Benyamin Netanyahu en roue libre. Le Premier ministre israélien va d’échec en désastre, enfonçant chaque jour davantage la région du Moyen-Orient dans l’instabilité, les relations internationales dans la tension et ruinant le capital diplomatique de ses propres alliés.
L’exigence de respect des délais de réalisation des projets ainsi que des engagements pris devant les citoyens a été régulièrement réitérée dans le discours officiel. Si la conviction est faite au sein de l’Exécutif et de l’administration centrale, la question reste posée sur les mécanismes concrets mis en œuvre pour réaliser cet objectif déterminant pour la bonne marche du développement à l’échelle nationale et rendre palpable cette volonté politique proclamée.
La conférence sur le climat (COP28) qu’organise l'ONU à Dubaï, qui a vu un nombre record de 80 000 participants issus de 198 pays, a mis en lumière une guerre énergétique autour du climat. Il y a d’un côté les partisans d’une sortie des énergies fossiles et les opposants à une telle mesure, les deux camps se livrant à une guerre pour des raisons économiques.
La 21e édition du Forum international de Doha, qui s’est ouvert hier dans la capitale qatarie, appelle à un cessez-le-feu immédiat dans la Bande de Ghaza. Des déclarations fortes ont été une nouvelle fois prononcées, qui soulignent à l’unanimité la gravité sans précédent de la situation humanitaire sur place, les crimes commis en masse sur les civils palestiniens, l’impasse dangereuse pour la région du Moyen-Orient et la paix dans le monde qu’induit l’aveuglement meurtrier et sans issue de Tel-Aviv…
Les épisodes récurrents, parfois dramatiques, des intoxications au monoxyde de carbone posent l’urgence d’un renforcement et d’un redéploiement du système de contrôle de la qualité et de la conformité des appareils utilisés dans les foyers.
Le soleil est l’avenir de l’Algérie : des investissements massifs sont annoncés pour la production d'énergies renouvelables. Alors que la production actuelle ne dépasse pas les 511 mégawatts d’énergie renouvelable, le programme national vise à atteindre 15 000 mégawatts d’électricité verte à l’horizon 2035.
Des dizaines de milliers de citoyens sont suspendus aux listes des bénéficiaires de logements sociaux en cours d’affichage à travers les collectivités locales. Ces opérations d’attribution dont le succès populaire n’a jamais été démenti est l’un des éléments qui structurent la vie sociale depuis des dizaines d’années. C’est l’attente citoyenne numéro un et la préoccupation cardinale des pouvoirs publics et des assemblées élues.
Les Palestiniens n’existent décidément pas pour beaucoup de médias mainstream occidentaux. Ils sont à peine des chiffres qu’on actualise à la fin d’un «sujet», une multitude démographique théorique qui meurt sans douleurs sous les bombardements ou court chercher refuge en arrière-plan des breaking news.
Le dossier de l’ex-Ansej est revenu dans le débat, à la faveur de la réponse à la question d’un député, jeudi dernier, à l’APN, du ministre de l’Economie de la Connaissance, des Start-Up et des Micro-entreprises.
Les Palestiniens de Ghaza, mais aussi ceux de Cisjordanie, ont dû mourir par milliers en quelques semaines pour voir et entendre, enfin, le gotha diplomatique mondial s’intéresser à leur histoire et à l’injustice violente qui les frappe depuis plus de 70 ans.
Ainsi donc, l'actualité brûlante nous a révélé, qu'à travers le génocide qui se déroule à Ghaza la martyre, que l'Occident, toujours «sûr de lui et dominateur», a tenté d'aborder le Moyen-Orient compliqué avec l'idée trop simple de le désagréger.
Les rigueurs de l’hiver ont progressivement pris une autre signification ces dernières années. La saison des vagues de froid et des tempêtes est devenue aussi, et surtout, celle des difficultés de circulation et des inondations qui peuvent menacer des habitations.
Face à la forte concurrence de la Chine qui s’impose comme le premier partenaire économique de l'Afrique depuis une décennie, les Etats-Unis veulent augmenter leurs investissements sur le continent africain.
Les limites de l’atrocité de plus en plus poussées à Ghaza. Après près de quarante jours de bombardements ininterrompus, à l’intensité jamais égalée de l’avis même de son propre commandement, l’opération terrestre de l’armée israélienne vient achever la besogne dans les locaux même des hôpitaux sinistrés.
Une première. L’ONU a rendu, hier, un hommage mondial à ses nombreux collaborateurs tués depuis le début de l’expédition meurtrière de l’armée israélienne à Ghaza. Sobre et discrète, l’initiative a consisté en l’observation d’une minute de silence «en privé», hier matin, à l’appel d’Antonio Guterres, dans tous les pays où l’Organisation dispose de représentations.
Ce furent les derniers mots prononcés par le défunt Mohamed Boudiaf, avant son assassinant le 29 juin 1992 : «Par quoi nous ont-ils devancés ? Par la science...» Le début de son passage à la tête de l’Etat, tragiquement écourté, fut également marqué par une déclaration sans concession : «L’école est sinistrée !»
C’est le plus grand massacre de population entrepris depuis la Seconde Guerre mondiale, plus de 10 000 morts, 25 000 blessés, dont une des caractéristiques est que le tiers sont des enfants. Jamais autant d’enfants n’ont été tués ou mutilés en à peine un mois, de la façon la plus tragique, c'est-à-dire dans leur maison, leur rue ou leur école, sous des bombes larguées de jour et de nuit. Parqués ou errants, privés de parents, les survivants n’ont pour seul horizon que les ruines et pour quotidien des explosions de bombes au phosphore blanc.
Les agriculteurs sont de plus en plus confrontés aux pénuries d’eau dues à la sécheresse. Comment développer une agriculture résiliente au dérèglement climatique qui permet, à la fois, d’assurer l’autosuffisance alimentaire et la préservation de la biodiversité ?
Le secrétaire d’Etat américain est de nouveau en tournée au Moyen-Orient, cette fois pour un peu défendre la chose et son contraire. Le plan de voyage, marathonien, de l’envoyé spécial de la Maison-Blanche prévoit des visites en Jordanie, au Qatar, en Arabie Saoudite, aux Emirats arabes unis, en Egypte, Irak et en Turquie.
L’Algérie vit l’un des épisodes de sécheresse les plus graves de sa jeune histoire. L’automne n’a tenu aucune de ses habituelles promesses d’orages et d’averses salvatrices et il ne pleut toujours pas, après un été long et caniculaire.