La relation médecin-justice est pour l’essentiel normale et nécessaire. La médecine est indispensable dans l’exercice quotidien de la justice, expertise psychiatrique, médecine légale, certificats. Le médecin est dans ce cas un auxiliaire de la justice.
A l’arrivée des grandes chaleurs, c'est la grande souffrance pour les enfants de la lune, particulièrement les scolarisés. Plusieurs d’entre eux abandonnent les bancs de l'école faute de moyens pour se protéger du soleil. Plusieurs parents appellent à l’aide.
Dans cet entretien, Kahina Hadjara, porte-parole de l’Association des enfants de la lune, revient sur la dernière opération de solidarité qui a permis la collecte d’un lot de médicaments. Elle évoque également le plaidoyer qui sera adressé aux ministères de l’Education et de la Santé.
La vaccination de routine, bien qu’elle n’ait pas été négligée pendant la pandémie de Covid-19, revient dans le programme des priorités du ministère de la Santé. Ainsi, le département de Abdelhak Saïhi a annoncé le lancement d’une campagne nationale de vaccination de routine au profit des enfants âgés de moins de 5 ans, mal ou pas du tout vaccinés.
«La campagne nationale d'appui au processus de vaccination des enfants de moins de 5 ans, non vaccinés correctement ou pas vaccinés du tout, a été lancée, hier, et se poursuivra jusqu’au 8 juin prochain.» C’est ce qu’a annoncé le ministère de la Santé via un communiqué publié lundi soir.
C’est dans le cadre de ses activités au profit des futurs pèlerins, que la direction des affaires religieuses et des wakfs de la wilaya d’Alger a organisé, hier, une journée de sensibilisation à la Maison du Coran - Cheikh Ahmed Sahnoun.
Les 6es journées de la Société algérienne de pathologie mammaire ont été clôturée hier. Deux thématiques principales ont été retenues lors de ce séminaire, organisé sur deux jours au niveau de la salle familiale de la CNAS de Ben Aknoun.
Nous avons recensé en 2022, 373 cas de tuberculose à travers la wilaya, dont 90 cas comptabilisés au niveau des unités spécialisées de la ville de Béjaïa, selon un responsable de la DSP.
Après le déluge de commentaires sur la blogosphère après le tragique décès d’un patient, Dahmani Ahmed, âgé de 64 ans, atteint d’un cancer du poumon, dans son lit, apparemment «par asphyxie après un bref incendie provoqué par la victime qui voulait prendre une cigarette» selon la déclaration initiale du directeur d’hôpital Youssef Damerdji, Kaidi Sofiane, place aux enquêtes initiées simultanément et par le ministère de la santé qui a dépêché à Tiaret des inspecteurs et par les services de police judiciaire sous l’autorité de la justice qui ont procédé aux prélèvements d’usage.
La réalisation d’un complexe mère-enfant est une priorité dans la wilaya de Tizi Ouzou qui enregistre un déficit de structures d’accueil et de prise en charge des parturientes.
L’épidémie de Covid-19 a provoqué la mort de 7 millions de personnes dans le monde, mais selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le bilan pourrait en réalité approcher les 20 millions de morts.
-La 12e édition du congrès de la Société algérienne de médecine vasculaire (Samev) était axée sur la femme. Pourquoi les hommes ont été «écartés» de cette édition ?
Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a précisé que la «stratégie du secteur, qui tend à améliorer les prestations sanitaires à travers les wilayas du pays, repose sur la création de pôles sanitaires spécialisés dans les wilayas du Sud afin d’éviter aux citoyens de se déplacer vers le nord du pays».
Six nouveaux hôpitaux et une maternité seront prochainement mis en service à travers différentes communes de la wilaya», c’est ce qu’a annoncé, en début de semaine, Mohamed Abdenour Rabhi, le wali d’Alger. M. Rabhi a affirmé que la wilaya d’Alger sera renforcée par six nouveaux hôpitaux (trois spécialisés et trois généraux) en plus d’une maternité. Des projets qui «devraient contribuer à l’amélioration du cadre de vie du citoyen», a ajouté le wali. A noter que les 3 hôpitaux spécialisés sont sous la direction de gestion de la direction de la santé et de la population (DSP) tandis que les trois hôpitaux généraux sont sous la direction de gestion de la direction des équipements publics (DEP).
Les progrès mondiaux dans le secteur de la santé mère-enfant stagnent, voire régressent depuis huit ans, selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publié cette semaine. Selon la nouvelle publication, présentée lors d'une conférence mondiale au Cap, en Afrique du Sud, plus de 4,5 millions de femmes et de bébés meurent chaque année pendant la grossesse, l’accouchement ou les premières semaines après la naissance. Ce qui équivaut à un décès toutes les sept secondes, principalement de causes évitables ou traitables si des soins appropriés avaient été disponibles. Une situation pour le moins inacceptable.
Le sud du pays en général et les zones frontalières en particulier connaissent un «désert» sanitaire. Cette entorse au confort du citoyen ne date pas d’hier et n’est non plus un secret pour personne.
C’est une alerte sérieuse que les professionnels de la santé lancent aujourd’hui quant à la montée exponentielle des cas de mort subite enregistrés chez les jeunes. Des décès qui sont assez souvent étroitement liés à la consommation des drogues.
Dans un communiqué rendu public hier, le ministère de la Santé est sorti de son silence pour démentir l’information qui, selon lui, remonte à 2022.
Chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital de Tamanrasset et spécialiste des maladies tropicales, le Dr Elias Akhamouk affirme que la tuberculose «est, certes, contagieuse, mais elle se traite facilement».
Même si l’OMS vient de lever le caractère d’urgence sanitaire, le profond désordre généré par la pandémie de Covid-19 dans le secteur économique mondial va continuer, pour un temps encore, à mettre à mal les économies régionales et nationales les plus vulnérables.