Même la terrible guerre déclenchée par Israël avec des moyens hors du commun n’a donné le moindre répit au terrible calvaire enduré par les Palestiniens de Ghaza. La faim et la soif sont toujours le lot quotidien de ce peuple abandonné à son sort face à un ennemi mû par une cruauté inimaginable et par une folie destructrice unique en son genre en ce XXIe siècle.
La guerre technologique sino-américaine s'intensifie, redéfinissant les rapports géopolitiques, avec des conséquences profondes pour l’ordre technologique mondial.
L’Occident a encore révélé son visage de partisan de la guerre au service d’une domination globale face au désordre du monde. La violence s’installe, non plus en tant que prolongement éventuel de la politique, mais comme son remplacement.
La Cour internationale de justice (CIJ) vient de se déclarer «incompétente» sur une plainte du Soudan accusant les Emirats arabes unis de «crime de génocide». Khartoum reproche aux Emirats d’alimenter en armes et en munitions la guerre civile qui ensanglante ce pays arabe.
Israël a décidé de passer à la vitesse supérieure et de mettre le feu à tout le Moyen-Orient. Il a annoncé, samedi, le rappel de dizaines de milliers de réservistes – 60 000 selon la presse. L’instabilité prend des dimensions plus grave pour tous les pays de la région.
Les fléaux qui menacent les jeunes et que révèlent périodiquement les opérations menées par les services de sécurité contre les milieux de la contrebande et des trafics transfrontaliers rendent la recherche de solutions préservant cette frange de la population urgente et névralgique. Le secteur de la jeunesse a connu ces dernières années un développement infrastructurel notable à travers le pays.
Ghaza encerclée, bombardée. Une population de plus de deux millions de personnes au bord de la famine, des milliers d’enfants malnutris, à cause du blocus imposé depuis plus de deux mois par les sionistes et les racistes suprémacistes de Tel-Aviv, alors que plus de 3000 camions d’aide humanitaire attendent aux frontières de l’enclave l’autorisation d’entrer sur le territoire palestinien afin de soulager la population, cantonnée par force dans ce qui n’est moins rien qu’une vaste fosse commune.
Benyamin Netanyahu est d’un culot effarant. Il appelle la communauté internationale à protéger la communauté druze syrienne. Il vient d’y avoir des violences intercommunautaires, au cours desquelles des citoyens syriens, notamment sunnites et druzes, se sont affrontés avec une rare brutalité, faisant 100 morts, selon des chiffres officiels.
La perversion des dirigeants israéliens a dépassé, et de loin, ce qu’on a pu imaginer en la matière au XXe siècle et au début du XXIe.
Face aux enjeux climatiques et à la nécessité de diversifier son économie, l’Algérie déploie ses potentialités pour se positionner comme un acteur-clé dans la transition énergétique en Afrique. La croissance économique peut être tirée par les énergies renouvelables. Le créneau du renouvelable peut renforcer les exportations d’électricité.
Faire de la propagande, paraître produire une mise en scène, avec pour objectif de manipuler, voilà à quoi se voient de plus en plus astreints les médias occidentaux, de plus en plus extrémistes. Ces courroies de transmission sont tenues de faire passer des messages, même regorgeant d'énormités et de mensonges.
Résolue au niveau de l’APN après l’adoption de son règlement intérieur en mars dernier, la question du nomadisme politique se pose encore dans les assemblées locales.
Quelques heures avant sa mort, le pape François a trouvé la force de prier et de dénoncer, dans son dernier message depuis Rome, la «situation humanitaire ignoble qui prévaut à Ghaza» et demandé par la même «la libération de tous les prisonniers ainsi que la reprise de l’aide humanitaire envers une population (palestinienne) qui aspire à vivre en paix».
Dans ce monde de violences et de souffrances inouïes, le pape François était une voix singulière, de paix et de forte compassion. Il eut les mots justes sur le terrible drame des Ghazaouis, musulmans et chrétiens, ne cessant d’appeler Israël à cesser le bain de sang.
L’essor de la formation professionnelle et son engagement sur la voie de la valorisation des compétences auront des incidences avantageuses pour l’ensemble de la collectivité nationale. Laissé pendant longtemps et contre toute logique en retrait des préoccupations et des priorités, le secteur connaît présentement un redéploiement et une modernisation dont l’impact n’est pas circonscrit à la communauté des stagiaires, mais suscite l’attention soutenue de l’opinion publique.
Il y a un consensus en Algérie sur la nécessité d’amorcer scrupuleusement la diversification économique, seule piste de décollage salutaire et capable de résister aux fluctuations du marché pétrolier.
La participation des élus locaux et des membres des comités de village à des rencontres scientifiques organisées à l’université augure d’un réel renouveau dans la gouvernance locale en perspective du renouvellement des APC et APW.
L’extermination du peuple de Ghaza se poursuit avec une brutalité et une cruauté unique en son genre dans l’histoire des guerres. Deux criminels de guerre, sans foi et sans scrupules, l’Américain Donald Trump et l’Israélien Benyamin Netanyahu, sont à la manœuvre pour mener jusqu’au stade final l’opération d’extermination du peuple palestinien et la destruction totale de ses villes et villages. Le premier est prêt à sacrifier jusqu’aux intérêts américains pour soutenir militairement et politiquement un Israël devenu partie prenante dans la stratégie des Etats-Unis au Proche et Moyen-Orient.
Dans un contexte international marqué par un repli américain, la Chine mise sur une diplomatie économique incarnée par les Nouvelles routes de la soie. Pékin déploie sa stratégie de soft power en consolidant ses partenariats, notamment en Afrique, continent clé pour les marchés émergents, comme en témoignent ces récents accords stratégiques avec l’Algérie. En l’espace d’un mois, Alger et Pékin ont conclu plus d’une dizaine d’accords majeurs, renforçant leur coopération dans des secteurs vitaux.
La récupération des locaux commerciaux à l’abandon depuis plus d’une décennie marque la fin d’une époque, celle de l’improvisation et du volontarisme sans perspectives ni objectifs. Des instructions gouvernementales ont été réitérées ces dernières années en direction des walis, et l’opération se poursuit encore à travers les collectivités locales à l’effet de reconvertir et de rentabiliser ces structures oubliées.