Le gouvernement israélien est hostile à toute solution politique globale en Palestine et ne s’encombre plus de réserve pour le faire savoir.
En entamant son mandat en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, l’Algérie renoue avec son rôle diplomatique au sein des Nations unies. C'est la quatrième fois que l'Algérie occupe un siège non permanent au Conseil de sécurité. Le tout premier mandat a été entamé en 1968.
L’Algérie commence, en ce début de 2024, son mandat en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU. Ce mandat onusien de deux ans intervient dans un contexte marqué par une communauté internationale montrant au grand jour son impuissance à régler les conflits, avec des Nations unies en déclin d’influence.
On ne se lasse pas de voir – et revoir – sur la chaîne satellitaire Al Jazeera ces scènes incroyables de combattants palestiniens détruire d’imposants chars israéliens et éliminer des groupes entiers de soldats.
La création de nouvelles wilayas déléguées est l’un des mécanismes les mieux adaptés pour parvenir à l’objectif tant recherché de rapprocher l’administration du citoyen.
L’année 2023 a été marquée par des événements économiques majeurs sur fond de clivages entre les grandes puissances que sont les Etats-Unis, la Chine et la Russie.
La ministre de l’Environnement et des Énergies renouvelables a annoncé, jeudi, un projet de décret exécutif portant facilitations fiscales au profit des investisseurs dans le domaine du recyclage des déchets. La représentante du gouvernement a souligné que cette mesure constituera «un facteur incitatif à même d’encourager la transition vers l’économie circulaire».
Bombardements aveugles, exécutions sommaires, charniers sous les décombres, bombes au phosphore, détenus exhibés en sous-vêtements, famine organisée, blocus médical, hôpitaux pilonnés, abris de l’Unrwa détruits, attaques délibérées contre des journalistes, blocage des aides humanitaires, déplacements forcés, cimetières saccagés…
Des forums du livre sont organisés ces dernières semaines par les directions de wilaya de la culture et des arts, remettant ainsi à l’honneur la tradition de la lecture qui tend à se dissiper depuis l’avènement de la révolution numérique.
Le monde chrétien célèbre aujourd’hui la Nativité, fête dédiée à l’amour de Dieu. Hier soir, il y a eu un dîner somptueux, des cadeaux, des lumières et de la joie. Au même instant, à Ghaza, terre de Palestine, lieu de naissance de Jésus-Christ, s’est déversé un torrent de sang et de larmes.
En Algérie, de grandes entreprises privées, en quête permanente de performance, montrent l’exemple à suivre en appliquant des règles managériales fondées sur des sondages auprès de leurs clients pour mesurer le niveau de leur satisfaction concernant les prestations assurées.
Pour certains, il reste toujours quelque chose à tuer dans le Palestinien, même quand il vient d’être bel et bien assassiné. Qu’il soit anéanti par la douleur d’avoir perdu son enfant et qu’il en vienne à porter sa dépouille au regard du monde pour le prendre à témoin de l’abominable crime qui le frappe, il est accusé de faire du cinéma et le petit corps qu’il brandit est un pantin en plastique.
A l’épreuve de la guerre menée dans l’enclave de Ghaza, les mythes d’Israël s’effondrent un à un. Le 7 octobre a sonné la fin de ce qu'on a appelé la suprématie militaire de «Tsahal» et de ses services de renseignement, lorsqu’une spectaculaire incursion d’un groupe de résistants du Hamas a été menée avec succès à l’intérieur même d’Israël.
A quoi servira la 28e édition de la Conférence sur les dérèglements climatiques qui vient de se tenir à Dubaï sous l’égide de l’ONU ? Quelle utilité ont ces grandes rencontres sur l’urgence climatique qui se déroulent chaque année depuis 1995 ? La COP28 s’est soldée par un nouveau projet d’accord signé par près de 200 pays.
Benyamin Netanyahu en roue libre. Le Premier ministre israélien va d’échec en désastre, enfonçant chaque jour davantage la région du Moyen-Orient dans l’instabilité, les relations internationales dans la tension et ruinant le capital diplomatique de ses propres alliés.
L’exigence de respect des délais de réalisation des projets ainsi que des engagements pris devant les citoyens a été régulièrement réitérée dans le discours officiel. Si la conviction est faite au sein de l’Exécutif et de l’administration centrale, la question reste posée sur les mécanismes concrets mis en œuvre pour réaliser cet objectif déterminant pour la bonne marche du développement à l’échelle nationale et rendre palpable cette volonté politique proclamée.
La conférence sur le climat (COP28) qu’organise l'ONU à Dubaï, qui a vu un nombre record de 80 000 participants issus de 198 pays, a mis en lumière une guerre énergétique autour du climat. Il y a d’un côté les partisans d’une sortie des énergies fossiles et les opposants à une telle mesure, les deux camps se livrant à une guerre pour des raisons économiques.
La 21e édition du Forum international de Doha, qui s’est ouvert hier dans la capitale qatarie, appelle à un cessez-le-feu immédiat dans la Bande de Ghaza. Des déclarations fortes ont été une nouvelle fois prononcées, qui soulignent à l’unanimité la gravité sans précédent de la situation humanitaire sur place, les crimes commis en masse sur les civils palestiniens, l’impasse dangereuse pour la région du Moyen-Orient et la paix dans le monde qu’induit l’aveuglement meurtrier et sans issue de Tel-Aviv…
Les épisodes récurrents, parfois dramatiques, des intoxications au monoxyde de carbone posent l’urgence d’un renforcement et d’un redéploiement du système de contrôle de la qualité et de la conformité des appareils utilisés dans les foyers.
Le soleil est l’avenir de l’Algérie : des investissements massifs sont annoncés pour la production d'énergies renouvelables. Alors que la production actuelle ne dépasse pas les 511 mégawatts d’énergie renouvelable, le programme national vise à atteindre 15 000 mégawatts d’électricité verte à l’horizon 2035.