La visite du président Tebboune à Paris était programmée pour le mois de mai 2023. Elle a été décalée, par la suite, au mois de juin de la même année.
La campagne de Donald Trump bat son plein, marquée par des railleries, des imitations et des imprécisions. Samedi, lors d'un meeting de campagne en Iowa, État-clé qui sera le premier à voter pour les primaires républicaines le 15 janvier, Emmanuel Macron en a été la cible.
Fidèle à ses engagements, Emmanuel Macron a officiellement saisi le Conseil constitutionnel une semaine après l'adoption contestée du projet de loi sur l'immigration. Les débats à l'Assemblée nationale, initialement rejetés, ont été durcis au fil des négociations entre l'exécutif et la droite. Le Président, répondant ainsi à un engagement pris, souhaite garantir la conformité des mesures avec le cadre de la Ve République.
Les positions de soutien à Israël sont vivement critiquées, y compris par les diplomates, notamment en France et aux Etats-Unis. Le malaise au sein de la diplomatie française au Moyen-Orient est désormais public, marquant une rupture historique.
Alors que la grande manifestation du 12 octobre dernier est passée devant l’ambassade de France à Tunis sans crier le moindre slogan anti-français, ce n’est plus le cas depuis l’assimilation le 24 octobre par le président Macron de Hamas à Daech et son appel à une coalition internationale anti-Hamas, comme celle initiée en 2014 contre Daech en Irak et en Syrie.
Le président français Emmanuel Macron était mardi sous le feu des critiques des deux côtés de l'Atlantique après ses propos appelant l'Union européenne à ne pas être "suiviste" des Etats-Unis ou de la Chine sur la question de Taïwan.
Le brouillard de la crise diplomatique entre l’Algérie et la France se dissipe pour laisser place à un retour à la normale des relations bilatérales. En effet, après une brouille qui a duré près de deux mois, les deux chefs d'Etat algérien et français se sont entretenus au téléphone le vendredi 24 mars.
L’Algérie et la France ont convenu, à la faveur de la visite jeudi du président français, Emmanuel Macron, de «consolider» les relations bilatérales. Les deux chefs d’Etat ont évoqué le «renforcement» de la coopération bilatérale dans de nombreux domaines. Il est question aussi de poursuivre le travail autour des questions mémorielles, d’intensifier la concertation autour des questions internationales et de «conjuguer» les efforts pour garantir la stabilité dans la région.
Le président français Emmanuel Macron sera accompagné, lors de sa visite en Algérie qu’il entame aujourd’hui, de près d’une centaine de personnes, dont des ministres, des parlementaires, des chefs d’entreprises, des universitaires et plusieurs personnalités franco-algériennes issues de la société civile.
Outre les relations bilatérales, les enjeux régionaux ou internationaux vont certainement être au centre des discussions entre les deux chefs d’Etat. A ce titre, étant à la recherche, comme plusieurs autres pays européens, d’alternatives au gaz russe, la France pourrait également «prospecter» du côté de l’Algérie en espérant un renforcement de la coopération dans ce domaine.
La bataille pour les législatives, les 12 et 19 juin, s’annonce très disputée, alors que la candidate d’extrême droite Marine Le Pen, qui a gagné environ huit points depuis la présidentielle de 2017, a atteint un score historique avec 41,45% des suffrages.
Dimanche 24 avril 2022, à l’issue du second tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron (La République en marche) est réélu président de la République française avec 58,54% des suffrages exprimés pour un second mandat.
La France est politiquement coupée en trois : bloc central avec un Macron se nourrissant des transfuges de droite et de gauche ; bloc nationaliste d’extrême droite et bloc radical de l’Union populaire dont les électeurs en votant Macron lui ont permis d’être reconduit à l’Élysée.
Nul ne sera laissé au bord du chemin.» «Ce vote m’oblige.» Ce sont les premiers mots prononcés dimanche soir par Emmanuel Macron, réélu avec 58,54% des voix. Il sait que beaucoup d’électeurs n’ont pas voté pour lui ou pour son projet mais pour faire barrage à Marine Le Pen.
Emmanuel Macron a donc été confortablement réélu ce dimanche 24 avril pour un second mandat contre son éternelle rivale, Marine Le Pen...
La campagne présidentielle française se poursuit à un rythme acharné et le ton se durcit entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, qui s’accusent mutuellement de «brutalité» et continuent de faire des appels du pied aux électeurs de gauche, dont le vote sera crucial pour le deuxième tour.
L’ancien chef de l’Etat Nicolas Sarkozy, figure tutélaire de la droite en France, a annoncé hier qu’il voterait au second tour de la présidentielle pour Emmanuel Macron qui «est, en l’état actuel des choses, le seul en situation d’agir», selon lui. L’ancien Premier ministre socialiste Lionel Jospin a également indiqué qu’il apporterait sa voix au président sortant pour «écarter» la candidate d’extrême droite Marine Le Pen.
Alors qu’une immense majorité de Français aurait préféré une autre affiche pour le second tour de la présidentielle, Emmanuel Macron est une nouvelle fois largement arrivé en tête (27,6%), devant la très droitière Marine Le Pen (23,4), le candidat de la gauche radicale Jean-Luc Mélenchon (22) et un deuxième candidat de l’extrême-droite, Eric Zemmour (7,1). Même si aucun scrutin n’est gagné d’avance, avec près de 28% des suffrages, Emmanuel Macron a de fortes chances d’être réélu le 24 avril 2022.
Si quelques interrogations se posent pour décoder ce scrutin 2022, les favoris que les sondages déterminent parmi douze candidats sont loin d’être des inconnus. Le cœur politique de la France balance entre trois avenirs : la reconduction du président sortant ; l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite incarnée par Marine Le Pen (troisième candidature) ou le retour du balancier vers la gauche avec l’accession au pouvoir du leader de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon (troisième candidature, Union populaire).
Une rencontre avec des représentants de toutes les mémoires blessées de la guerre d’Algérie a été vue hier à Paris comme un appel à l’apaisement de la part de la présidence française. Appelés, combattants indépendantistes, harkis et rapatriés se trouvaient côte à côte lors d’une cérémonie. Des historiens aussi étaient présents, des lycéens et des collégiens.