Sommes-nous en train de traverser une sérieuse zone de turbulences, une étape historique du monde, qui, s’il n’a point accouché de «nouveautés» réjouissantes annoncées après une bipolarisation neutralisante de près d’un demi-siècle, s’engage dans une voie dangereuse, donnant au nouvel ordre mondial une image très caricaturale, qui pourrait, au train où vont les choses accélérées, aboutir à un bien triste désordre mondial ?
Après quinze mois d’une guerre génocidaire dévastatrice ordonnée par Benyamin Netanyahu et les suprémacistes racistes de son gouvernement, le cessez-le-feu entré en vigueur le 19 janvier dernier a été accueilli dans la joie et la liesse par la population de Ghaza.
L’Algérie a plus que jamais besoin de sa diaspora. L’émigration a joué un rôle crucial à travers l’histoire révolutionnaire de la nation et dans le développement économique de l'Algérie.
Pas plus loin que la semaine dernière, Alger a abrité les assises du cinéma en vue d’insuffler au septième art algérien un nouvel envol, à peu près le même que celui qu’elle avait connu, cinq décennies plus tôt, avec l’obtention, au profit de l’Algérie, de la palme d’or au Festival de Cannes de 1975 pour Chronique des années de braise de Lakhdar Hamina et l’Oscar du meilleur film étranger, en 1969, pour Z de Costa-Gavras.
Les derniers développements survenus dans le secteur de l’Education nationale remettent à l’ordre du jour la question de la stabilité au sein des écoles comme préalable à tout programme de modernisation des enseignements pour atteindre des niveaux supérieurs de performance.
Israël continue de faire la loi au Proche-Orient prenant unilatéralement des décisions, en violation des lois internationales. Jeudi, il a encore imposé son diktat en interdisant toute activité à l’UNRWA, un crime impardonnable parce que cette organisation est un instrument irremplaçable qui a été créé en 1949 par l’ONU pour prendre en charge les réfugiés palestiniens chassés de leurs terres et de leurs maisons par les occupants israéliens.
Un autre pas dans la crise entre l’Algérie et la France, cette fois-ci du côté de François Bayrou, le Premier ministre français qui, en parlant de «submersion migratoire», a alimenté le fantasme du «grand remplacement», classique fonds de commerce d’Eric Zemmour.
La révision en cours de la loi sur les associations focalise l’intérêt des organisations de la société civile, mais aussi des acteurs politiques, montrant ainsi l’enjeu de la réorganisation et du redéploiement du monde associatif.
Le monde va en baver avec les 4 années de Donald Trump à la Maison-Blanche, et personne ne peut prédire qu’il en sortira indemne.
Les relations économiques entre l’Algérie et les Etats-Unis ont-elles évolué différemment sous le premier mandat de Donald Trump et celui de Joe Biden ? Durant son premier mandat (2017-2021), Trump, connu pour son approche transactionnelle, n’a pas mis en place de grands projets économiques avec l’Algérie.
Les précipitations de pluie et les chutes de neige, que l’on désigne de moins en moins sous le vocable d'«intempéries» en raison du changement climatique et de la sécheresse endémique, ont un effet salvateur sur la reconstitution des réserves en eau.
Les souffrances du peuple palestinien ne sont pas près de prendre fin. Au contraire, Trump avait promis l’enfer si les négociations de Doha n’arrivent pas à un accord avant sa prestation de serment, le 20 janvier. Nétanyahou a obtempéré. Mais il a sauté pour mieux rebondir.
Le monde arabe devrait-il redouter Donald Trump ? Oui, s’il faut s’en tenir à ses premières mesures après son investiture et ses déclarations antérieures. En levant toutes les contraintes sur les forages d’hydrocarbures sur le sol américain, le nouveau Président compte inonder les marchés mondiaux de pétrole et de gaz américains et réserver ainsi l’essentiel des parts du marché mondial aux compagnies du pays.
Face à la double menace de la désertification et des incendies de forêt qui ravagent chaque année des pans entiers de végétation, le reboisement se présente comme une alternative indispensable et une véritable exigence. Année après année, des millions d’arbres sont plantés dans des zones rurales, montagneuses ou arides, souvent dans le cadre de grandes campagnes médiatisées.
L’Algérie et l’Union européenne (UE) s’apprêtent à réviser l’Accord d’association qui les lie depuis deux décennies. La révision de cet accord est rendue nécessaire par une conjoncture géopolitique qui a énormément changé.
Le fort afflux de citoyens en zones enneigées est le meilleur plaidoyer en faveur du développement du tourisme de montagne.
Toutes les guerres ont leurs images tragiques qui témoignent de la folie meurtrière qui s’empare des hommes.
Le proverbe africain dit : «Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier.» Certes, la vérité met plus de temps, mais elle finit toujours par arriver.
Des partis de divers horizons politiques et de nombreuses personnalités en France appellent à cultiver des relations apaisées avec l’Algérie. Les tensions actuelles entre les deux nations ont certes pour origine le soutien gouvernemental français à la colonisation du Sahara occidental par le Maroc, mais l'extrême droite en France joue un rôle déplorable dans l’alimentation des tensions.
Le désir de vivre est plus fort que tout chez le peuple libanais. Que d’épreuves n’a-t-il passées depuis 1976, année du début de la guerre civile.