La reconduction du contrat du sélectionneur national Djamel Belmadi (2023- 2026), annoncée vendredi par le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Djahid Zefizef, a mis un terme au débat sur le maintien ou non du sélectionneur.
L’Algérie est fin prête pour accueillir la 7e édition du Championnat d’Afrique des nations (CHAN).
L'Algérie dispose d’atouts touristiques indéniables et reconnus. Le premier pays du continent en superficie a la chance de jouir d’attraits diversifiés et de paysages contrastés et chatoyants de son nord vers son sud.
Dire que le sport algérien ne se porte pas bien est un doux euphémisme. Il est loin des attentes de ses acteurs et de ceux qui le suivent, l’aiment et le supportent. Plus les années passent et plus son état empire, sa situation se dégrade.
L’Assemblée Générale des Nations unies vient de proclamer la date du 12 Février de chaque année «Journée internationale pour la prévention de l’extrémisme violent, pouvant conduire au terrorisme».
Le logement est sans nul doute la préoccupation majeure du citoyen. Tous les moyens sont entrepris pour en acquérir. La ruse emboîte souvent le pas à la violence dans la quête de la clé de sésame.
L’acte final de cette 22e Coupe du monde a été joué hier soir dans la capitale qatarie. Des souvenirs inoubliables d’une organisation parfaite, sans le moindre incident et surtout des conditions excellentes et des commodités sans nulles autres pareilles pour ces milliers de spectateurs venus des quatre coins du monde.
Faut-il attendre, à chaque fois, le mois de Ramadhan pour renouer avec les activités culturelles ? Tout au long de l’année, le pays plonge dans une léthargie profonde. Pourtant, les diversités régionales et les animateurs, aussi bien professionnels qu’amateurs, ne manquent pas.
La souveraineté nationale ne se décrète pas mais se construit. Elle se consolide grâce à l’adhésion de son peuple autour d’un projet de société soutenu par tous.
Que dire du discours occidental, amplifié à l'extrême, dont le flux médiatique incessant est devenu, non point un outil d'information, mais une arme de détournement des masses aussi dangereuses, sinon plus que les missiles les plus sophistiqués.
Le Qatar a remporté son pari et confondu tous ses détracteurs. Oui, ce petit Etat, par la taille, est en train d’organiser la plus belle Coupe du monde de l’histoire qui a commencé en l’an 1930 en Uruguay dans la lointaine Amérique latine.
Les préoccupations du citoyen sont multiples et diversifiées. Elles touchent à tous les domaines d’une vie décente et harmonieuse. Il se trouve que certains besoins prennent, conjoncturellement, le pas sur d’autres.
Le monde s'emballe en funestes accélérations qui ne présagent rien de bon, si l'on se réfère aux gesticulations menaçantes des grandes puissances, la Chine et les USA, qui se concertent néanmoins sur les garde-fous et les lignes rouges à ne pas franchir, mais qui se défient l'un l'autre.
Un intérêt particulier vient d’être accordé par les pouvoirs publics aux zones, autrefois, en marge de tout développement. Les conséquences sur les populations locales sont dramatiques à plus d’un titre.
Le sujet sur la présence de dirigeants algériens au sein des instances sportives continentales et internationales est un débat sans fin.
Aujourd’hui, les Américains se rendent aux urnes, pour les élections de mi-mandat. Ce scrutin doit permettre de renouveler les 435 députés de la Chambre des représentants et un tiers du Sénat.
Le déferlement haineux, qui se propage en France en direction des immigrés, a désormais un nouvel émule de marque en la personne d’un élu du rassemblement national qui a décliné ouvertement son racisme en s’attaquant à son collègue, député noir, qui défendait les thèses de son parti au sein même de l’auguste assemblée française.
En toute légitimité se pose la question de l’après-Sommet arabe, de ce que le président de la République, auréolé de son succès diplomatique, aura à entreprendre au plan de sa politique interne.
Eclipsée durant les années de la pandémie Covid, la Ligue arabe renaît en Algérie. Son 31e Sommet se tient dans une quasi-similitude conjoncturelle avec sa première tenue dans notre pays en 1973.
En plaçant la barre très haut, en battant le rappel des institutions, à l’échelle internationale, continentale et régionale : l’Organisation des Nations unies, l’Union africaine (UA), le Mouvement des non-alignés, l’Organisation de la Conférence islamique – représentées au plus haut niveau, respectivement par Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, Macky Fall, président du Sénégal et président en exercice de l’UA, Ilham Aliyev, le secrétaire général du Mouvement des non-alignés, Hissein Brahim Taha, secrétaire général de l’OCI, qui ont répondu présents à l’invitation de l’Algérie pour prendre part en qualité d’invités d’honneur au 31e Sommet de la Ligue des Etats arabes –, l’Algérie s’est taillée une cuirasse à toute épreuve.