Les prix du gaz en Europe sont en nette hausse, les facteurs de risque géopolitiques ayant pris le pas sur les fondamentaux de l’offre et de la demande. La référence du prix du gaz TTF sur la plateforme néerlandaise a bondi de 46% au cours de la semaine écoulée pour atteindre une clôture de 52,95 euros/MWh le 12 octobre, le plus haut depuis près de huit mois, selon les évaluations Platts pour S&P Global Commodity Insights.
Les cours du baril de pétrole ont grimpé à la clôture de vendredi poussés par la guerre en Palestine. Les craintes d’une extension de la guerre dans la région ont fait gagner au prix du Brent (référence de la mer du Nord) 5,68% pour se vendre à 90,89 dollars.
Les députés, qui sont intervenus hier lors des débats sur la Déclaration de politique générale du gouvernement, ont évoqué notamment les questions liées au pouvoir d’achat et à la hausse des prix des produits alimentaires.
A Alger, l’indice général a été marqué par une augmentation de 2,2% par rapport au mois précédent. Une variation légèrement supérieure à celle observée au même mois de l’année écoulée (+1,9% en août 2022 par rapport à juillet 2022).
Le cours de l’or a chuté au cours de la semaine, concurrencé par les obligations d’Etat américaines dont les rendements atteignent des sommets historiques. Le métal jaune a glissé la semaine dernière, tombant vendredi à un plus bas de 1 810,51 dollars l’once, à ses niveaux de début mars. Vendredi, «l’or a été écrasé après que le rapport sur l’emploi non agricole aux Etats-Unis a montré une reprise des embauches malgré l’environnement actuel des taux d’intérêt plus élevés», ont fait constater des analystes.
Dans l’objectif d’assurer la disponibilité des produits de base sur le marché, le département du Commerce, en concertation avec celui de l’Agriculture, a mis en œuvre une série de mesures, à travers le recours à l’importation des viandes blanches et rouges.
Les prix du pétrole ont augmenté de plus d’un dollar le baril dès le début de la journée de cotation hier, alors que les marchés étaient impactés par le resserrement de l’offre, à l’approche de l’hiver.
Les cours du pétrole ont nettement accéléré, hier, après la publication des projections de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et ceux de l’Agence internationale de l’énergie AIE qui prédisent un important déficit de l’offre du brut pour le quatrième trimestre de l’année 2023.
La confirmation des réductions des deux membres de l’OPEP+ de prolonger les coupes dans leurs offres respectives jusqu’à la fin de l’année 2023 a boosté les prix pour les hisser jusqu’à 91 dollars, soit leur plus haut depuis 10 mois. Goldman Sachs s’attendait, avant ces faits, à un prix du Brent à 86 dollars en décembre 2023 et à 93 dollars à la fin de l’année 2024.
Les experts et opérateurs du secteur, cette semaine, seront très attentifs à l’évolution du marché pétrolier. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre a gagné 1,98% à 88,55 dollars, son plus haut prix depuis novembre.
A propos la commercialisation et la promotion de ces produits, le ministre a fait état du lancement, d’ici à la fin du mois d’août, de 72 expositions à travers 58 wilayas dédiées à la vente des fournitures scolaires, en sus de 3 grandes expositions régionales à Oran, Alger et Constantine. Ces expositions constitueront, selon lui, «une référence pour les prix des fournitures scolaire».
Pour le mois de juillet, à la lumière des prix affichés sur les étals ces deux dernières semaines, particulièrement depuis les épisodes caniculaires, l’on s’attend néanmoins à ce que les chiffres repartent à la hausse. La mercuriale s’est en effet affolée. C’est le cas pour les légumes de saison.
L’eau minérale ou de source devient un produit dont le prix connaît une inflation certaine ces dernières années.
La vague des prix élevés que connaît l'Algérie ces derniers mois s'est propagée au marché des climatiseurs et des ventilateurs. Les commerçants argumentent les hausses par la forte demande et la baisse de l'offre en raison d’une importation au compte-gouttes et de l'incapacité des usines en Algérie à couvrir l’ensemble de la demande.
L’ONS précise que l’indice national des prix à la consommation est établi sur la base d’observation des prix effectuée auprès d’un échantillon de 17 villes et villages représentatifs des différentes régions du pays. Cet indice permet essentiellement de disposer d’indicateurs d’évolution des prix de détail sur l’ensemble du territoire national, favorisant ainsi une analyse comparative de l’évolution des prix entre Alger et les autres régions du pays.
Les plans de l’Arabie Saoudite, visant à réduire la production d’un million de barils supplémentaires par jour en juillet, en plus d’un accord plus large de l’OPEP+ visant à limiter l’offre jusqu’en 2024, ont offert un soutien supplémentaire aux prix.
Les prix mondiaux des produits alimentaires (céréales, huiles) ont poursuivi leur repli en juin, mais le coût des denrées reste toujours très élevé sur les marchés intérieurs des pays vulnérables, a indiqué hier l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
Le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, Tayeb Zitouni, a annoncé le lancement de l’analyse des structures de prix de certains produits de consommation et leur comparaison avec les prix sur les Bourses mondiales. Une démarche inscrite dans le cadre des efforts visant à contrôler les prix et les factures d’importation.
Aux parlementaires qui l’ont invité à intervenir pour mettre fin à la flambée des prix excessifs du mouton, le ministre de l’Agriculture, Abdelhafid Henni, a expliqué que le marché est libre, mais son département envisage de mettre en place un nouveau système prenant en compte de tous les facteurs. Il précise que l’Algérienne des viandes rouges (Alviar) propose des prix «fixes et raisonnables».
Les contrats à terme TTF- référence européenne- ont grimpé jusqu'à 49 en raison de nouveaux problèmes d'approvisionnement.