En cette journée du samedi 18 janvier 2025 qui fut pluvieuse à Sétif, le chemin menant au Park Mall était plutôt mouvementé. Et pour cause, la ville de Sétif s’était ornée de ses plus beaux atours afin d’honorer la mémoire d’un de ses fils sportifs et surtout révolutionnaires ayant écrit son histoire en lettres d’or pleine de gloire.
La ville d’Annaba est en deuil après la disparition du Dr Kacha Azzedine, coordinateur médical au niveau de la commune d’El Bouni, relevant de l’EPSP d’Annaba. Homme de devoir et de grande humanité, il a marqué de son empreinte la santé publique dans la région, laissant derrière lui un héritage de dévouement et de professionnalisme.
Il est parti notre champion. Sur la pointe des pieds, loin des clameurs de la salle Harcha, des rings d’ici et d’ailleurs et du brouhaha de la vie. Il avait bouclé ses quatre-vingts ans, mais il paraissait nettement moins arborant fièrement, au moins la soixantaine, bon pied bon œil.
Mine affable, aux grands yeux vifs et chaleureux, Rabah Kheddouci m’a agréablement surpris en assistant au dernier Festival de la littérature et de la poésie, tenu à Ouargla durant la dernière semaine du mois de novembre 2024, ayant pour thème : «La littérature pour enfants», un créneau cher à mon mentor de marque.
C'est dans une excellente ambiance de fête et de souvenirs que l'association La Radieuse, présidée par Kada Chafi, a rendu un vibrant et émouvant hommage à des personnalités journalistiques qui ont marqué la presse sportive à la Radio et la Télévision nationales.
Une quinzaine de films traitant de plusieurs thématiques étaient au programme de la 20e édition de la Semaine du film algérien à Lille dédiée à la mémoire de l’artiste Djaaffar Bouhouf, décédé récemment.
Malgré sa défaite, samedi, en dehors de ses bases face à l’ASO Chlef, la JS Kabylie garde toujours sa place en tête du classement. Elle a raté de peu le partage des points avec son homologue de l’ASO qui a, à la dernière minute des débats, réussi à inscrire l’unique but de la partie et s’emparer des trois points de la victoire.
Des gerbes de fleurs ont été déposées devant les stèles érigées à la mémoire du colonel Abane Ramdane à Oued Aissi et à Larbaâ Nath Irathen.
On ne peut pas évoquer l’âge d’or du cinéma algérien dans les années 1960 et 1970, ayant vu la production de chefs d’œuvre du 7e art, sans citer le célèbre duo «Inspecteur Tahar-l’Apprenti», incarné par les regrettés Hadj Abderrahmene et Yahia Benmabrouk.
La scène culturelle algérienne vient de perdre une énième plume, et pas des moindres. Boudaoud Amier, l’enfant prodige de Aïn Sefra (Naâma) nous quitte prématurément à l’âge de 64 ans.
Un bel hommage a été rendu, ces jours-ci, à l’artiste algérien M’hamed Issiakhem, précisément au hall de la salle de spectacles qui porte son nom, et ce, à l’initiative de l’association locale «Vue sur les arts culturelles».
L’écrivaine et pédagogue, Djoher Amhis, a eu droit à un vibrant hommage qui lui a été rendu, samedi, dans sa commune natale, Ath Yenni, dans la wilaya de Tizi Ouzou, où l’APC, en collaboration avec le comité communale des fêtes ainsi que l’association des amis de la rampe Louni Arezki de La Casbah, a concocté un riche programme d’activités en l’honneur à cette femme emblématique de la région.
L’APC d’Ath Yenni, à 45 kilomètres au sud-est de la wilaya de Tizi Ouzou, a, en collaboration avec le comité communal des fêtes ainsi que l’association Les Amis de la rampe Louni Arezki de La Casbah, a rendu, hier, hommage à l’écrivaine et pédagogue Djoher Amhis, dont la vie et le parcours ont été revisités par des membres de sa famille, ses amis, des universitaires ainsi que des hommes de culture.
Le café culturel Derb Sidi el Djebbar a rendu un vibrant hommage à l’écrivain et homme de théâtre Othmne Allal (1922-2002).
Native d’Ath Yenni, Djoher Amhis-Ouksel, éducatrice et essayiste de renom, s’est très tôt intéressée à la littérature algérienne. A son actif, plusieurs essais. L’association Les Amis de la Rampe Louni Arezki, présidée par l’infatigable Lounis Aït Aoudia, rendra hommage à une essayiste, presque centenaire, qui a tant donné à la littérature algérienne.
Madame, Avec mes sincères condoléances, je m’associe à votre chagrin. Je partage également votre douleur parce que je perds plus qu’un ami, un frère qui a lutté à nos côtés, en s’éloignant de sa communauté d’origine.
Une exposition en hommage au peintre Abderrahmane Mekki est proposée au public du musée d’Oran depuis jeudi dernier, jour du vernissage qui a rassemblé un grand nombre d’invités, dont notamment des artistes peintres, des enseignants dans les Beaux-Arts mais surtout beaucoup d’étudiants du domaine et de l’école d’Oran en particulier.
Ils étaient tous là. Les membres de sa famille, ses amis, d’anciens maquisards, des fils de chouhada, des représentants des autorités... L’occasion est de rendre un vibrant hommage à un moudjahid de la commune de Yakourene.
Au début de l’année 1954, Badji Mokhtar avait participé à la création du Comité révolutionnaire d’unité et d’action (CRUA), avec Mostefa Benboulaïd.
Sobre mais merveilleux hommage que celui auquel le chanteur Akli Aït Boumehdi a eu droit, dernièrement, à l’occasion de la célébration de son 69e anniversaire et de ses presque cinquante ans de carrière.