L’avant-projet de loi organique relative à l’information a été, pour la énième fois, au menu de la réunion du gouvernement. Renvoyé à maintes reprises par le Conseil des ministres pour enrichissement, le texte a été examiné à nouveau lors de la réunion hebdomadaire du gouvernement. Présentée par le ministre de la Communication, la nouvelle mouture, telle qu’exposée par le communiqué de l’Exécutif, tend à renforcer le contrôle sur les médias. «Ce projet de texte a pour objectif la mise en place d’un cadre législatif global qui contribuera à consolider la liberté de la presse écrite, audiovisuelle et électronique et à favoriser l’émergence d’un paysage médiatique national ancré dans les réalités nationales, conscient des enjeux nationaux et internationaux et respectueux des chartes de l’éthique et de la déontologie», lit-on dans ce communiqué, qui définit les objectifs visés à travers l’élaboration de cet avant-projet de loi.
El Watan est un immense journal, avec ses grandes forces mais aussi ses faiblesses, ce qui en fait un journal vivant et proche de ses lecteurs. El Watan compte énormément dans le paysage médiatique francophone algérien. El Watan compte dans le cœur des lecteurs algériens, car il fut le premier quotidien indépendant en Algérie. El Watan a toujours ouvert ses colonnes aux intellectuels algériens : universitaires, historiens, littéraires, philosophes, sociologues, psychologues, scientifiques, toutes les tendances confondues.
Après les deux jours de grève organisée par le bureau de la section syndicale d’El Watan revendiquant le paiement des 5 mois d’arriérés de salaires, et n’ayant obtenu aucun résultat, les travailleurs du journal El Watan réunis avec leur section syndicale ont décidé de la reconduction de leur mouvement de grève.
La presse privée vit ces dernières années l’une des phases les plus sombres de son existence depuis l’ouverture du champ médiatique. Le quotidien El Watan, l’un des derniers titres qui a accompagné les luttes sociales et démocratiques du peuple algérien, risque de disparaître de notre paysage.
La pandémie de coronavirus poursuit son rebond dans le monde et l’Algérie enregistre ces derniers jours une hausse du nombre d’infections avec des hospitalisations en soins intensifs. 63 nouveaux cas confirmés ont été enregistrés jeudi dernier. Par ailleurs, trois patients sont actuellement en soins intensifs, précise la même source, relevant que 33 wilayas n’ont recensé aucun nouveau cas. Un premier décès a été néanmoins enregistré hier.
Si elle a été accueillie avec un retentissant ouf de soulagement dans le milieu des professionnels du voyage, algériens et tunisiens, la réouverture, depuis vendredi 15 juillet, des frontières terrestres entre l’Algérie et la Tunisie, en application de la décision commune du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et de son homologue tunisien, Kaïs Saïed, est, pour leurs «collègues» voyagistes clandestins, la pire nouvelle de l’été. En ce début de reprise du trafic terrestre, après deux longues années de fermeture due à la pandémie de Covid-19, vers et en provenance du voisin de l’Est, c’est toute la chaîne touristique souterraine qui est grandement affectée.
Les éléments du Groupement des garde-côtes de Annaba ont intercepté, dans la nuit de mercredi à jeudi, deux embarcations artisanales à bord desquelles ont pris place 36 jeunes candidats à l’émigration clandestine, dont des mineurs. Agés de 16 à 30 ans, ces jeunes infortunés naviguaient à six miles nautiques au nord de Ras El Hamra, lorsque les deux embarcations ont été repérées vers 3h par les forces navales. Ils ont été poursuivis, arraisonnés et reconduits vers 5h30 au port militaire de Annaba, brisant ainsi tous leurs rêves de rejoindre les côtes de la rive européenne, notamment l’île de la Sardaigne (Italie). Ils sont venus de Annaba, Skikda et Guelma avec la ferme intention de quitter l’Algérie et rejoindre, tant bien que mal, les centaines de jeunes déjà établis sous des cieux «plus cléments».
Le célèbre auteur algérien Yasmina Khadra publie un nouveau roman intitulé Les Vertueux» chez Casbah Editions, il sort en librairie le 24 août 2022. Entretien.
Le jury londonien a récompensé cette marque oranaise pour la qualité de son huile d’olive jugée d’excellente qualité lors d’une compétition intitulée «London international health olive oil competition quality2022». Mais qui est cette entreprise qui vient de décrocher cette distinction honorifique internationale ?
Ils sont à peine âgés d’une vingtaine d’années et ils sont déjà talentueux. Ils sont tous les trois, des potes et de surcroît des étudiants au niveau de l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts d’Alger. Intitulée «Aie ! Ça pique», c’est de l’art, l’exposition en question est axée sur la thématique des pointes, des épines et des oursins. Un thème qui a été consciencieusement appliqué à la lettre par ces jeunes artistes, et ce, avec un style picturale bien personnalisé.
Il n’est pas aisé de rendre compte du dense, bien qu’aéré, Les oasis au fil de l’eau d’Abderrahmane Moussaoui. Leurré en général par une fascination condescendante du Sahara, le lecteur est expertement soustrait de cette perception «exotisante» des oasis rouges du Touat-Gourara-Tidikelt.
Himeur Djamel, 58 ans, administrateur principal de l’urbanisme et des équipements au niveau de la mairie de Sidi M’hamed, à Alger, a poussé de nouveau la porte de la rédaction d’El Watan pour nous révéler un secret et dévoiler un trésor.
Au lieu d’investir le terrain, de prendre en charge les affaires d’une population de plus de 2,8 millions d’âmes, de rattraper par la même, le temps perdu par l’équipe sortante, ayant passé son mandat dans les palabres, les querelles et la lutte pour un strapontin, l’APW de Sétif se «spécialise» dans les «cérémonies protocolaires» et les «débats à huis clos».
La troisième édition de la manifestation culturelle «Les nuits Andalouses de Miliana» a été lancée en fin d’après-midi de ce jeudi, en présence des acteurs du mouvement associatif et des artistes de la ville de Miliana.
Lors de l’organisation de la 2e édition de «Start-up day», au niveau des espaces de l’ENSCRBC (école nationale supérieure de conservation et de restauration des biens culturels) de Tipasa, selon les affirmations de l’un des responsables d’une start-up, Benmokadem Firaz, qui est également l’un des organisateurs et animateurs de l’événement, «la start-up dans la wilaya de Tipasa est confrontée aux difficultés, dont celle inhérente au financement nous dit-il.
Alors que le nouvel entraîneur de l’ASO Chlef devrait être connu cette semaine, la direction du club chélifien a finalisé le recrutement de cinq joueurs, dont deux étrangers.
Huawei, un des principaux fournisseurs mondiaux d’infrastructures de TIC et d’appareils intelligents, veut rassurer sur ses produits en investissant massivement dans la cyber-sécurité. Des investissements qui visent à démontrer l’engagement de ce grand équipementier télécoms en faveur d’un numérique de confiance.
Doucement mais sûrement. C’est le qualificatif approprié pour décrire l’opération recrutement de la formation de la JS Saoura durant ce mercato estival 2022.
La 13e édition du festival culturel local du théâtre professionnel de Guelma aura lieu du 24 au 29 juillet avec pour «slogan» l’apport de l’action culturelle pour la préservation de la mémoire nationale.
Au cours d’une cérémonie organisée mercredi dernier au Salon d’honneur de la wilaya pour rendre hommage aux athlètes issus de Biskra médaillés aux 19e Jeux méditerranéens d’Oran, Mohamed Ali Gouaned, médaillé d’or du 400 m et Mohamed Faycal Oughlissi, ayant récolté une médaille de bronze au jeu de boules métalliques, ont été congratulés et encensés par Abdallah Abinouar, le wali de Biskra.