La confirmation des réductions des deux membres de l’OPEP+ de prolonger les coupes dans leurs offres respectives jusqu’à la fin de l’année 2023 a boosté les prix pour les hisser jusqu’à 91 dollars, soit leur plus haut depuis 10 mois. Goldman Sachs s’attendait, avant ces faits, à un prix du Brent à 86 dollars en décembre 2023 et à 93 dollars à la fin de l’année 2024.
Les experts et opérateurs du secteur, cette semaine, seront très attentifs à l’évolution du marché pétrolier. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre a gagné 1,98% à 88,55 dollars, son plus haut prix depuis novembre.
A propos la commercialisation et la promotion de ces produits, le ministre a fait état du lancement, d’ici à la fin du mois d’août, de 72 expositions à travers 58 wilayas dédiées à la vente des fournitures scolaires, en sus de 3 grandes expositions régionales à Oran, Alger et Constantine. Ces expositions constitueront, selon lui, «une référence pour les prix des fournitures scolaire».
Pour le mois de juillet, à la lumière des prix affichés sur les étals ces deux dernières semaines, particulièrement depuis les épisodes caniculaires, l’on s’attend néanmoins à ce que les chiffres repartent à la hausse. La mercuriale s’est en effet affolée. C’est le cas pour les légumes de saison.
L’eau minérale ou de source devient un produit dont le prix connaît une inflation certaine ces dernières années.
La vague des prix élevés que connaît l'Algérie ces derniers mois s'est propagée au marché des climatiseurs et des ventilateurs. Les commerçants argumentent les hausses par la forte demande et la baisse de l'offre en raison d’une importation au compte-gouttes et de l'incapacité des usines en Algérie à couvrir l’ensemble de la demande.
L’ONS précise que l’indice national des prix à la consommation est établi sur la base d’observation des prix effectuée auprès d’un échantillon de 17 villes et villages représentatifs des différentes régions du pays. Cet indice permet essentiellement de disposer d’indicateurs d’évolution des prix de détail sur l’ensemble du territoire national, favorisant ainsi une analyse comparative de l’évolution des prix entre Alger et les autres régions du pays.
Les plans de l’Arabie Saoudite, visant à réduire la production d’un million de barils supplémentaires par jour en juillet, en plus d’un accord plus large de l’OPEP+ visant à limiter l’offre jusqu’en 2024, ont offert un soutien supplémentaire aux prix.
Les prix mondiaux des produits alimentaires (céréales, huiles) ont poursuivi leur repli en juin, mais le coût des denrées reste toujours très élevé sur les marchés intérieurs des pays vulnérables, a indiqué hier l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
Le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, Tayeb Zitouni, a annoncé le lancement de l’analyse des structures de prix de certains produits de consommation et leur comparaison avec les prix sur les Bourses mondiales. Une démarche inscrite dans le cadre des efforts visant à contrôler les prix et les factures d’importation.
Aux parlementaires qui l’ont invité à intervenir pour mettre fin à la flambée des prix excessifs du mouton, le ministre de l’Agriculture, Abdelhafid Henni, a expliqué que le marché est libre, mais son département envisage de mettre en place un nouveau système prenant en compte de tous les facteurs. Il précise que l’Algérienne des viandes rouges (Alviar) propose des prix «fixes et raisonnables».
Les contrats à terme TTF- référence européenne- ont grimpé jusqu'à 49 en raison de nouveaux problèmes d'approvisionnement.
Les contrats à terme sur le Brent ont grimpé hier à plus de 73 dollars le baril en début de cotation, alors que le brut américain West Texas Intermediate (WTI) était à plus de 68 dollars le baril. Les deux indices de référence ont chuté d’environ 3 dollars le baril lundi après que les analystes ont souligné la hausse de l’offre mondiale et les inquiétudes concernant la croissance de la demande.
L’OPEP+ pompe environ 40% du brut mondial et a réduit son objectif de production d’un total de 3,66 millions de bpj, soit 3,6% de la demande mondiale.
Les prix du pétrole sont repartis à la hausse hier, prolongeant les gains de la session précédente. La remontée des cours, très instables depuis quelques semaines, a été constatée dans le sillage de la conclusion par le gouvernement américain d’un accord provisoire sur le plafond de la dette.
Le prix de gros du gaz naturel en Europe, pour le mois à venir est tombé hier, à son plus bas niveau en deux ans. Le prix du gaz néerlandais en juin, une référence pour le marché européen du gaz, est tombé à 24,90 euros (27,41 dollars) par mégawattheure (MWh) à 07h29 GMT, le plus bas depuis le 27 mai 2021.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses alliés, dont la Russie, connue sous le nom d'Opep+, continueront d'être un régulateur responsable du marché, a indiqué le ministre saoudien de l'Energie.
Selon le ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MADR), les prix des aliments de bétail connaissent «une grande stabilité». «Toutes déclarations des intermédiaires et spéculateurs sont infondées», indique le MADR dans un communiqué rendu public.
Mohamed Abdelhafid Henni, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, a annoncé hier, lors de son passage à une émission d’Echorouk News TV, la prochaine mise en place d'un établissement spécialisé dans la régulation des produits agricoles et des prix. Les procédures ont déjà été entamées dans ce sens.
Les prix des céréales affichent une baisse en ce début du mois de mai, dans un contexte d’approvisionnement mondial abondant et de demande lente.