Aux Jeux méditerranéens d'Oran, le prodigieux exploit des femmes algériennes est historique. Du jamais-vu !
Du sport, de la musique, de l’ambiance et de la bonne humeur dans un monde en couleurs. Du bonheur et de la joie de vivre tout simplement.
On ne peut raisonnablement améliorer la gouvernance économique sans le politique.
Des avancées, des reculs et des stagnations. Cette jeunesse de la bonne vieille mer Méditerranée qui s’éclate dans la ville d’Oran est assurément un bon point pour l’Algérie qui a tant besoin de retrouver la normalité et de la joie.
L’organisation à Oran de la 19e édition des Jeux méditerranéens est une occasion pour débattre autour d’une question fondamentale : au-delà de l’aspect factuel, comment allier l’organisation de tels événements sportifs de grande ampleur et le développement durable ? Voilà un défi plus que jamais d'actualité.
La culture, c’est ce qui reste à promouvoir quand tout est à l’arrêt. Dans une région comme la Kabylie, où l’activité économique et le développement ne s’affranchissent pas de lourdeurs de toutes natures, l’espoir d’un redémarrage de la vie locale vient du monde de la culture, de la création, de la valorisation du patrimoine matériel et immatériel.
Cinquante milliards de dollars de recettes pour 2022 ! Que de bonnes nouvelles le patron de Sonatrach a annoncées devant le chef de l’Etat lors de la visite présidentielle jeudi à Oran. Toufik Hakkar a raison de se frotter les mains.
Nous étions tentés d’intituler cet édito «Oran est une fête» en nous inspirant du récit d’Ernest Hemingway, Paris est une fête tant l’ambiance qui règne en ce moment à Wahran est joyeuse et pleine de ferveur à la veille de l’ouverture officielle des Jeux méditerranéens.
Le système éducatif est engagé dans un nouveau chantier de réformes, alors qu’il sort d’une année scolaire jonchée d’échecs et sans le moindre bilan critique. Une année de trop pour une école engagée dans un long processus de réformes qui tourne le dos à l’intérêt de l’enfant et celui de la nation.
Les canicules se suivent et ne se ressemblent pas. Elles sont plus précoces, plus nombreuses, plus rapprochées les unes des autres, plus fortes. Le 13 juin, il a fait aussi chaud à Relizane, dans la vallée du Cheliff où la température a atteint 46°C, qu’à In Salah, l’un des points les plus torrides du monde, au centre du plus grand désert de la planète.
La philosophie de base qui doit objectivement guider un partenariat dit «stratégique» entre deux Etats doit nécessairement tendre, en toutes circonstances, vers une convergence de vues sur les questions d’intérêt commun, sur les dossiers vitaux intéressant les deux parties.
Le 60e anniversaire de l’indépendance sera un moment de recueillement et de reconnaissance envers les générations passées ayant payé un lourd tribut dans la lutte victorieuse contre le colonialisme, mais aussi une halte rétrospective avant d’appréhender un avenir qui s’annonce des plus tumultueux à travers le monde.
L’actualité économique algérienne est rythmée par des mesures visant à améliorer l’environnement de l’investissement, mais aussi par les incessantes tentatives de sauvetage du secteur public marchand.
Si aujourd’hui on réunissait l’ensemble des témoignages – tous supports confondus – sur la nuit coloniale laissés par toutes les générations passées
Chaque année, l’épreuve des mathématiques fait de nombreuses victimes à l’examen du baccalauréat en Algérie. Bien avant cette fatidique deuxième journée, la peur s’installe parmi les candidats et leurs parents.
La Foire internationale d’Alger, après une absence de deux ans à cause de la pandémie de Covid-19, ouvre de nouveau ses portes cette semaine.
Plus de 700 000 candidats passent actuellement les épreuves du baccalauréat en Algérie.
L’Algérie figurerait parmi les dix plus beaux pays du monde, selon des magazines spécialisés dans les destinations touristiques.
C’est au moment où une initiative de dialogue est lancée par les hautes autorités que l’on s’aperçoit de l’étendue du désert politique qui s’est installé dans le pays.
Presse écrite, audiovisuel, médias électroniques, publicité, etc. sur ces dossiers d’une extrême sensibilité, le dernier Conseil des ministres n’a pris aucune mesure forte ni apporté de la visibilité, se contentant de les renvoyer à un prochain rendez-vous.