Intervenant à l’occasion de la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, le représentant permanent de l’Algérie auprès de l’Office des Nations unies à Genève et des organisations internationales en Suisse, l’ambassadeur Lazhar Soualem, a interpellé, vendredi, la communauté internationale et les organisations de l’Onu chargées de la défense des droits de l’homme à assumer leurs responsabilités concernant les graves violations de la situation des droits de l’homme dans les territoires sahraouis par les forces d’occupation marocaines.
Depuis la chute du mur de Berlin et, par extension, la mise au placard du communisme et la relégation de l'Union soviétique, une arrogance têtue s'est emparée de l'Occident, fort de sa puissance économique, qui le prédisposait, pensait-il, à se sentir dépositaire du destin planétaire, comptable (pas sûr), mais (sûrement pas), artisan de l'émancipation universelle.
La Méditerranée centrale a connu, dimanche dernier, un de ses naufrages les plus meurtriers.
L’importance du secteur agricole dans la vie d’un pays n’est plus à démontrer.
Ayant désormais leur plan média, pour être à la page, certains de nos walis ont opté pour les réseaux sociaux, et d’une manière trop exhibitionniste, trop voyante, sans doute, pour supplanter l’encombrement qui règne dans ce moyen de communication visiblement très prisé. Aussi, ils ne circulent plus que dans un flux d’images, qui s’apparentent à des procès en direct à la télé, envers des cadres confus, dont l’unique parade, face à une mitraille de questions, est de se couvrir et de se blottir sous le couvert de leurs supérieurs, donneurs d’ordres.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a «étalé» sur la place publique les raisons de son mécontentement concernant la conduite de certaines affaires de l’Etat, lors de son récent point de presse diffusé vendredi dernier.
Lors de son entrevue périodique avec les médias nationaux diffusée vendredi soir, le président de la République n’a pas tari d’éloges sur cet «ami de toujours» que représente l’Etat italien et son peuple.
L’impérieuse nécessité de la numérisation des services publics revient ces derniers jours dans tous les débats. Tout récemment, l’hémicycle de l’Assemblée populaire nationale (APN) a abrité des débats passionnés sur ce sujet.
Colère noire du président Tebboune, lors de la réunion du Conseil des ministres qui s’est tenue ce lundi.
Dans un discours à la nation de près de deux heures, et à trois jours de boucler une année de conflit en Ukraine, le président Vladimir Poutine n’a pas fait dans la dentelle et a revêtu sa tenue de combat contre certains pays occidentaux.
L’Algérie, par la voix de son Président, a décidé de consacrer un milliard de dollars au développement des pays africains par le biais de l’Agence algérienne de coopération internationale.
La chute du mur de Berlin avait, d’une manière générale, atténué les tensions et suscité un espoir collectif planétaire quant à une meilleure convergence vers un monde moins violent, moins arrogant et plus équitable.
Il est de notoriété publique et particulièrement des scientifiques que notre pays est situé sur une faille sismique non négligeable.
Qui organisera la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2025 ? Le sujet passionne le continent africain.
La guerre entre la Russie et l’Ukraine est le plus important point de tension depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
L'Algérie a réitéré son soutien indéfectible, en honorant ses engagements historiques envers la Palestine, a déclaré le président Tebboune, en écho à la voix de notre pays, qui est resté fidèle à ses principes et à ses positions inébranlables, aux travaux de la Conférence de haut niveau en soutien à la ville d'El Qods, organisés dans le cadre de la mise en œuvre des principales résolutions du Sommet arabe, tenu à Alger, début novembre 2022.
La problématique de la subvention des produits de première nécessité n’est pas près d’être résolue. Son dossier reste ouvert sur les bureaux des ministres en charge de définir les critères de sélection des personnes en droit de bénéficier de l’aide de l’Etat.
Les médias occidentaux sont-ils vraiment insolents et incorrigibles ? Il faut bien le croire.
L’affaire «Amira Bouraoui» a dévoilé des dessous de cartes insoupçonnés. Au-delà du drame humain de cette affaire et de toutes autres considérations où l’on pourrait accorder des circonstances atténuantes au profit de l’activiste politique, son exfiltration en France a été une aubaine pour certains «milieux» pour déstabiliser l’Algérie.
L’université algérienne revient sur la scène de la vie politique. C’est le chef de l’Etat qui a ouvert ce dossier lors du dernier Conseil des ministres.