignent une mutation du virus qui lui permettrait de passer d’un humain à un autre.
Après un mois d’activités intenses à travers plusieurs localités et établissements, dans le cadre de la campagne de sensibilisation et de dépistage du mois d’Octobre rose, l’association Tudert a enregistré 74 cas suspects sur 1887 ayant effectué le test de dépistage.
Evoquant le projet de réalisation du centre anticancer d’Amizour, dont l’inauguration du service de radiothérapie devrait intervenir avant la fin de l’année, comme promis par le wali en mai au micro de la radio locale, les membres de l’association Tudert rebondissent sur un autre projet auquel ils tiennent.
Dans cet entretien, le Professeur Abdelhak Lakehal dresse un état des lieux de l’incidence du carcinome hépatocellulaire (CHC) en Algérie, en examinant les facteurs de risque, ainsi que les méthodes de dépistage du cancer du foie en Algérie. Ce thème constituait l’un des axes centraux du Congrès international de l’Association scientifique des pathologies hépatobiliaires et pancréatiques (ASPHP), qui s’est tenu le 31 octobre à l’hôtel Marriott de Constantine.
L’association El Badr d’aide aux malades atteints de cancer vient d’obtenir l’autorisation officielle pour la construction d’un hôpital. «Nous avons obtenu les autorisations la semaine dernière, et nous avons rendez-vous avec l’architecte cette semaine pour convenir d’une date pour poser de la première pierre», a confié Mustapha Moussaoui, président de l’association El Badr.
Le Sommet de Nairobi a constitué une opportunité pour mettre en exergue le rôle régional et international de l’Algérie en matière de production des engrais qui jouent un rôle déterminant pour garantir la sécurité alimentaire, vu les capacités de production considérables dont elle dispose et qui lui ont permis de répondre au marché local et d’approvisionner le marché mondial à hauteur de 7 millions de tonnes/an.
La consommation annuelle de sucre par les Algériens a largement dépassé le seuil des 10 kg par an fixé par l’OMS. La Fédération internationale du diabète (IDF) a classé l’Algérie parmi les pays qui comptent le plus grand nombre de diabétiques au monde.
Depuis le début du XXe siècle, l’Afrique a connu pendant plusieurs décennies un déclin généralisé de la qualité des sols agricoles, un phénomène qui se poursuit aujourd’hui et qui a un impact négatif sur la capacité de production agricole et la sécurité alimentaire du continent.
En visite aujourd'hui dans la wilaya de Boumerdès, le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a insisté sur l’importance de la prévention dans la promotion de la santé en Algérie et la mise en œuvre de la politique adoptée en la matière par les pouvoirs publics.
Pas d’eau ni d’aliments pendant au moins quatorze heures de suite et cela durant tout un mois. Si le jeûne constitue un réel changement dans le régime alimentaire, il perturbe également profondément le métabolisme. Et afin d’éviter tout trouble digestif et autres désagréments et conserver tout de même les bienfaits du ramadan, il est important de traiter le corps avec précaution.
Peut-on considérer le ramadan comme une détox ? Le jeûne est effectivement reconnu pour aider à détoxiquer le corps. N’oublions pas que le foie a pour fonction de nettoyer le corps. Il devient fatigué, voire malade lorsqu’il y a trop de nettoyage à faire et qu’il ne peut plus nettoyer lui-même. Avec le jeûne, il y a détoxination du corps. Il n’y a plus de toxines qui arrivent par le tube digestif. Par ailleurs, le jeûne peut aider à éliminer la graisse corporelle, tout en préservant voire en augmentant la masse musculaire quand une bonne hygiène alimentaire est observée. Des études scientifiques ont montré que pour bénéficier de ces bienfaits du jeûne, il faut que ce dernier dure entre 16 et 20 heures. La surconsommation durant cette période peut entraîner des complications de santé chez les malades chroniques, car l’appareil digestif est forcé au-delà de sa capacité maximale.
Le ministre de la Santé a estimé nécessaire de créer des partenariats économiques pour assurer la couverture des besoins nationaux en vaccins fabriqués localement.
L’Algérie est un pays qui vaccine beaucoup. Nous possédons un des meilleurs programmes de vaccination au monde.
Malgré quelques insuffisances, le Plan d’action des malades (PAM) a tout de même donné des résultats positifs, et cela, en termes d’amélioration du processus de prise en charge du patient et la satisfaction de ses besoins, qu’il s’agisse d’examens médicaux ou d’interventions chirurgicales.»
Chaque année à la veille du 27e jour du mois sacré du Ramadhan, le ministère de la Santé mène une campagne contre les circoncisions de masse ou individuelle sans, au préalable, procéder à un bilan préopératoire.
Le nouveau statut particulier des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires comporte des «acquis importants», dont la reconnaissance de la fonction pédagogique de ces derniers, a affirmé, hier à Alger, le président du Syndicat national des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires (SNECHU), Pr Rachid Belhadj.
Le don de sang est l’histoire de toute l’humanité qui a pris presque 17 siècles de recherche et de contribution de plusieurs civilisations pour comprendre qu’on peut transfuser le sang qui circule en nous d’une personne à une autre et sauver ainsi des vies. Cela n’a pas été facile sur le plan de la recherche, de la médecine et de l’application. Il a fallu ensuite attendre jusqu’au XXe siècle pour découvrir les groupes sanguins et le système rhésus grâce au biologiste et médecin autrichien Karl Landsteiner. Et c’est à partir de là que les secrets de la compatibilité et incompatibilité ont été percés. Depuis, la médecine transfusionnelle a connu beaucoup de progrès. Cependant, au départ, la transfusion était payante et les malades pauvres n’y avaient pas accès. Quant à la première association de donneurs de sang, elle a été créée en Italie en 1927 par Vittorio Formentano, baptisé AVIS. En 2023, l’Organisation mondiale de la santé a révélé des disparités en matière de dons entre les pays riches et les pauvres. On compte 31,5 dons de sang pour 1000 habitants dans les pays à revenu élevé, 16,4 dans les pays à revenu intermédiaire supérieur, 6,6 dans les pays à revenu intermédiaire inférieur et 5 dans les pays à faible revenu. Actuellement, le débat est centré sur la nécessité d’encourager et d’instaurer un don de sang volontaire, altruiste.