Après la commémoration du centenaire de la conquête française en Algérie, les réactions des Algériens ne se sont pas fait attendre. D’abord, les campagnes de boycott, ensuite la résistance anticoloniale par les partis politiques et les associations.
Interprète Khelifi Ahmed : Icône de l’art bédouin saharien
Quelle ambiance du tonnerre que celle de jeudi dernier à Oran quand le groupe Dendana a tout bonnement enflammé les planches du Théâtre régional face à un public déchaîné au-delà de toute expression.
Le comédien et metteur en scène Abdelkader Djeriou a été promu, jeudi dernier, commissaire du Festival international d’Oran du film arabe (Fiofa).
L’espace culturel Bachir Mentouri, de l’Etablissement Art et Culture, a accueilli, mercredi passé, dans le cadre des Mercredis du verbe et Mars au féminin, deux poétesses à la verve inépuisable.
Ce sera la dernière apparition de Benaïssa dans ce qui constituera le premier film de fiction de Malek Bensmaïl. Cela ne nous changera pas de sa thématique habituelle, à savoir l’actualité et le passé, toujours présent, de son pays, l’Algérie.
Le secrétaire général de l’organisation, Abdelkrim Khodri, a souligné, lors de cette rencontre intitulée «stratégie de l’information digitale pour préserver la mémoire nationale et faire face aux guerres de quatrième génération», l’impératif d’aller vers les outils et moyens numériques pour renforcer le front intérieur et consacrer le leadership algérien au niveau international par la riposte aux attaques qui visent l’histoire nationale, les composantes de la mémoire et le patrimoine culturel des Algériens
Invité aujourd’hui à un séminaire sur le lien entre littérature et journalisme dans des ateliers de recherche organisés par le master-doctorat Littératures francophones de Cergy Paris Université, notre ami et confrère d’El Watan Mustapha Benfodil explique son parcours dans une interview publiée par l’université qui l’accueille : «Je peux l’affirmer d’emblée : le journalisme traverse mon écriture littéraire de part en part.
Après trois années de fermeture, suite à la pandémie du Covid-19, le complexe religieux et culturel, Sidi Abderrahmane At-Thaâlibi, retrouve son lustre d’antan au grand bonheur du large public.
Ca générale de la pièce de théâtre Antigone, une tragédie adaptée de l’œuvre de Sophocle, a été présentée, mardi soir à Alger, dans le cadre des célébrations de la Journée nationale des personnes aux besoins spécifiques.
Présentée au Théâtre national Mahieddine-Bachtarzi (TNA) devant un public relativement nombreux, la pièce, interprétée par des comédiens aux besoins spécifiques, s’est déroulée en présence des ministres, de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji et de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Kaoutar Krikou.
Le secrétaire général du Haut Commissariat à l’amazighité (HCA), Si El Hachemi Assad, a annoncé hier à Ghardaïa le lancement des candidatures pour la 3e édition du prix du président de la République pour la littérature et la langue amazighes à compter de ce jour, via une plateforme numérique.
Les deux invités de l’association culturelle Tassalast, organisatrice de la rencontre, au campus Aboudaou de l’université de Béjaïa, mardi dernier, avaient pourtant deux thèmes distincts, la première proposant de parler sur la face cachée de Mouloud Mammeri, une face méconnue par beaucoup de lecteurs, atteste Tassadit Yacine.
Victime et témoin oculaire des actes commis par la soldatesque coloniale le 29 juillet 1956 à Biskra, un septuagénaire a jeté un pavé dans la mare en révélant le contenu d’une correspondance de la direction des moudjahidine de Biskra concernant la commémoration du «Dimanche noir» le 29 juillet 2021.
Reléguée au dernier plan par les gestionnaires de la ville et de la wilaya de Sétif, la culture essaye, en ces jours du mois de ramadhan, de renaître de ses cendres. Héritant d’un véritable cadeau empoisonné, la nouvelle équipe communale, marchant, le moins que l’on puisse dire, sur un champ miné, essaye tant bien que mal de redorer le blason d’un secteur naufragé.
Ouverte au public voilà déjà plus de 7 ans, la bibliothèque communale Khelifi Derraji de Skikda poursuit son parcours. Elle est même arrivée déjà à remplir une partie de ses missions en s’incrustant réellement dans son environnement immédiat.
La romancière et traductrice Amel Bouchareb est une jeune brillante plume. Rencontrée,dernièrement, lors de la tenue du 25e Salon international du livre d’Alger, elle revient entre autres sur la traduction en langue italienne de son premier roman Sakarat Nedjma et sur le lien qui la relie à ses lecteurs.
Le livre, écrit par un jeune auteur pétri de talents, attire par son style simple, mais riche en rebondissements, fruit d’une imagination débordante.
Le «Grand Prix Assia Djebar du Roman» est créé pour promouvoir la littérature algérienne, il vise à donner à celle-ci une audience internationale. Il récompense une œuvre de fiction en prose, qui se distingue par son originalité ou par son style.
L’oeuvre de l’écrivain, anthropologue et linguiste, Mouloud Mammeri, disparu il y a 23 ans, est «un legs incommensurable», a considéré vendredi l’universitaire, Hacène Hellouane, du département de la langue française de l’Université de Tizi Ouzou.