Selon les derniers chiffres annoncés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à l'occasion de la Journée mondiale du diabète, les cas de diabète ont quadruplé, dans le monde, depuis 1990. En effet, on compte désormais plus de 800 millions d’adultes atteints par la maladie. Et face à cette hausse inquiétante, la sensibilisation quant aux dangers de la maladie et la promotion d’une hygiène de vie saine semblent être les seuls remparts. Explications !
Des vidéos, devenues virales sur les réseaux sociaux, font la publicité d’un «protocole médical». Communément appelée «l'aiguille minceur», cette injection aiderait à perdre du poids rapidement. «Ces injections sont en fait de nouvelles thérapies.
Le diabète de type 2 (DT2), en particulier, progresse de manière alarmante au niveau mondial, mais aussi le diabète de type 1 (DT1). L’Algérie n’échappe malheureusement pas à cette tendance.
C’est l’engagement pris par le président de la République, qui a installé récemment la commission de révision des codes communal et de wilaya. Objectif : «accorder de larges prérogatives aux élus et renforcer davantage la décentralisation afin d’insuffler une nouvelle dynamique de développement au niveau local».
Effectivement, le président de la République, dès l’entame de son deuxième mandat comme premier magistrat du pays, a installé la commission nationale pour la réforme des codes communal et de wilaya. La cellule est présidée par M. Dahou Ould Kablia qui est bien rodé dans les rouages des collectivités locales.
De nombreux spécialistes soutiennent que l’Algérie est appelée à s’inspirer des expériences des pays du bassin méditerranéen qui ont réussi à transformer leur patrimoine en ressource touristique.
Enseignant-chercheur à l’Université de Sfax en Tunisie, le Dr Mohamed Souissi mène des projets de recherche en partenariat avec l’Université Lyon II, en France. Centrées sur les enjeux du tourisme, ces recherches ont donné lieu à des publications et à l’organisation de colloques. Rencontré en marge du Colloque international sur le tourisme et le patrimoine urbain dans la région méditerranéenne organisé, les 11 et 12 novembre, à l’université Mentouri de Constantine, il nous a livré son point de vue sur l’importance de la médina comme patrimoine inestimable et sur la démarche patrimoniale mise en œuvre pour intégrer la médina de Tunis au circuit touristique. Il revient ici sur le processus par lequel cette intégration a été réalisée en Tunisie avec l’appui des acteurs locaux.
Enseignante à la faculté des sciences de la terre, de la géographie et de l’aménagement du territoire de l’université des Frères Mentouri Constantine 1, le Dr Lamia Bouldjemar aborde dans cet entretien la législation régissant la préservation du patrimoine urbain en Algérie.
Prévue jusqu’au 22 novembre à Bakou, en Azerbaïdjan, la COP29 est présentée comme celle des finances. En effet, les Etats doivent s’accorder sur un nouvel objectif mondial de financement pour lutter contre le réchauffement climatique. Explications !
La COP29 de Bakou, en Azerbaïdjan, se déroule dans une atmosphère internationale très particulière, marquée par une série d’événements, crises et conflits qui ne manqueront pas de peser sur la qualité des décisions qui en sortiront.
Première nouvelle ! La COP28 a été lancée avec l’adoption des recommandations du Comité de transition sur les pertes et dommages avec des promesses de mobilisation de plus de 400 millions de dollars pour le Fonds des pertes et des dommages.
La question des «crédits carbone» revient cette année encore sur la table des négociations. Mais pour la première fois, les observateurs estiment que les pays pourraient s’entendre sur un mécanisme crédible et susceptible de contribuer à la réduction des gaz à effet de serre. D’ailleurs, à l’ouverture de la COP29, un premier résultat a été obtenu concernant les règles régissant le marché des crédits carbone, sachant que ce type de crédits n’obéissait pas à une régulation au niveau international.
L’alerte a été donnée lorsqu’un groupe de chercheurs affiliés au programme dédié aux coraux à la NOAA, après avoir obtenu des rapports confirmés sur des phénomènes de blanchissement dans 74 pays ou territoires, dans les hémisphères Nord et Sud, mettaient en garde : «La planète se trouve actuellement au beau milieu de l’épisode de blanchissement le plus massif jamais enregistré.»
Pour inciter les nouveaux diplômés à être des entrepreneurs, l’opération «un diplôme/une start-up» est lancée depuis deux ans. Etat des lieux et mode d’emploi de l'entrepreneuriat universitaire.
Le e-commerce vient en tête des projets proposés par les étudiants en fin de cycle. Les universités de l’est du pays sont classées premières en nombre d’idées innovantes. Un guichet unique sera prochainement mis en place. Ahmed Mir, président de la Commission nationale de coordination et de suivi de l’innovation et des incubateurs universitaires et aussi directeur des études à la direction générale de la recherche scientifique et le développement technologique au ministère de l’Enseignement supérieur, explique dans cet entretien que la politique «un diplôme/une start-up» connaît une adhésion de la corporation estudiantine.
La nappe albienne, plus grande réserve d’eau souterraine au monde connue à ce jour, s’étire sur un million de kilomètres carrés et s’étend sur les territoires algérien (70%), libyen (20%) et tunisien (10%), en continu de l’Atlas saharien dans le Nord jusqu’au Tassili du Hoggar au Sud.
Des hydrogéologues algériens commencent, depuis ces dernières années, à s’inquiéter sérieusement du contrôle total qu’exerce Tunis sur le fleuve Medjerda, qui prend sa source en Algérie, mais s’écoule sur plus de 460 km, dont 350 en Tunisie. Aussi, l’Institut national de recherche agronomique (INRA) s’était ému des pompages massifs de la détérioration de la nappe albienne du fait des pompages massifs opérés par les Libyens.
Dans le langage commun on la nomme «la mer souterraine du Sahara», une gigantesque nappe d’eau enfouie sous les sables du Sahara, région la plus sèche de la planète où il ne pleut quasiment jamais (2 mm/an).
Parmi les légumes ayant connu une hausse marquée, la pomme de terre, aliment de base pour de nombreuses familles, a vu son prix bondir sur les marchés de détail, oscillant entre 100 et 120 DA le kilogramme.
Ces dernières semaines, les prix des fruits et légumes sont repartis à la hausse au grand dam des ménages, notamment ceux ayant des revenus modestes. «Les citoyens n’en peuvent plus. La cherté de la vie, provoquée par l’inflation, ne cesse de susciter des désagréments aux ménages», se désole un père de famille rencontré lors de notre virée dans un marché de proximité à la Nouvelle Ville de Tizi Ouzou.