La dernière semaine du noctambulisme qui caractérise le mois de Ramadhan est sans conteste celle des enfants. Ils sont, en effet, garçons et filles, remarquablement si nombreux à se faire accompagner par leurs parents le temps de longues déambulations, particulièrement dans le centre-ville et ses rues commerçantes mais aussi dans d’autres lieux, réputés comme tels, à la recherche des bonnes affaires pour mieux s’habiller le jour de l’Aïd.
La fin de Ramadhan et les préparatifs de l’Aïd El Fitr ont été marqués cette année dans la wilaya de Chlef par un événement exceptionnel durant la nuit de dimanche à lundi passés.
La flambée des prix des fruits et légumes a marqué encore une fois les esprits pendant ce ramadhan et particulièrement à l’approche de l’Aïd el fitr exerçant une pression supplémentaire sur les budgets des ménages.
A Mascara, à l’approche de l’Aïd El Fitr, marquant la fin du mois de Ramadhan 1446 de l’Hégire, de nombreuses familles font face à une réalité difficile : des prix de vêtements qui atteignent des sommets, rendant les achats particulièrement compliqués.
La fièvre aphteuse, cette maladie qui touche les cheptels de bovins, ovins et caprins fait encore parler d’elle.
Depuis 2014, les pouvoirs publics avaient lancé une offensive contre la maladie de la fièvre aphteuse. D’énormes budgets ont été mobilisés afin de l’éradiquer. Cependant, plus de 10 ans après, la maladie persiste toujours et revient en force dans certaines zones du pays.
Depuis son apparition en Algérie, les services concernés par la lutte contre la maladie de la fièvre aphteuse arrivent péniblement à juguler sa propagation, avant qu’elle ne revient de front dans les exploitations.
Chaque année, les marques et agences publicitaires investissent massivement dans les campagnes de communication durant le Ramadhan. Elles veulent atteindre «un stock de notoriété» pour le reste de l’année et déclencher ainsi l’acte d’achat dans un contexte économique sensible où l’inflation dicte sa loi.
Dès les premiers jours, les hôtels se sont parés de leurs plus beaux atours : les kheimas, ont été dressées, évoquant les traditions ancestrales.
Israël a repris sa guerre génocidaire contre Ghaza. De violents raids ont été effectués à l’aube de la journée d’hier, contre des tentes et des abris, tuant 419 Palestiniens, majoritairement des femmes et des enfants et blessant 528 autres. L’opération, qui a duré plus de deux heures, a été autorisée par l’administration Trump, sous prétexte que le Hamas a refusé d’accepter le plan de libération des otages sans la garantie de la fin de la guerre et du retrait des troupes israéliennes de Ghaza. A l’exception des USA, la communauté internationale a été unanime à dénoncer ce nettoyage ethnique.
A l’exception de l’administration Trump, qui a soutenu les frappes israéliennes et donné le feu vert pour leur exécution, la communauté internationale a été unanime à exprimer sa réprobation contre la reprise de la guerre génocidaire à Ghaza.
Son homologue égyptien a indiqué, dans un communiqué, que les raids israéliens sur Ghaza «constituent une violation flagrante de l’accord de cessez-le-feu et une escalade dangereuse», avant de rejeter «toutes les attaques israéliennes visant à raviver les tensions dans la région et à contrecarrer les efforts de calme».
Historien de référence du nationalisme et de la Révolution algériens et acteur de premier plan de cette Révolution au sein du FLN, Mohamed Harbi - ayant lui-même participé aux premières négociations - rappelle avec concision le contexte politique dans lequel les Accords d’Evian ont été signés, leur contenu. Il nous livre aussi des clés de compréhension de la relation algéro-française qu’il analyse sans concession, et ouvre avec pertinence des questionnements dont devraient se saisir les responsables politiques des deux Etats. Mohamed Harbi est l’auteur d’ouvrages qui font autorité, dont Archives de la Révolution algérienne, Jeune Afrique, 1981 ; Le FLN, mirage et réalité, Jeune Afrique, 1980 et 1984 ; Le nouvel ordre international, Arcantères, 1992 ; L'islamisme dans tous ses états (sous sa direction) Arcantère 1991 ; L'Algérie et son destin, Arcantère, 1992 ; Le FLN, mirage et réalité, 1993 ; 1954, La guerre commence en Algérie, Complexe, 1998 ; Une vie debout, vol. 1, La découverte, 2001 ; Une vie debout : mémoires, 2001 La Découverte; La Guerre d'Algérie (en collaboration avec Benjamin Stora, 2004) ; Le FLN : Documents et histoire, 1954-1962, (en collaboration avec Gilbert Meynier, Fayard, 2004).
Les premiers contacts secrets entre les représentants du FLN (Front de libération nationale) et ceux du gouvernement français remontent à avril 1956, avec des émissaires pour rencontrer Abane Ramdane, à Alger, et Khider Mohamed, au Caire.
Quand une nation n’a plus le recul nécessaire pour juger la moralité de ses actions, elle restera enfermée dans son arrogance ou sa supposée supériorité. Elle sombrera dans l’anesthésie morale et fera le deuil de toute résonance affective aux notions de bien et de mal. C’est la Nostalgérie ! HSL
Dans le contexte actuel de crise des relations franco-algériennes, un retour sur le 19 mars 1962, moment de la sortie de guerre et début de la transition vers l’indépendance, révèle au-delà de toutes les justifications d’aggiornamento des relations entre les deux pays, les fondements politico-idéologiques d’une partie de la classe politique française revancharde, aujourd’hui vent debout contre l’Algérie et les Algériens.
l Les choix sont diversifiés et le spectateur (ou l’internaute !) peut opter pour le genre de série qu’il souhaite : celles traitant de faits sociaux, des comédies un brin décalées, des dramas ou même des sitcoms désopilantes.
On ne peut pas ne pas parler de la Gazette, cette sitcom désopilante qui joue chaque soir sur Samira TV. Comme son titre l’indique, ça se passe dans un journal, dans une ville imaginaire, une sorte de combo entre Alger et New York : Aïn Jersey.
Dans un registre beaucoup plus léger, il y a le feuilleton El Rbaa de Walid Bouchebbah, avec, là encore, un beau casting : Nabil Asli, Nassim Hasddouche, Hakim Zeloum, Adel Chikh, Rabii Oudjitt, Adila Bendimred, Nacer Soudani, etc.
Li fat mat est un feuilleton que diffuse chaque soir la chaîne One Tv. Il est du cru du réalisateur Karim Moussaoui, celui à qui on doit le feuilleton Aïn El Djenna, diffusé pendant le Ramadhan 2023, ainsi que deux longs métrages.