En Algérie, les «glissements de terrain» représentent une menace naturelle récurrente, souvent aux conséquences dramatiques. Si ces phénomènes sont directement liés à des facteurs géologiques et climatiques, leur impact est considérablement aggravé, voire provoqué par de multiples agressions contre les règles d’urbanisme et d’architecture.
Le centre-ville de Aïn El Turk, dans la wilaya d’Oran, a été le théâtre, hier aux aurores, d’un spectaculaire glissement de terrain, survenu sur un site attenant à la place du 20 Août, appelée aussi «rond-point El Chems».
A Oued Kouba, sur le boulevard Seddik Benyahia, au chef-lieu de Annaba, le chantier immobilier de la société Brabri Immo s’est imposé comme le symbole d’une urbanisation anarchique, en rupture totale avec les règles d’aménagement.
La ruée inédite ces dernières années sur les métaux rares et minerais critiques pour les besoins sans cesse grandissants de la transition énergétique et la digitalisation de l’économie mondiale, auxquelles s’ajoute la course aux technologies de défense, préfigure une escalade des tensions et l’intensification du bras de fer entre puissances.
Mettant en avant l’importance de l’automatisme pour la recherche et le développement dans le domaine des minerais critiques et des terres rares, Nabil Ibn Sharif, ingénieur en automatisme des systèmes avancés et smart building (Université de Lyon), estime que «l’explosion de la demande mondiale pour certains minerais stratégiques ; lithium, cobalt, nickel, terres rares... constitue une opportunité unique pour des pays riches en ressources naturelles, comme l’Algérie, de se repositionner dans la chaîne de valeur mondiale».
La maîtrise des terres rares, ces éléments qui, décidément, incarnent et définissent les fondements du pouvoir et de l’autorité, «est au cœur d’une concurrence féroce entre les grandes puissances, notamment la rivalité sino-américaine pour la suprématie technologique mondiale», tranche le Pr Mohamed Benouaret.
Outre le génie électrique et l’informatique, le champ d’intérêt scientifique du Pr Benouaret porte essentiellement sur les algorithmes avancés pour l’optimisation, les applications de la logique floue et l’intégration des technologies de l’Internet des objets (IoT) dans les systèmes de climatisation. Il s’est particulièrement spécialisé dans l’implémentation en temps réel de systèmes intelligents et embarqués dédiés à la robotique, à l’aéronautique, à l’irrigation intelligente, au développement agricole et aux systèmes d’énergie renouvelable ainsi que leurs applications.
Les parents des enfants autistes estiment qu’il y a une prise de conscience quant à cette catégorie, et la collaboration entre tous les acteurs concernés, notamment les associations, la société et surtout les institutions de l’Etat, est nécessaire pour propulser la cause des autistes vers un meilleur avenir.
Une autre étape de la vie de personnes atteintes des troubles du spectre de l’autisme (TSA) se prépare. Les enfants autistes, éprouvant des difficultés à suivre leur cursus scolaire, doivent être intégrés à une formation qualifiante dans le secteur de la formation professionnelle.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Naït Bouda évoque la prise en charge des enfants autistes. «Le plan autisme 2025-2029 est en lui-même un grand acquis après son examen au conseil des ministres». Et de suggérer : «Il y a lieu aussi de mettre en place une formation spéciale des accompagnateurs des personnes autistes et la création de postes dans ce sens».
Le spécialiste a axé sa communication sur le thème de l’inclusion et la prise en charge des personnes autistes. «L’inclusion est le mot-clé, le fil conducteur» de ce combat, dit-il. L’inclusion des enfants autistes dans toutes les sphères de la société, à savoir le milieu social et institutionnel «est l’objectif premier de l’action associative».
Le déploiement des réseaux mobiles de cinquième génération (5G) est prévu durant le second semestre de l’année en cours (2025), selon Sid Ali Zerrouki, ministre de la Poste et des Télécommunications. Des études approfondies sont menées sur ce projet stratégique, couvrant tous les aspects techniques, financiers et success stories réglementaires.
Hacene Derrar a déjà occupé le poste de secrétaire général au ministère de la Numérisation et des Statistiques. Il est actuellement consultant en stratégie du numérique. Il nous donne ses éclairages sur l’impact de la 5G.
Le ministre de la Poste et des Télécommunications, Sid Ali Zerrouki, a effectué hier une visite de terrain ponctuée de plusieurs inaugurations et annonces majeures. Accompagné du wali, Abdelkader Djellaoui, et d’une délégation officielle, le ministre a entamé sa tournée dans la nouvelle ville de Benmostefa Benaouda (Draa Erriche) avec l’inauguration d’un nouveau bureau de poste et d’une agence commerciale d’Algérie Télécom.
La dernière semaine du noctambulisme qui caractérise le mois de Ramadhan est sans conteste celle des enfants. Ils sont, en effet, garçons et filles, remarquablement si nombreux à se faire accompagner par leurs parents le temps de longues déambulations, particulièrement dans le centre-ville et ses rues commerçantes mais aussi dans d’autres lieux, réputés comme tels, à la recherche des bonnes affaires pour mieux s’habiller le jour de l’Aïd.
La fin de Ramadhan et les préparatifs de l’Aïd El Fitr ont été marqués cette année dans la wilaya de Chlef par un événement exceptionnel durant la nuit de dimanche à lundi passés.
La flambée des prix des fruits et légumes a marqué encore une fois les esprits pendant ce ramadhan et particulièrement à l’approche de l’Aïd el fitr exerçant une pression supplémentaire sur les budgets des ménages.
A Mascara, à l’approche de l’Aïd El Fitr, marquant la fin du mois de Ramadhan 1446 de l’Hégire, de nombreuses familles font face à une réalité difficile : des prix de vêtements qui atteignent des sommets, rendant les achats particulièrement compliqués.
La fièvre aphteuse, cette maladie qui touche les cheptels de bovins, ovins et caprins fait encore parler d’elle.
Depuis 2014, les pouvoirs publics avaient lancé une offensive contre la maladie de la fièvre aphteuse. D’énormes budgets ont été mobilisés afin de l’éradiquer. Cependant, plus de 10 ans après, la maladie persiste toujours et revient en force dans certaines zones du pays.