La société civile, d’une manière générale, et la jeunesse sont la cheville ouvrière dans le programme du chef de l’Etat.
Le handball algérien qui n’est pas bien, a signé hier sa sixième défaite.
Le président de la République a mis en avant, jeudi dernier, la prise d’initiatives des walis et des assemblées locales élues pour leur permettre de jouer un rôle efficace, dans ces temps nouveaux, en faveur de l’amélioration des conditions de vie des citoyens.
La mémoire collective a bien retenu, il y a quelques semaines, l'attitude choquante du wali d'Oran, en interpellant un marchand de rue clandestin d'une manière peu élégante, condescendante et arrogante, qui lui a valu une volée de bois vert de la part des internautes, qui avaient pris le parti du jeune contrevenant, enfreignant certes la loi, mais qui n'avait pas besoin d'être humilié de la sorte, comme l'a massivement contesté la Toile.
Le plaidoyer fait ce jeudi en faveur de la libération des initiatives et de la prise de décision des exécutifs de wilaya, à leur tête les walis, par le président Tebboune, à l’occasion de la rencontre gouvernement-walis, a été accueilli avec une note d’optimisme par les walis.
Dans la dépréciation de l'école algérienne, l'enseignement, plus que la famille, est souvent mis à l'index, fustigé, s'il n'est pas carrément objet de critiques acerbes, focalisant les «ratés», que la société a eu à endurer depuis de nombreuses années.
La bronca qu’une partie des supporters présents au stade Nelson Mandela, lors du match Algérie-Ethiopie (1-0), a réservée à Rabah Madjer fera date dans l’histoire du football algérien.
On sait qu'un flou, un scepticisme, bien visible, habitent la modernité occidentale, qui semble se chercher des alibis, des boucs émissaires, voire des ennemis.
Tout récemment l’Algérie a fêté, à travers ces quatre coins, l’An amazigh. Les rituels ont été assez riches et diversifiés.
Le changement climatique cesse de nos jours d’être une relation accessoire avec tout ce qui touche au bien-être des Algériens et aux équilibres fondamentaux des écosystèmes.
Catégorique, le président français, Emmanuel Macron, ne demandera pas pardon à l’Algérie pour les crimes commis par la France coloniale.
Les vieux démons sont de sortie. Tout de suite après la fin de la rencontre Algérie- Libye (1-0), les sempiternels commentaires sur le niveau du football algérien ont fleuri sur la toile et des plateaux de télévision.
Blessures de la colonisation», «guerre mémorielle», «repentance française», «traumatismes historiques», telles sont les questions qui reviennent souvent et occupent l’actualité politique des deux côtés de la rive méditerranéenne depuis quelques années.
Depuis quelques années, l’Algérie s’est inscrite résolument dans la lutte contre la drogue sous toutes ses formes.
La pluie se fait rare depuis au moins trois ans. C’est plus que suffisant pour que la plupart des barrages à travers le territoire national se retrouvent presque à sec.
Le secrétaire général de la Confédération africaine de football (CAF), Veron Mosengo Omba, est dans nos murs depuis quelques jours pour s’enquérir des conditions qui président le début du Championnat d’Afrique des nations (CHAN-2022, décalé à 2023) réservé aux joueurs locaux.
Il ne fait pas de doute que le secteur des arts et du cinéma connaît depuis de nombreuses années une léthargie persistante et durable que rien ne semble venir atténuer au grand dam des amateurs et des jeunes générations.
Le Championnat d’Afrique des nations (CHAN- 2022, décalé à 2023) peut démarrer. Tout est fin prêt pour le début de la compétition réservée aux joueurs locaux.
Un horrible accident de la circulation a décimé toute une famille à l’est du pays. Parmi les victimes se trouvaient des jeunes enfants prêts à rejoindre les bancs de l’école après les jours de vacances.
Enième appel au secours et interminable incantation sans écho en retour pour que la justice ait droit de cité et que le droit recouvre enfin... ses droits.