Dans un article publié dans le journal Echihab du 13 juillet 1934, il est noté que sur la liste des 149 élèves de cheikh Abdelhamid Benbadis à Djamaâ Lakhdar de Constantine dans les années 1930, 10 d’entre eux sont issus de la région de Ghassira dans les Aures.
Le président de la République a affirmé que «seules une armée forte et redoutée et une économie développée sont à même de sauvegarder la souveraineté nationale».
Un hommage a été rendu, dimanche, au chahid Ali Mellah, colonel de l’ALN et responsable de la Wilaya VI historique. A M’Kira, dans la daïra de Tizi Gheniff, à l’extrême sud-ouest de Tizi Ouzou, dans la commune natale de ce martyr, des festivités commémoratives ont eu lieu pour revisiter le parcours du défunt à l’occasion du 67e anniversaire de sa disparition, un certain 31 mars 1957.
La fête de la Victoire a été célébrée dans plusieurs communes de la wilaya de Tizi Ouzou.
Le chanteur et pianiste martiniquais, Maher Beauroy, accompagné de sa bande, étaient de passage à Oran, samedi dernier, où ils ont offert au public un show musical des plus époustouflants.
L’Assemblée populaire nationale (APN) a rendu hier un vibrant hommage à la femme palestinienne et aux icônes de la Révolution algérienne. Des moudjahidate, des députés et des représentantes de la société civile ont pris part à la journée parlementaire organisée par la Chambre basse du Parlement à l’occasion du 8 Mars et dédiée à la femme palestinienne.
Le président Abdelmadjid Tebboune a estimé jeudi, dans un message à l’occasion de la célébration de la journée du 8 Mars, qu’«il n’est pas étonnant de voir la femme algérienne s’adjuger une place prépondérante, occuper de hauts postes et gagner le respect et la reconnaissance des Algériennes et des Algériens pour son apport».
Un vibrant hommage a été rendu, dimanche dernier, au défunt plasticien, décorateur et costumier de cinéma algérien, Arezki Larbi, à la maison de la culture Ali Zamoum de la ville de Bouira.
En signe de commémoration et par devoir de mémoire, le théâtre régional d’Oran a décidé de dédier toute sa programmation du mois de mars au grand dramaturge algérien Abdelkader Alloula lâchement assassiné en 1994 par des terroristes intégristes.
A l’occasion du 35e anniversaire de la disparition de l’écrivain et anthropologue, Mouloud Mammeri, la direction de la culture et des arts de la wilaya de Tizi Ouzou a préparé un programme d’une semaine d’activités, et ce, afin d’exposer des livres, des photos et des articles de presse ainsi que d’organiser des festivités pour revisiter la vie et l’œuvre du défunt.
l Dans le cadre de la célébration du 29e anniversiare du décès de l’homme de culture Azzeddine Medjoubi, un hommage sous forme d’une journée commémorative lui sera dédié le mardi 13 février, à partir de 11h, au Théâtre national d’Alger.
A l’initiative de l’association Art créatif, le théâtre régional d’Oran a abrité, mercredi dernier, Kateb raconte Yacine, autrement un hommage vibrant au grand écrivain, poète et dramaturge algérien, auteur de Nedjma, Le polygone étoilé et autres pépites littéraires et théâtrales.
La galerie Ezzou’Art du centre commercial de Bab Ezzouar à Alger accueille, jusqu’au 25 janvier, une exposition de caricatures intitulée «Ghaza roh erroh», signée par le caricaturiste Boukhalfa Abdelbaki, alias Baki.
Dès le début de la colonisation de l’Algérie, la France a mené plusieurs mesures répressives à l’encontre des Algériens, comme la ségrégation géographique qui s’est organisée entre les communautés, voire le partage des villes, à l’instar d’Alger et de Constantine.
La mémoire de la Guerre de Libération nationale est ce qui reste quand on a tout oublié. De nombreuses cérémonies de remise de prix ont eu lieu récemment et ont concerné différents secteurs, mais celle organisée par le ministère des Moudjahidine et des Ayants droit, dimanche au Centre international des conférences à Alger, a un impact particulier et une valeur exceptionnelle pour chaque citoyen.
Artissimo Hub créatif culturel organise, jeudi 18 janvier, à 18h, un hommage au regretté journaliste et écrivain Améziane Ferhani.
Il y a 29 ans, le 7 janvier 1995, cheikh Sadek Abdjaoui, un des ténors du hawzi et de l’andalou, tirait sa révérence, en laissant orphelins des milliers de mélomanes et de puristes en peine, autant à Béjaïa qu’à travers tout le territoire national, notamment Alger, Blida et Tlemcen.
Il y a sept ans, le 7 janvier 2016, nous quittait le regretté moudjahid Brahim Chergui à l'âge de 94 ans, après une vie pleine et le sentiment du devoir accompli.
Ameziane Ferhani, le journaliste au long cours, l’écrivain, l’érudit, le jovial, le bienveillant, l’homme à la biographie foisonnante, nous a quitté brutalement dimanche dernier à l’âge de 69 ans, nous laissant orphelins d’un intellectuel prodigieux et d’un ami attachant qui a longtemps fait partie de la famille d’El Watan. Mais Ferhani est plus vivant que jamais par ses écrits. Les Algériens gagneraient à s’emparer de son œuvre et c’est le meilleur hommage qui puisse être rendu à notre tendre «Mizou» – Allah Yerahmou.
Le vendredi marquant le premier anniversaire du décès du légendaire footballeur Pelé, le Brésil lui a rendu hommage, particulièrement à Santos, où sa carrière a débuté, à Rio de Janeiro, et à travers les plateformes de médias sociaux.