La numérisation est de retour cette semaine. Elle est sur toutes les lèvres de nos officiels, chacun dans son secteur. Si d’aucuns s’en servent dans une perspective réfléchie et réalisable, d’autres emboîtent le pas juste pour se mettre au goût du jour. Il se trouve, hélas, que le secteur de l’éducation est l’une des victimes de ce fait d’annonce pur et simple. La tablette n’a pas remplacé le fardeau du traditionnel cartable, comme promis par le premier responsable de ce département.
La crise sanitaire mondiale a bien secoué les mentalités, y compris celle de nos décideurs, en prenant conscience des avantages que procure le recours aux nouvelles technologies. Un gain de temps considérable et une transparence à toute épreuve ne manquent pas de procurer d’infinies répercussions positives sur la vie de tous les jours. La complexité des relations entre individus et les rapports de ces derniers avec les institutions publiques deviennent si simplifiés et plus crédibles.
Le secteur des finances peut paraître le plus attendu dans cette révolution innovatrice. Le citoyen est constamment confronté dans ses multiples transactions commerciales à solliciter les institutions bancaires, comme il est aussi tenté de s’informer sur la gestion des autres entités financières du pays.
Le clin d’œil est, ici, porté en direction des impôts et des douanes notamment. Toutefois, le confort quotidien du citoyen implique, sans doute, une révolution profonde dans toute l’administration publique, lourdement gangrenée par une bureaucratie séculaire. Le secteur de la santé et tout récemment celui de la justice entrent en scène pour annoncer leur ambition de se mettre au diapason de l’avancée technologique. Il en sera de même, selon quelques indiscrétions, d’un nouveau mode de règlement des achats qui entrera en vigueur dans si peu de temps, à en croire toujours ces mêmes sources optimistes. Toute cette effervescence soudaine répond aux directives maintes fois répétées du chef de l’État qui vient de booster les travaux de réalisation d’un data center, en collaboration avec une firme chinoise.
Cet instrument permettra un meilleur et rapide partage d’informations entre les différents départements de l’activité nationale. L'élection présidentielle anticipée prévue début septembre prochain tirera profit, à coup sûr, de cet apport technologique. La numérisation du fichier électoral a bien révélé que plus d’un million d’électeurs sont décédés ou doublement inscrits. Cette révision informatisée accordera, logiquement, plus de crédibilité au résultat final du scrutin. Elle permettra une transparence certaine tant que les étapes du processus électoral seront retransmises directement au grand public. Avec ce test, la boucle sera bouclée quant au pouvoir de la technologie à venir à bout d’une mentalité sciemment bridée et répandue à travers tous les rouages de la société.
La numérisation est de retour cette semaine. Elle est sur toutes les lèvres de nos officiels, chacun dans son secteur. Si d’aucuns s’en servent dans une perspective réfléchie et réalisable, d’autres emboîtent le pas juste pour se mettre au goût du jour. Il se trouve, hélas, que le secteur de l’éducation est l’une des victimes de ce fait d’annonce pur et simple. La tablette n’a pas remplacé le fardeau du traditionnel cartable, comme promis par le premier responsable de ce département. La crise sanitaire mondiale a bien secoué les mentalités, y compris celle de nos décideurs, en prenant conscience des avantages que procure le recours aux nouvelles technologies.
Un gain de temps considérable et une transparence à toute épreuve ne manquent pas de procurer d’infinies répercussions positives sur la vie de tous les jours. La complexité des relations entre individus et les rapports de ces derniers avec les institutions publiques deviennent si simplifiés et plus crédibles. Le secteur des finances peut paraître le plus attendu dans cette révolution innovatrice. Le citoyen est constamment confronté dans ses multiples transactions commerciales à solliciter les institutions bancaires, comme il est aussi tenté de s’informer sur la gestion des autres entités financières du pays. Le clin d’œil est, ici, porté en direction des impôts et des douanes notamment.
Toutefois, le confort quotidien du citoyen implique, sans doute, une révolution profonde dans toute l’administration publique, lourdement gangrenée par une bureaucratie séculaire. Le secteur de la santé et tout récemment celui de la justice entrent en scène pour annoncer leur ambition de se mettre au diapason de l’avancée technologique. Il en sera de même, selon quelques indiscrétions, d’un nouveau mode de règlement des achats qui entrera en vigueur dans si peu de temps, à en croire toujours ces mêmes sources optimistes. Toute cette effervescence soudaine répond aux directives maintes fois répétées du chef de l’État qui vient de booster les travaux de réalisation d’un data center, en collaboration avec une firme chinoise.
Cet instrument permettra un meilleur et rapide partage d’informations entre les différents départements de l’activité nationale. L'élection présidentielle anticipée prévue début septembre prochain tirera profit, à coup sûr, de cet apport technologique. La numérisation du fichier électoral a bien révélé que plus d’un million d’électeurs sont décédés ou doublement inscrits. Cette révision informatisée accordera, logiquement, plus de crédibilité au résultat final du scrutin. Elle permettra une transparence certaine tant que les étapes du processus électoral seront retransmises directement au grand public.
Avec ce test, la boucle sera bouclée quant au pouvoir de la technologie à venir à bout d’une mentalité sciemment bridée et répandue à travers tous les rouages de la société.