Le ministre des Transports, Aïssa Bekkaï, a décidé la mise sur pied de trois commissions chargées de prendre en charge les problèmes des professionnels en matière de transport terrestre des voyageurs et des marchandises, et des taxis, a indiqué un communiqué du ministère.
Plus d’un mois après l’annonce des résultats par l’Autorité nationale indépendante des élections (Anie), les tractations entre les élus s’éternisent dans certaines communes et font planer le spectre des blocages de nombreuses assemblées.
Pas de détails chiffrés de la part du ministre de l’Education nationale qui évoque un nombre «minime» d’élèves et d’enseignants atteints de la Covid-19. Toutes les mesures sont prises pour que le deuxième trimestre se passe dans des conditions normales.
La troisième campagne de vaccination pour le corps éducatif prendra officiellement fin à partir d’aujourd’hui. Les UDS seront toujours ouvertes et disponibles pour répondre à la demande.
Plusieurs établissements hospitaliers de la capitale enregistrent, ces derniers jours, une hausse des contaminations à la Covid-19, ont affirmé des chefs de service desdits établissements. Le chef de service Covid-19 au CHU Mustapha Pacha, le Pr Kamel Hayel, a indiqué à l’APS que le service qui accueillait en décembre dernier de 8 à 9 cas par jour, accueille désormais une moyenne quotidienne de 17 à 20 cas, soit le double
La section Snapap de l’Ecole dénonce un certain nombre d’«abus» et autres «décisions arbitraires» émanant de la direction de l’Ecole.
Enfin une bonne nouvelle pour commencer 2022 : après ceux d’Alger, d’Oran et de Constantine, le pôle universitaire de la ville d’Annaba s’apprête à accueillir une nouvelle Ecole d’ingénieurs. Il s’agit de l’Ecole nationale polytechnique appelée à accueillir des bacheliers dès la prochaine rentrée universitaire.
La question de la récupération des biens des oligarques, condamnés par la justice algérienne pour corruption, est revenue avec insistance ces derniers mois.
Les robes noires passent à l’acte et optent pour une grève illimitée à partir de demain en riposte au nouveau système d’imposition contenu dans la loi de finances 2022 entrée en vigueur au début de l’année.
La crainte d’une remise en cause des acquis liés à la langue amazighe est exprimée par les défenseurs de la langue et de la culture amazighes, d’autant que les pouvoirs publics n’engagent pas les réformes nécessaires (instauration de l’obligation de l’enseignement de la langue amazighe, réactivation de l’Académie de la langue amazighe, «amazighisation» de l’administration…)
Comme chaque année depuis 2972 ans, Yennayer, ce qui signifie en berbère le premier mois de l’année, pointe son nez en cette période correspondant au 12 janvier. Une date pour interpeller, par essence, chaque individu sur son bilan annuel en vue d’améliorer ses performances à l’avenir, avant de chapeauter la fête par un dîner convivial autour d’un repas copieux et parfois réconciliateur.
Dans chaque famille dans la région de Jijel, on trouvera toujours quelqu’un qui se souvient des célébrations d’antan de Yennayer, connu ailleurs sous le nom de Yennayer. Les récits relatent que jusqu’après l’indépendance du pays, cette journée particulière du milieu du mois de janvier était l’occasion de retrouvailles familiales autour d’un repas traditionnel.
Une peine de 10 ans de prison ferme a été requise contre l’ancien Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et l’ancien chef du protocole de la Présidence, Mokhtar Reguieg, dans le cadre du procès de l’homme d’affaires Hocine Metidji, patron du groupe éponyme, contre lequel la même peine a été réclamée, mais avec une amende de 8 millions de dinars et une interdiction de se faire élire durant 3 ans, alors que sa défense a plaidé la relaxe en dénonçant ce qu’elle qualifie de «harcèlement judiciaire».
Une condamnation à la peine capitale a été prononcée, lundi dernier, par le tribunal militaire de Blida, contre Guermit Benouira, ancien secrétaire particulier du défunt chef d’état-major de l’ANP, Ahmed Gaïd Salah. Programmé depuis un mois, le procès concerne la divulgation «d’informations sensibles et confidentielles», et dans lequel Mohamed Larbi Zitout et le général Ghali Beleksir ont écopé d’une peine de prison à perpétuité.
L'Algérie a exprimé sa "pleine disponibilité" à accompagner activement le Mali et la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) "dans la voie salutaire de la compréhension mutuelle autour d’une vision solidaire" qui sauvegarderait les intérêts supérieurs du peuple malien, indique mardi 11 janvier un communiqué de la Présidence de la République.
Outre sa croissance continue, la population algérienne subit une transformation rapide en termes de structure par âge. Il faut savoir que pendant les années 1970 et 1980, la natalité était de 7 enfants/femme, en 2000, elle a chuté à 2 enfants/femme pour se stabiliser en 2017 à 3 enfants/femme.
La nouvelle flambée qui coïncide avec la progression inquiétante du variant Omicron, intervient sur fond d’une réticence vaccinale et d’un grand relâchement en matière de respect des gestes barrières.
Invité du «Forum de la Radio» de la chaîne 1, consacré aux mesures prises par le ministère pour faire face à l’épidémie de Covid-19 et assurer la continuité des cours, le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed a fait savoir que «33% des personnels du secteur de l’éducation se sont fait vacciner depuis le début de l’opération dans ce secteur le 20 août 202», suite à la décision du président de la République relative à la vaccination des personnels des secteurs de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Formation professionnelle.
L’année démarre aussi par l’ouverture des procès de dizaines d’activistes du hirak, qui se trouvaient en détention provisoire depuis de longs mois. Le CNLD a recensé aussi plusieurs condamnations à de lourdes peines d’emprisonnement des concernés, dont le coordinateur du Mouvement démocratique et social (MDS).
Le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcine Belabbas, est placé sous contrôle judiciaire par le juge d’instruction près le tribunal de Hussein Dey, à Alger. La décision a été prise après son audition, hier matin, dans le cadre de l’enquête liée au «décès d’un ouvrier marocain qui effectuait des travaux dans son logement privé à Alger».