«Jezdeca» est le premier long métrage de Slovénie projeté en Algérie. Le public de la Cinémathèque d’Alger a découvert un échantillon de ce cinéma particulier de l’Europe centrale.
l La nouvelle collection de l’artiste peintre Chafa Ouzzani intitulée «Le Bâtisseur de rêves» est visible jusqu’à la fin du mois en cours, au niveau de la galerie d’art privée «Aïda» à Alger.
L’Institut français d’Oran a abrité ces jours-ci «La Balle de la dignité» un film-documentaire de Rachid Doguer qui plonge les spectateurs dans l’épopée du football algérien, depuis la création de l’équipe du FLN, pendant la guerre de libération nationale, jusqu’au premier sacre continental algérien lors de la Coupe d’Afrique des nations 1990.
Le long métrage roumain Mirciulica de Cristian Ilișuan a été projeté, samedi 24 février, à la cinémathèque d’Alger, à la faveur des 8es Journées du film européen qui se déroulent jusqu’au jeudi 29 février.
Faisant de l’impressionnisme sa principale école d’art, le défunt est resté fidèle à son pinceau en dépit des aléas de l’âge... et du temps ! «J’ai eu la chance de le rencontrer et d’être une de ses élèves.
La ministre de la Culture, Dr. Soraya Mouloudji, avait reçu les responsables de l’association MTK (Mouvement théâtral de Koléa), pour s’enquérir de leur situation.
Loin ou à côté d’Alger, pas de salle de cinéma mais encore moins de petits espaces pour le théâtre, 6e art et père du cinéma, 7e au podium, ce dernier étant devenu aujourd’hui le cousin éloigné du premier. Visionnage familial à Médéa, pour le Festival du théâtre expérimental.
Ex-directeur du Théâtre national, enseignant et organisateur d’événements culturels, il a eu le Prix de la mise en scène pour la célèbre pièce Galou laarab galou en 1983 au Festival de Carthage puis le Grand prix sur deux éditions successives en 1987 et 1989 de la même manifestation pour Les Martyrs reviennent cette semaine et El Ayta.
Après deux courts métrages intelligents sur le sens de l’existence et sur l’écrasement des individus dans la société du paraître, Out of frame, (Hors cadre) en 2016, et Pix, en 2017, la jeune cinéaste allemande Sophie Linnenbaum réalise The ordinaries (les ordinaires), un premier long métrage saisissant sur l’humain face à sa quête éperdue d’occuper l’avant-scène et de croire que c’est la bonne place.
Le commissariat du Festival du film méditerranéen d’Annaba est honoré d’annoncer son partenariat avec l’Institut du film palestinien, à travers le programme «Viva Palestina», qui se déroulera en marge de la 4e édition qui aura lieu du 24 au 30 avril dans la ville d’Annaba.
Lors d'une vente aux enchères chez Christie's à New York, les souvenirs d'Elton John ont rapporté près de 8 millions de dollars mercredi, marquant le début d'une série d'enchères consacrées à l'artiste.
Maleyka Frefj vient de signer aux éditions Frantz Fanon sa première publication intitulée La Décoloniale. Rencontrée lors de l’une de ses ventes dédicaces à la librairie Kalimet à Alger, l’auteure livre les clés de son essai et dévoile quelques secrets d’écriture.
La femme kabyle a véhiculé un héritage du néolithique (tiçrad (tatouages)), vieux de plus de 10 000 ans jusqu’à son extinction intervenue au XXe siècle.
l Les 8es Journées du film européen se dérouleront du 22 au 29 février au niveau des cinémathèques d’Alger, Oran, Béjaïa et Annaba.
Le commissariat du Festival du film méditerranéen d’Annaba est heureux d’annoncer que la comédienne plusieurs fois primée, Anamaria Marinca, rejoint les membres du jury de la sélection officielle présidée par le réalisateur et scénariste Nuri Bilge Ceylan.
Les écrivains majeurs algériens, tels que Mohammed Dib ou même Tahar Ouettar, sont parfois passés du réalisme à l’onirisme, mais les textes élaborés qui permettent un voyage épique dans des mondes imaginaires restent rares.
Dans l’entretien qu’il a accordé à El Watan, Mohamed Elkeurti parle de son recueil de nouvelles qui a rencontré un joli succès public. Il précise que ses personnages «ne sont pas gâtés, du fait que les situations dans lesquelles ils se trouvent ne sont rien moins qu’angoissantes, sinon étranges, et c’est l’‘essence même de la littérature fantastique qui suppose l’intrusion de l’irrationnel, du macabre quelquefois dans un quotidien ordinaire».
La pièce Hallaq Ichbilia (Le Barbier de Séville) du Théâtre régional Azzeddine Medjoubi d’Annaba a décroché, dimanche 18 février, le prix du jury de la 2e édition des Journées théâtrales arabes de Sétif.
Le comédien et metteur en scène palestinien Ghanam Ghanam a présenté, samedi 17 février, le spectacle Bi oumi ayni 1948 (avec mes propres yeux 1948), au Musée national archéologique de Sétif, à la faveur de la 2e édition des Journées théâtrales arabes de la capitale des Hauts-Plateaux.
L’écrivain Mustapha Hadj Ali, un passionné par les thèmes historiques, a animé samedi dernier une conférence-débat à la bibliothèque communale de la commune d’Ath Laâziz, au nord de la wilaya de Bouira autour de son roman L’Evadé de Cayenne, une œuvre consacrée à un bagnard algérien.