La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a présidé, mardi à Alger, l’hommage rendu au chercheur en patrimoine populaire, Abdelkader Bendamèche, pour son rôle dans la préservation du patrimoine artistique algérien, indique un communiqué du ministère.
L’artiste discret qu’on eut dit un ermite dans sa retraite, le contemplateur des monts et des mots s’en va de ce monde des mortels pour rejoindre la constellation des étoiles aux lumières intarissables dans le ciel de la chanson kabyle.
C’est avec affliction que j’ai appris, dimanche matin, le décès du moudjahid Dali Hamid, l’enfant terrible de la Casbah, qui nous a quittés après une vie pleine et entière. Ses engagements et ses convictions bien ancrés, il reste l’un des rares à avoir mené un combat aussi bien dans la guérilla urbaine qu’au cœur des rigueurs du maquis.
Le décès du chanteur algérien d’expression Kabyle, Cherif Hamani, survenu vendredi à Paris des suites d’une longue maladie, a suscité une vive émotion au sein de la famille artistique et du milieu culturel à Tizi-Ouzou, exprimée à travers des hommages.
Un hommage a été rendu, vendredi, au Théâtre régional Abdelmalek Bouguermouh de Béjaïa, à la comédienne Fatiha Soltane et au metteur en scène Mouhoub Latrèche, lors de la clôture du 12e Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB). Ce festival s’est déroulé du 14 au 20 octobre.
Le centre d’études Khaldounienne en collaboration avec la direction de la culture et la bibliothèque centrale Mohamed Mebarek El Mili a eu l’honneur de rendre un hommage, à titre posthume, à maître Ahmed Laimèche (1889- 1959). L’évènement a été vécu dans la grande salle de la bibliothèque centrale, en marge de la journée internationale de l’interprétariat.
Un séminaire national sur les œuvres du défunt dramaturge Dr Salah Lombarkia a été organisé mercredi à la Faculté des langues et lettres arabes et des arts de l’Université Batna 1 en hommage à cette figure du théâtre national.
Qualifiée de cinquième roue de la charrette, la culture en Algérie vit encore une situation peu enviable, et ce sont les femmes et les hommes ayant servi cette culture qui en font les frais. Leur tort est d’avoir sacrifié des années de leur vie pour l’art de leur pays.
Tout d’abord, je tiens à remercier mon ami et confrère Youssef Zerarka à l’origine de notre rencontre conviviale et fraternelle, avec d’autres amis, autour de Si Abderrahmane, chez lui, à l’ouest d’Alger. Un rendez-vous pas seulement nostalgique, à ne pas manquer, d’autant que je l’ai perdu de vue depuis belle lurette.
Ce week-end, d’ex-athlètes de l’élite de lutte des années 70/90 ont rendu visite à l’ex-DTN et entraineur national ainsi qu’arbitre international Mazit Saïd qui reste aussi l’un des fondateurs de la Fédération algérienne des luttes associées en 1967 en compagnie du défunt Bouzid Omar, le premier président de cette grande discipline qui a tant donné à notre cher pays, beaucoup de titres et de médailles dans les différentes joutes internationales dont les Jeux méditerranéens et les Jeux africains en 1978 organisés par l’Algérie en 1975, en représentant dignement l’emblème national.
Lynda Sellam, commissaire du festival, a fait appel à de jeunes comédiens pour saluer la mémoire des deux comédiennes disparues en septembre 2022. Hadjer Guermit, Ahmed Sofiane Hemici, Mouna Bensoltane et Kouki Mimiche se sont relayés sur scène pour rappeler le parcours artistique de Yamina Ghassoul et Farida Saboundji qui sont parmi les premières comédiennes du théâtre algérien.
Le vendredi 20 septembre 1996, la nouvelle de l’assassinat du chanteur Cheb Aziz avait fait le tour de la ville de Constantine. Elle s’est propagée dans plusieurs autres villes comme Skikda et Sétif, où le défunt comptait de nombreux amis. Aziz était l’une des figures populaires de la chanson algérienne dans les années 1990.
Le chanteur, disparu à la veille de ses 60 ans, aura marqué la scène musicale par son génial éclectisme : s’inspirant du raï et du chaâbi, il excelle dans d’autres genres, tels que le rock n’ roll ou encore le punk. Le fils de Rachid Taha, Lyes (alias Claude P), qui a réuni l’intégralité des albums du paternel dans un joli coffret, a eu le mot bien senti : «Il a été validé par les plus grands, dans tous les styles»
Si Mohamed est né dans la région de deux augustes géants : Apulée de Madaure et Saint- Augustin de l’antique Thagaste, aujourd’hui Souk Ahras. Entouré de la protection du Saint patron de la ville, Sidi Messaoud, dont le mausolée jouxte l’olivier de Saint-Augustin.
La chanteuse irlandaise Sinead O'Connor, dont le décès à l'âge de 56 ans a été constaté fin juillet à son domicile londonien, est inhumée ce mardi au sud de Dublin, avec une procession permettant à ses compatriotes de lui rendre un dernier hommage.
L’Association Ouled El Houma, présidée par l’ancien arbitre international Abderrahmane Bergui, a honoré récemment Messaoud Merrad, plus connu par «Ammi Messaoud» membre fondateur du club de football, CR belouizdad.
Les œuvres artistiques de Chemissou Belarbi reflètent, dans toutes leurs nuances, les qualités humaines et artistiques qui caractérisent ce talentueux artiste. Chamseddine Belarbi, artiste peintre, dessinateur d’affiches de films internationaux et arabes, vient d’être honoré officiellement par le wali de Mostaganem en présence des autorités civiles et militaires en reconnaissance de ses efforts en faveur de la promotion de la scène artistique et son apport à la culture algérienne.
À l’occasion de la célébration du 61e anniversaire de l’Indépendance, les autorités locales ont choisi, entre autres baptisations, de nommer une structure de santé, sise Sid Ali Labhar, à l’est de la ville de Béjaïa, au nom du valeureux chahid Abdelkader Bouaiche.
Que deviennent les champions une fois partis à la retraite ? Si une minorité brille par ses résultats dans les différentes sélections sportives, le gros des effectifs se résigne à rejoindre la foule des anonymes. L’EMEVcom, une entreprise d’organisation d’événements culturels, économiques et scientifiques veut relever le défi d’honorer des champions qui ont tant donné pour le sport national.
L’Algérie perd non seulement un cadre de la nation mais un grand homme, en la personne de Salim Saâdi, appartenant à une famille de moudjahidine. En effet, lui et son frère Salih ont fréquenté l’école de Koléa. Les deux frères Saâdi rejoindront l’ALN, Salih en Kabylie en 1957 et Salim la Base de l’Est, dans la région qui deviendra la zone Nord après la réorganisation de l’armée opérée par Krim Belkacem. Ils sont tous deux blessés de guerre.