Les chiffres du bilan de l’année 2023 sur le trafic de la drogue et des psychotropes en milieu urbain, présenté au mois de mars par la cellule de communication de la DGSN, dépassent l’imagination. On retiendra parmi toutes les données un chiffre des plus effarants. Celui de la saisie, au bout d'une année, de plus de 13,566 millions de comprimés de psychotropes, soit plus du double de la quantité globale enregistrée en 2022.
Le changement climatique va fatalement bouleverser le rythme et le programme de travail dans les différents secteurs d’activité. Celui en charge de la gestion du patrimoine forestier est naturellement le plus concerné. Des impératifs d’adaptation doivent être pris en compte face à l’accélération des phénomènes et des variations touchant le climat à l’échelle de la planète.
La numérisation est de retour cette semaine. Elle est sur toutes les lèvres de nos officiels, chacun dans son secteur. Si d’aucuns s’en servent dans une perspective réfléchie et réalisable, d’autres emboîtent le pas juste pour se mettre au goût du jour. Il se trouve, hélas, que le secteur de l’éducation est l’une des victimes de ce fait d’annonce pur et simple. La tablette n’a pas remplacé le fardeau du traditionnel cartable, comme promis par le premier responsable de ce département.
Les interventions des brigades de répression des fraudes relevant des directions du commerce se sont multipliées ces dernières semaines et connaîtront, sans doute, une montée en cadence à l’approche et au cours de la saison estivale.
La récente résolution du Conseil de sécurité de l’ONU appelant à un cessez-le-feu à Ghaza est saluée comme un acquis à dater pour la cause palestinienne, et au-delà pour la lutte globale pour un monde plus juste.
Les communautés expatriées sont un formidable vivier de compétences qui représentent un enjeu stratégique pour l’Algérie.
La priorité a été donnée lors du Conseil des ministres tenu dimanche au «parachèvement des programmes de développement dans les wilayas de Khenchela, Tissemsilt, Djelfa et Tindouf».
Heureusement qu’en Algérie, le mois de Ramadhan, qualifié de période de surconsommation et du rush sur les marchés, garde encore ses vertus que des citoyens, conscients du rôle qui leur incombe dans la société, se mobilisent pour perpétuer avec la contribution des pouvoirs publics, des opérateurs économiques et des généreux donateurs.
Les Etats-Unis se sont enfin décidés à reprendre l’initiative au sein du Conseil de sécurité de l’ONU, en proposant un projet de résolution sur un cessez-le-feu dans la bande de Ghaza. Impliquée directement dans le conflit, en assurant un bouclier diplomatique intraitable au protégé israélien et en lui fournissant un soutien financier et militaire sans précédent, la puissance américaine a jugé donc le moment venu pour user des voix onusiennes pour peser autrement sur les événements, en proposant un projet de résolution sur un cessez-le-feu.
Le réseau routier national est en train de devenir le théâtre de tragédies à répétition. De nombreux dispositifs de prévention ont été enclenchés ces dernières années, quasiment en vain.
L’administration Biden exporte son «sommet pour la démocratie» cette année : Séoul, la capitale sud-coréenne, a accueilli lundi dernier des dirigeants du monde et des ONG autour des risques que représentent les usages incontrôlés de l’intelligence artificielle (IA) sur les régimes politiques libéraux et les conditions de l’exercice démocratique, notamment les élections.
Le Ramadhan est une niche exceptionnelle de profits financiers pour les télés algériennes privées au vu de l’engouement du public pour leurs programmes, plus particulièrement les séries produites localement avec des acteurs connus et appréciés. Le Ramadhan est une niche exceptionnelle de profits financiers pour les télés algériennes privées au vu de l’engouement du public pour leurs programmes, plus particulièrement les séries produites localement avec des acteurs connus et appréciés.
Le secteur de l’Education nationale était en attente de signaux forts des pouvoirs publics allant dans le sens de la consécration des matières scientifiques dans le parcours scolaire des élèves.
Il n’y a pas un phénomène à la peau aussi dure que celui des mauvaises habitudes d’une bonne partie des consommateurs algériens durant le Ramadhan. Des comportements qui font renaître de vieux réflexes, que ni le temps ni les efforts de l’Etat ne sont parvenus à faire disparaître. Le tout reste la marque désolante collant à cette période de l’année, dominée par «la bouffe à outrance».
L'Algérie consent des investissements massifs dans l’industrie pétrochimique qui offre des perspectives prometteuses. L’objectif est de faire de cette filière un pilier industriel stratégique, explicitant une ambition d’assurer une valeur ajoutée.
Il est un débat qui survit à toutes les législatures et s’impose à l’ordre du jour du Parlement quand les questions liées à la vie nationale et aux préoccupations des citoyens sont loin d’être épuisées.
Encourager l’investissement national se place parmi les priorités des pouvoirs publics. Le chef de l’Etat n’a eu de cesse d’affirmer, pour sa part, l’impérieuse relance économique basée sur le potentiel local et renforcé par les IDE dans la perspective de la diversification des produits et pourquoi pas de se frayer un chemin vers le marché international.
Ce sera donc en automne prochain que le président Tebboune effectuera sa visite en France, maintes fois reportée. Il reste six mois pour effectuer les derniers réglages d’un déplacement que l'Algérie voudrait fructueux et pourquoi pas exceptionnel.
Le printemps s’installe dans une dizaine de jours mais c’est l’été qui est le plus attendu. Le dérèglement climatique a déjà livré toutes ses facettes et il ne manquera pas de se manifester lors de la saison critique, celle des fortes chaleurs. La question qui se pose est de savoir si toutes les dispositions sont prises et engagées, dans le but d’en réduire les incidences dans la vie quotidienne des citoyens.
La chronique de la guerre contre Ghaza, au-delà du tumulte des événements majeurs qui la rythment depuis plus de cinq mois, laisse passer comme faits banals des images horrifiantes, fuitées, ou officiellement assumées par l’armée israélienne. C’est pourtant là que se mesure, aussi, la barbarie décomplexée déchaînée contre les Palestiniens.