Les touristes qui s’aventurent à se rendre au site archéologique du Mausolée Royal de Maurétanie de Tipasa sont surpris d’apprendre que les responsables qui gèrent ce merveilleux espace culturel inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco n’ont pas daigné installer les toilettes.
Huit personnes ont trouvé la mort jeudi dernier dans une collision entre un autobus et une voiture à Sidi Bel Abbès.
La 10e édition du Festival culturel local de la poterie de Maâtkas, à une trentaine de kilomètres au sud-ouest de Tizi Ouzou, s’est ouverte jeudi avec la participation de 165 artisans issus de 29 wilayas, a-t-on appris auprès des organisateurs.
Les services de sûreté de la wilaya ont organisé, mercredi, une sortie de terrain à la daïra de Bab El Oued dans le cadre de la lutte contre les différents types de crimes et infractions.
En commémoration du 16e anniversaire de la disparition de l’artiste El Hachemi Guerouabi, une rencontre-débat s’est tenue, samedi dernier, au niveau de la bibliothèque du palais de la Culture Moufdi Zakaria à Alger.
La sauvegarde du patrimoine passe nécessairement par des initiatives visant sa valorisation afin d’évacuer les risques de disparition. Cette dynamique se manifeste à travers des activités organisées, surtout en saison estivale, dans les différentes localités de la wilaya de Tizi Ouzou qui recèlent une variété inestimable du patrimoine.
Le professeur d’économie à l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, Mohamed Dahmani, actuellement en retraite active, vient de publier un nouvel ouvrage intitulé Tazeqqa. Des origines à son extinction, sorti aux éditions Achab.
D’un montant de 1,8 milliard de dinars, le budget supplémentaire 2022 de la wilaya de Boumerdès a été approuvé mercredi dernier par l’APW. Malgré les recommandations du gouvernement de réduire les dépenses de fonctionnement, celles-ci semblent augmenter d’année en année, pouvant atteindre 3,4 milliards d’ici le 31 décembre prochain. Cette fois, plus de 1,6 milliard de dinars ont été réservés pour ce chapitre.
D’importants projets de développement visant à l’amélioration des conditions de vie des citoyens ont été inscrits dans le cadre du programme des Plans communaux de développement (PCD), au cours du premier semestre de l’année 2022, au profit de l’ensemble des communes de Mascara, a annoncée la cellule de communication de la wilaya.
Vaste programme d’électrification des exploitations agricoles que celui engagé par l’entreprise publique SDC Sonelgaz Tiaret.
Insatisfait du taux d’avancement des projets de développement qui devaient être réceptionnés le 30 juin 2022, le wali de Bordj Bou Arréridj, Mohamed Benmalek, a réuni son exécutif et les 34 maires de la wilaya pour faire le point sur des projets qui tardent à voir le jour, laissant le citoyen dans l’expectative et parfois suscitant sa colère.
Après plus d’un mois de suspense et de tergiversations, et une dizaine de techniciens contactés et avec lesquels elle a négocié pour certains, la direction du Mouloudia d’Alger a fini par désigner son nouvel entraîneur.
La wilaya de Sidi Bel Abbès a enregistré un taux de réussite de 66,96% aux épreuves du baccalauréat, selon les données communiquées par la direction de l’éducation.
Le célèbre écrivain algérien, Yasmina Khadra, animera des rencontres-débats à Alger et Tizi Ouzou au grand bonheur de ses lecteurs. Yasmina Khadra, rencontrera son public, à Alger, le lundi 18 juillet à 16h, à la Bibliothèque nationale d’El Hamma, et à Tizi Ouzou, le mardi 19 juillet à 14h, à la Maison de la Culture. Yasmina Khadra a une actualité. Il publie un nouveau roman chez son fidèle éditeur, Casbah (éditions). Il est intitulé Les Vertueux. «Il arrive ! Le préféré de tous mes romans.
«Nous ne savons plus à quel saint nous vouer pour exprimer notre désappointement devant cette situation», se désole un fonctionnaire de Yellel, chef-lieu de daïra, sis à 20 bornes à l’ouest de Relizane. Il pointe du doigt les récurrentes pannes du réseau internet et impute cela à l’opérateur Algérie Télécom. Il ajoute, dépité : «Nous sommes souvent isolés du monde extérieur par ces défections des réseaux d’internet.» Un autre n’a pas manqué de durcir le ton en lançant : «Si la situation perdure, nous ferons un sit-in pour dénoncer la dégradation des prestations de cet opérateur.»
Le trafic des psychotropes, un phénomène devenu inquiétant, de par sa grande percée en milieu juvénile et la qualité des personnes physiques qui se trouvent impliquées dans les réseaux qui animent son fonctionnement, a récemment subi des coups cuisants de la part des services de sécurité.
Le PDG de Sonelgaz, Mourad Adjal, était, samedi, à Jijel pour une visite de travail. Au cours d’une rencontre avec les responsables de la wilaya et les maires, tenue à la salle des délibérations de l’APW, en présence du wali et du P/APW, le premier responsable de Sonelgaz a expliqué que le but de ces visites et se rapprocher du citoyen et appliquer les instructions du président notamment en matière de raccordement des zones d’ombre, des exploitations agricoles et des zones industrielles. Il ajoutera qu’il est aussi venu pour résoudre les problèmes qui se posent, et prendre les décisions qui s’imposent.
La création de six nouvelles SDEM d’une capacité de 300 000 m3/jour vient d’être décidée par les hautes autorités du pays. Les travaux de leurs constructions seront entamés à partir de 2024. Leur mise en service est prévue théoriquement en 2030.
Né à Ighil Ali le 27 février 1947, Nourredine Toualbi vécut, depuis sa tendre enfance, à Alger. Il avait plusieurs cordes à son arc : psychologue clinicien, anthropologue, politologue, sa pensée est éclectique, posant de manière claire des problématiques psychosociales et tentant de proposer des solutions toutes aussi claires. Il avait un caractère bien trempé. Thaâlibi parce qu’il est un descendant du Saint patron d’Alger El Cheikh Abderrahmane El Thaâlibi.
Il est vrai que l’année scolaire était difficile. Elle a été perturbée à plusieurs reprises, notamment par les différentes vagues de la Covid-19. La rentrée a été retardée d’un mois, en plus des vacances avancées et prolongées et le confinement des classes, puis la maladie qui a touché et les élèves et le corps pédagogique et administratif. Il est vrai aussi que ces candidats ont assisté aux trois années de la pandémie avec une première année secondaire où ils n’ont étudié pratiquement que deux trimestres et une 2e année secondaire avec deux trimestres très perturbés. Toutefois, tout cela n’est pas une excuse pour une diminution de la moyenne.