Ces produits, interdits actuellement à l’importation, sont souvent privés de contrôle de qualité et posent des menaces réelles pour la santé des consommateurs.
La réglementation en vigueur est celle relative aux aliments (denrées alimentaires), ce qui veut dire que c’est pratiquement la même réglementation qui gère les aliments de tous les jours que nous connaissons et celle des compléments alimentaires, et ce sont des produits vendus partout, pas seulement en officine.
Le problème majeur concerne les produits introduits clandestinement, souvent appelés «produits cabas», qui échappent totalement aux contrôles sanitaires.
l Il est impératif de savoir que seuls les médecins sont autorisés à injecter de l’acide hyaluronique ou du botox et de pratiquer des gestes de médecine esthétique l D’ailleurs, ces pratiques, qui se multiplient dans les salons de beauté, chez les coiffeuses ou même dans certains Spa, relèvent de l’exercice illégal de la médecine et sont contraires aux mœurs de la population.
Les expériences vécues lors des mouvements populaires du Printemps arabe ont vu l’émergence de nouveaux outils et concepts, notamment sur les réseaux sociaux qui ont concurrencé les médias dans la mobilisation des foules.
La diplomatie publique peut se manifester sous diverses formes, parmi lesquelles la culture occupe une place centrale.
Dr Salah Eldeen Saleh Emhemed, membre de l’équipe de formation et conseiller juridique de l’Agence libyenne de la recherche scientifique au sein du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique libyen, revient dans cet entretien accordé à El Watan sur les enjeux de la diplomatie numérique et de la gestion des crises dans les pays arabes.
Le Sud, avec ses paysages spectaculaires, ses oasis verdoyantes et son patrimoine culturel, se positionne comme une destination idéale pour développer le tourisme solidaire et oasien. Cette approche, axée sur le respect des communautés locales et de l’environnement, représente une véritable carte à jouer pour dynamiser l’économie de la région tout en préservant ses richesses.
L’organisation de cette caravane de tourisme solidaire à travers Ghardaïa et Timimoun a constitué un moment enrichissant.
Aujourd’hui, de nombreux propriétaires se retrouvent dans une situation inextricable, leurs lots de terrain sont coupés en deux parties par les câbles électriques qui les survolent.
Durant la fin des années 1970 et début 1980, l’Etat avait lancé un vaste chantier d’électrification rurale à travers le territoire national. Des supports électriques ont été implantés dans des milliers de propriétés privées.
Pour répondre à cette demande croissante, Air Algérie adapte son offre en renforçant les liaisons aériennes vers Tamanrasset, Djanet, Adrar et Ghardaïa.
En effet, Air Algérie a toujours entrepris des initiatives significatives dans la perspective de développer le tourisme saharien, un atout incontournable du patrimoine algérien.
Dans la plainte déposée par M. Latombe au PNF, ont été mis en cause Ali bin Fetais al-Marri, ancien procureur général du Qatar, Jean-Paul Soulié, puissant businessman et maillon fort de la relation franco-qatarie ainsi que des membres de la Cour de La Haye.
Des organes de presse ont rapporté récemment qu’un signalement a été fait auprès du Pôle national financier (PNF) en France pour soupçons de corruption, visant Mohamed Bedjaoui plus deux autres personnes.
Bien sûr que non !! C’est la justice internationale qui est outrageusement mise en cause.
La direction du tourisme encourage la réalisation de structures plus légères et respectueuses de l’environnement. Les nouveaux projets permettront d’augmenter les capacités d’accueil de la wilaya.
La région de Tikjda, au nord de Bouira, n’est pas l’unique destination touristique de la wilaya. D’autres sites naturels tout aussi attrayants et préservés peuvent même rivaliser avec la célèbre perle du Djurdjura qui a accueilli 3233 touristes étrangers en 2023.
Le désir de la diaspora de jouer un rôle plus actif dans le développement de l’Algérie est un phénomène de plus en plus marquant. Ce retour aux racines, motivé par un sentiment d’appartenance et un désir de contribuer à l’édification de leur pays d’origine, se manifeste de plus en plus.
Le plastique est omniprésent dans notre environnement. Ce qui n’est pas sans conséquences sur l’environnement ainsi que sur la santé. En effet, ce produit, qui est en continuelle interaction avec l’environnement des individus, finit par s’infiltrer dans le corps humain, et cela, soit par ingestion, inhalation ou contact direct. D’ailleurs, de plus en plus de microparticules plastiques sont retrouvées dans le corps humain. Et les effets sur la santé peuvent être divers. L’environnement n’est pas épargné non plus. Il subit les conséquences de la croissance exponentielle de la production mondiale du plastique de plein fouet. Sachant que la production mondiale de plastique a explosé passant de 2 millions de tonnes en 1950 à plus de 400 millions aujourd’hui. Plus loin encore, les experts ont même estimé que cette production devrait doubler en 2040 et tripler en 2060. Dans ce dossier, El Watan revient sur les principales études réalisées au sujet de l’impact du plastique sur la santé et l’environnement qui a fait réagir des experts, chacun dans sa spécialité. Explications !