Il n’y a pas un phénomène à la peau aussi dure que celui des mauvaises habitudes d’une bonne partie des consommateurs algériens durant le Ramadhan. Des comportements qui font renaître de vieux réflexes, que ni le temps ni les efforts de l’Etat ne sont parvenus à faire disparaître. Le tout reste la marque désolante collant à cette période de l’année, dominée par «la bouffe à outrance».
L'Algérie consent des investissements massifs dans l’industrie pétrochimique qui offre des perspectives prometteuses. L’objectif est de faire de cette filière un pilier industriel stratégique, explicitant une ambition d’assurer une valeur ajoutée.
Il est un débat qui survit à toutes les législatures et s’impose à l’ordre du jour du Parlement quand les questions liées à la vie nationale et aux préoccupations des citoyens sont loin d’être épuisées.
Encourager l’investissement national se place parmi les priorités des pouvoirs publics. Le chef de l’Etat n’a eu de cesse d’affirmer, pour sa part, l’impérieuse relance économique basée sur le potentiel local et renforcé par les IDE dans la perspective de la diversification des produits et pourquoi pas de se frayer un chemin vers le marché international.
Ce sera donc en automne prochain que le président Tebboune effectuera sa visite en France, maintes fois reportée. Il reste six mois pour effectuer les derniers réglages d’un déplacement que l'Algérie voudrait fructueux et pourquoi pas exceptionnel.
Le printemps s’installe dans une dizaine de jours mais c’est l’été qui est le plus attendu. Le dérèglement climatique a déjà livré toutes ses facettes et il ne manquera pas de se manifester lors de la saison critique, celle des fortes chaleurs. La question qui se pose est de savoir si toutes les dispositions sont prises et engagées, dans le but d’en réduire les incidences dans la vie quotidienne des citoyens.
La chronique de la guerre contre Ghaza, au-delà du tumulte des événements majeurs qui la rythment depuis plus de cinq mois, laisse passer comme faits banals des images horrifiantes, fuitées, ou officiellement assumées par l’armée israélienne. C’est pourtant là que se mesure, aussi, la barbarie décomplexée déchaînée contre les Palestiniens.
Le 7e art algérien vient de briller grâce à un nouveau long métrage qui a réussi un véritable succès. Projeté en avant-première, la semaine dernière à l’Opéra d’Alger, le film Larbi Ben M'hidi est un des plus grands succès du cinéma algérien qui a réussi à attirer une foule impressionnante avide de connaître son histoire.
Les séances d’audition devant les commissions spécialisées de l’Assemblée populaire nationale méritent une grande diffusion auprès de l’opinion publique dès lors qu’elles concernent des secteurs d’activité de la plus haute importance pour les citoyens.
La vidéo de quelques minutes que des chaînes de télévision ne cessent de diffuser ces derniers jours, pour être reprise en continu sur YouTube et sur les réseaux sociaux, est inédite dans l’histoire de la Palestine depuis la Nakba de 1948. Elle rappelle étrangement des scènes de famine en Afrique à une époque où les civils innocents payaient le lourd tribut des conflits armés.
C'est le summum de l’hypocrisie, ce largage sur Ghaza par Washington, par voie aérienne, de quelques milliers de «doses» de nourriture.
Une note programmatique avait accompagné le report, le mois dernier, de l’examen du projet de statut particulier des personnels de l’Education. L’exigence de «définir les priorités, selon une vision moderne qui met la formation qualitative des générations futures au cœur des préoccupations» est mise en préambule de cette réforme voulue par les professionnels du secteur.
Le Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) vient de parapher la «Déclaration d’Alger» adoptée à l’issue du 7e Sommet de cette organisation qui prône une régulation équitable et vertueuse du marché international du gaz, un plaidoyer déjà formulé lors du précédent Sommet qui s’est tenu, il y a deux ans, à Doha.
Cela fait déjà 150 jours que les images du génocide perpétré par l’Etat criminel d’Israël contre le peuple palestinien à Ghaza inondent les médias et les réseaux sociaux dans le monde. Une barbarie rappelant tout ce que l’humanité avait connu depuis la Deuxième Guerre mondiale, en passant par les atrocités commises au Vietnam, au Liban jusqu’aux massacres de Srebrenica en Bosnie-Herzégovine.
Le changement climatique a atteint un niveau tel, qu’il exige de mener de front, parfois simultanément, les plans de lutte et de prévention contre les inondations et aussi contre les feux de forêt.
Avant même son entame, le Ramadhan fait déjà parler de lui. Une première victime collatérale vient d’être rendue publique par le ministre de l’Agriculture en limogeant un des cadres de son secteur chargé de la gestion de la viande rouge. Il faut dire que cette denrée est toujours prisée par le citoyen qui n’hésite pas à s'endetter pour parfaire le goût de sa chorba.
Une nouvelle trêve entre le Hamas et Israël est prévue en début de semaine prochaine et pourrait durer tout le mois de Ramadhan.
La rupture avec les anciennes méthodes de gestion, qui ont le plus souvent conduit au marasme et au statu quo plutôt qu’à un essor social et économique, suppose la mise en place de nouveaux modes de fonctionnement à même de garantir l’efficacité et la performance.
Sur fond d’une confluence de tensions géopolitiques, notamment depuis l’éclatement du conflit armé en Ukraine, l’Europe se tourne vers l’Afrique pour sécuriser une partie de ses approvisionnements en énergie.
L’examen du système de santé en vue de son renforcement et de son redéploiement avec une plus grande performance est sans doute le dossier qui focalise le plus l’attention des citoyens. Les attentes sont multiples et lancinantes dans un secteur marqué par un fort investissement de l’Etat et un fonctionnement encore en deçà du niveau optimal, notamment dans les centres et unités de soins de proximité.