Pour répondre à cette demande croissante, Air Algérie adapte son offre en renforçant les liaisons aériennes vers Tamanrasset, Djanet, Adrar et Ghardaïa.
En effet, Air Algérie a toujours entrepris des initiatives significatives dans la perspective de développer le tourisme saharien, un atout incontournable du patrimoine algérien.
Dans la plainte déposée par M. Latombe au PNF, ont été mis en cause Ali bin Fetais al-Marri, ancien procureur général du Qatar, Jean-Paul Soulié, puissant businessman et maillon fort de la relation franco-qatarie ainsi que des membres de la Cour de La Haye.
Des organes de presse ont rapporté récemment qu’un signalement a été fait auprès du Pôle national financier (PNF) en France pour soupçons de corruption, visant Mohamed Bedjaoui plus deux autres personnes.
Bien sûr que non !! C’est la justice internationale qui est outrageusement mise en cause.
La direction du tourisme encourage la réalisation de structures plus légères et respectueuses de l’environnement. Les nouveaux projets permettront d’augmenter les capacités d’accueil de la wilaya.
La région de Tikjda, au nord de Bouira, n’est pas l’unique destination touristique de la wilaya. D’autres sites naturels tout aussi attrayants et préservés peuvent même rivaliser avec la célèbre perle du Djurdjura qui a accueilli 3233 touristes étrangers en 2023.
Le désir de la diaspora de jouer un rôle plus actif dans le développement de l’Algérie est un phénomène de plus en plus marquant. Ce retour aux racines, motivé par un sentiment d’appartenance et un désir de contribuer à l’édification de leur pays d’origine, se manifeste de plus en plus.
Le plastique est omniprésent dans notre environnement. Ce qui n’est pas sans conséquences sur l’environnement ainsi que sur la santé. En effet, ce produit, qui est en continuelle interaction avec l’environnement des individus, finit par s’infiltrer dans le corps humain, et cela, soit par ingestion, inhalation ou contact direct. D’ailleurs, de plus en plus de microparticules plastiques sont retrouvées dans le corps humain. Et les effets sur la santé peuvent être divers. L’environnement n’est pas épargné non plus. Il subit les conséquences de la croissance exponentielle de la production mondiale du plastique de plein fouet. Sachant que la production mondiale de plastique a explosé passant de 2 millions de tonnes en 1950 à plus de 400 millions aujourd’hui. Plus loin encore, les experts ont même estimé que cette production devrait doubler en 2040 et tripler en 2060. Dans ce dossier, El Watan revient sur les principales études réalisées au sujet de l’impact du plastique sur la santé et l’environnement qui a fait réagir des experts, chacun dans sa spécialité. Explications !
Selon Karim Ouamane, la migration des additifs des emballages vers les aliments est un phénomène complexe, influencé par une multitude de facteurs.
Sachets en plastique, barquettes en aluminium, boîtes de conserve, boîtes en carton... Les emballages sont beaucoup utilisés dans l’agroalimentaire et sont aujourd’hui largement décriés pour leur impact et dangers sur la santé. Certains composants chimiques de ces emballages représentent des contaminants potentiels. En effet, ils peuvent migrer vers les aliments et les boissons.
Selon le dernier rapport annuel de la Banque d’Algérie, cela représente environ 8 273 milliards DA sur un total de 24 330 milliards DA en circulation. Une telle somme, hors du contrôle des institutions bancaires, alimente une économie informelle qui rivalise en ampleur avec l’économie formelle.
Une loi, assez ancienne, n’a pas été suivie concernait l’obligation de faire passer par les banques de transactions supérieures à 50 000 DA.
Avant de répondre à votre question, il y a lieu de rappeler que le phénomène de l’économie informelle est ancien en Algérie.
Un ensemble de mesures pragmatiques peuvent être proposées pour sortir du cercle vicieux de l’informalité. Les décideurs politiques devraient comprendre qu’aucune réforme sérieuse ne réussit si elle n’associe pas l’ensemble des acteurs politiques, économiques et sociaux dans ce projet.
Selon les derniers chiffres annoncés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à l'occasion de la Journée mondiale du diabète, les cas de diabète ont quadruplé, dans le monde, depuis 1990. En effet, on compte désormais plus de 800 millions d’adultes atteints par la maladie. Et face à cette hausse inquiétante, la sensibilisation quant aux dangers de la maladie et la promotion d’une hygiène de vie saine semblent être les seuls remparts. Explications !
Des vidéos, devenues virales sur les réseaux sociaux, font la publicité d’un «protocole médical». Communément appelée «l'aiguille minceur», cette injection aiderait à perdre du poids rapidement. «Ces injections sont en fait de nouvelles thérapies.
Le diabète de type 2 (DT2), en particulier, progresse de manière alarmante au niveau mondial, mais aussi le diabète de type 1 (DT1). L’Algérie n’échappe malheureusement pas à cette tendance.
C’est l’engagement pris par le président de la République, qui a installé récemment la commission de révision des codes communal et de wilaya. Objectif : «accorder de larges prérogatives aux élus et renforcer davantage la décentralisation afin d’insuffler une nouvelle dynamique de développement au niveau local».
Effectivement, le président de la République, dès l’entame de son deuxième mandat comme premier magistrat du pays, a installé la commission nationale pour la réforme des codes communal et de wilaya. La cellule est présidée par M. Dahou Ould Kablia qui est bien rodé dans les rouages des collectivités locales.