Les prix du pétrole sont repartis à la hausse vendredi, soutenus par des interruptions de production en Libye et en Equateur, mais aussi par la perspective d’un long week-end férié de déplacements aux Etats-Unis.
Dans certains points de vente à la périphérie d’Alger, les prix du mouton commencent de 45 000 DA pour dépasser les 120 000 DA, soit près de 6 fois le Salaire minimum garanti (SNMG). Les éleveurs expliquent cette flambée par les aléas touchant la filière. Des associations, à l’instar d’El Amar, réclament la régulation du secteur.
La hausse vertigineuse des prix n’est pas de notre faute. Il faut savoir qu’aujourd’hui les prix ont, certes, doublé, mais cela n’est pas du ressort de l’éleveur. Il y a, comme je viens de le dire, plusieurs facteurs qui interviennent dans le prix.
Le pétrole était en recul hier, au cours de la première séance de cotation de la semaine, perdant environ 2 dollars le baril, alors qu’une flambée de cas de Covid-19 à Pékin, en Chine, fait planer encore une fois des doutes sur un rebond de la demande chinoise. Les investisseurs pèsent aussi les éventuelles répercussions d’un nouveau resserrement monétaire pour lutter contre la flambée de l’inflation américaine.
34 œuvres sur 38 candidatures en arabe, 8 sur 9 en tamazight et 38 sur 42 en français ont été retenues pour cette huitième édition dont les lauréats seront connus le 22 octobre prochain.
La Direction générale des impôts (DGI) a rendu public, hier lundi 16 mai, un référentiel des prix de l’immobilier.
Fidèle au rendez-vous annuel du Salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics (Batimatec), le Groupe des sociétés Hasnaoui (GSH) prend part à la 24e édition du Salon à travers ses différentes filiales.
Le cours du blé, au plus haut depuis la guerre en Ukraine, a battu un nouveau record lundi 16 mai à l'ouverture sur le marché européen, à 435 euros la tonne
Les prix des fruits et légumes ont enregistré une flambée vertigineuse au niveau de plusieurs marchés à la veille et pendant les deux jours de l’Aïd. La pomme de terre a atteint les 150 DA, les oranges jusqu’à 300 DA, 3 boîtes de thon entre 270 et 300 DA et même l’huile Elio a augmenté de quelques dinars. Les prix varient légèrement entre quartiers populaires et quartiers huppés et entre les grandes surfaces et la supérette du coin.
L’alliance OPEP+ a décidé, à l’issue de sa 28e réunion ministérielle, tenue par vidéoconférence jeudi dernier, de maintenir sa stratégie de production au vu de «la persistance des fondamentaux du marché pétrolier et le consensus sur les perspectives indiquant un marché équilibré».
Il est compréhensible dans une société de consommation, telle que la nôtre, que certains produits s’éclipsent des étals ou s’écoulent à des prix exorbitants au point de casser la tirelire. Dès lors, tout le monde s’accorde à dire que la pénurie et la spéculation sont en passe de devenir un sport national.
Les prix du gaz en vigueur en Europe continuent ainsi d’être tirés par les problèmes d’approvisionnement, dans le sillage de la crise ukrainienne. L’Europe, qui dépend fortement de la Russie en matière d’énergie, cherche depuis des semaines des sources d’énergie alternatives.
Plusieurs stands ont été installés dans la commune de Béchar dans le but de couvrir en ce mois de ramadan à des prix modérés les besoins essentiels des ménagères en butte à des difficultés d’approvisionnement en matière de denrées alimentaires trop chères.
Les prix du pétrole flanchaient hier avec la perspective d’une demande limitée en Chine, premier importateur mondial de brut, où le gouvernement lutte contre une reprise de la pandémie de Covid-19.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a mis en avant, samedi soir à Alger, l’importance d’augmenter la production nationale des produits agricoles, notamment les céréales, en vue de réaliser la sécurité alimentaire.
A environ deux semaines de sa prochaine réunion d’évaluation de sa stratégie pétrolière, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) donne une fois de plus des indices sur son intransigeance sur le maintien de sa politique, exécutée depuis des mois, pour rééquilibrer le marché selon les fondamentaux, et dans l’intérêt des pays producteurs et de l’économie mondiale, et non en fonction de facteurs conjoncturels liés à la géopolitique.
En glissement annuel (février 2022 / février 2021), la variation des prix des biens alimentaires était de 13,4%. Les produits agricoles frais ont enregistré une croissance de 11,5%, avec 58,3% pour la pomme de terre, 19,2% pour les légumes frais et 35,94% pour les œufs.
Les prix du pétrole se reprenaient hier, après avoir perdu plus de 5% la veille, les craintes concernant l’offre en or noir reprenant le dessus sur le marché, les facteurs de perturbations de l’approvisionnement s’additionnant.
La production russe a diminué de 7,5% au cours de la première quinzaine d’avril par rapport à mars, selon des rapports de courtiers, alors que les gouvernements de l’UE tentent de se mettre d’accord pour élaborer des propositions visant à interdire le brut russe.
Le secrétaire général de l’UNPA, Abdellatif Dilmi, affirme que plusieurs wilayas ont perdu en récolte entre 35 et 45%. «Les prix devraient connaître une accalmie», espère M. Dilmi, qui souhaite voir une abondance des récoltes de la wilaya de Aïn Defla, wilaya leader dans la production de la pomme de terre.