La mer, le grand rassembleur, est le seul espoir de l’homme.» Rodolphe Saadé, «triton» de la marine marchande mondiale sait que commandant Cousteau disait vrai. La visite que s’apprête, avons-nous appris de sources proches du Groupe public de services portuaires (Serport), à effectuer, en Algérie, le PDG de CMA CGM, numéro trois mondial du transport et de la logistique maritimes revêt un caractère hautement stratégique à forte portée économique et politique, aussi bien pour notre pays que pour la France, dans la mesure où elle intervient dans un contexte de réchauffement des relations entre Alger et Paris après des mois de brouille.
La corruption, qui peut aller des pots-de-vin à la «captation de l’Etat» en passant par le népotisme, n’est désormais plus une simple question de gaspillage des ressources publiques. Elle est synonyme de dégradation des infrastructures, de destruction de l’environnement, d’abus de pouvoir et d’exclusion et d’érosion de la confiance. D’où la mobilisation accrue et la multiplication d’initiatives et de processus de coopération au niveau mondial aux fins de venir à bout de ce fléau qui ronge les systèmes économiques.
Interminable s’avérera, semble-t-il, le «feuilleton culte» sur le crime en col blanc, mettant en scène la collusion entre le milieu des affaires et le monde politique.
L’Organisation maritime internationale (OMI) œuvre à donner davantage de visibilité aux femmes du secteur, à renforcer l’engagement en faveur de l’ODD 5 (égalité hommes-femmes) et soutenir les efforts mondiaux visant à remédier au déséquilibre criant actuel entre femmes et hommes, notamment en matière de recrutement, de maintien en service et d’emploi durable dans l’industrie maritime.
Après ceux de Haute-Corse (France) et de Sardaigne (Italie), où ils sont respectivement produits dans les régions de Balagne, sur la côte nord-ouest de l'île corse, et de Gallura au nord-est de l’île sarde, le miel d’arbousier de l’Edough à Annaba (Algérie) sera le troisième à bénéficier d’un label à l’échelle de la Méditerranée.
A peine quelques heures après sa seconde investiture, le 20 janvier dernier, à la présidence des Etats-Unis, Donald Trump s’est empressé d’acter la décision de retirer son pays de l’accord mondial portant sur l’introduction d’une taxation minimale de 15% sur les bénéfices des multinationales.
La double provocation de trop : le maréchal Khalifa Haftar a été reçu mercredi 27 février à l'Elysée par Emmanuel Macron, apprend le commandement général l’Armée nationale libyenne (ANL).
De 2,2 à 3,7 millions mètres cubes (m3)/jour devraient hisser le volume d’eau dessalée produite à partir de la Méditerranée après l’entrée en service des cinq usines de dessalement de l’eau de mer, réalisées dans les wilayas de Béjaïa (Tighremt-Toudja), de Boumerdès (Cap Djinet), de Tipasa (Fouka), d’Oran (Cap Blanc) et d’El Tarf (Koudiet Eddraouche), d’une capacité de production de 300 000 m3/j chacune, pour un coût de près de 2,4 milliards de dollars.
Je ne connais pas un pays au monde qui accorde des facilités déconcertantes pour les commerçants étrangers, lesquels (commerçants) sont devenus des relais pour les exportations de leur pays d’origine.
C’est une évaluation objective, factuelle des résultats de cette association et des évolutions sociétales, économiques, politiques et autres que préconise Dr Zoubir Benleulmi, professeur en management de l’innovation, assurant, par ailleurs, des formations pour les cadres dirigeants et les enseignants-chercheurs de l’université.
Jugeant que le contexte actuel (nouvelle crise diplomatique entre Alger et Paris) est loin d’être favorable à la révision, «légitime» à ses yeux, de l’accord d’association, le Professeur Laurent Chalard, Docteur en géographie (Paris IV Sorbonne), ses travaux portant sur la géographie urbaine, la géographie de la population et la géographie politique, se dit toujours incapable de «comprendre pourquoi les dirigeants français et algériens sont constamment en conflit ?» Alors que, insiste-il, «c’est nullement dans les intérêts géostratégiques des deux pays, qui, au contraire, ont tout intérêt à coopérer».
Connectivité intra-africaine limitée, coûts de voyage élevés, réglementations fragmentées, financement limité des aéronefs et infrastructures aéronautiques sous-développées, des obstacles et tant d’autres ayant, des décennies durant, limité le commerce, le tourisme ainsi que l'intégration économique et sociale du continent que le constructeur aéronautique américain Boeing œuvre à lever pour aider le secteur de l'aviation civile à s’épanouir et à prospérer.
Dans cette histoire, l’un des acteurs-clés n’étant autre que l’apporteur d’affaires, ce personnage invisible à qui il est souvent fait appel dans la sous-traitance de missions «souterraines» de démarchage de clientèle ou de fournisseurs, surtout lorsqu’il est question de gros et fort juteux contrats internationaux.
Théoriquement, l’apporteur d’affaires est défini comme étant un intermédiaire, qui, en exécution d’une entente avec un commerçant, un industriel ou un groupe, prospecte un marché pour leur amener une nouvelle clientèle ou de nouveaux fournisseurs. En contrepartie, il reçoit une commission.
A travers cette initiative, c’est une opportunité qui est offerte au monde universitaire et à la communauté des chercheurs d’Afrique, des Caraïbes et de la diaspora de présenter des recherches et des prototypes innovants.
Alstom France s’était engagée à assurer la formation et le transfert de technologie, de compétences et de savoir-faire aux 240 employés de Cital, de façon «à faire passer d’ici à 2025 toute la production réalisée en Europe au site de Annaba, et ce, afin de créer un pôle ferroviaire d’excellence en Algérie et dans toute la région».
Le recours aveugle des décideurs politiques, institutions, agences, organisations internationales, gouvernementales ou non gouvernementales, des universitaires ou des professionnels des médias à des données imparfaites, ne donnant pas la priorité à l’exactitude, à l’équité et à l’intégrité par rapport à la commodité ou à l’idéologie, risque de perpétuer les idées fausses et d’amplifier les préjugés.
C’est en quelque sorte un appel à l’action et à une mobilisation plus audacieuses pour affirmer leur place dans le nouvel ordre financier mondial et s’épanouir loin du tutorat persistant des grandes places internationales que l’équipe d’experts internationaux, incluant Momentus Global (anciennement International Financial Consulting), Samawati Capital Partners et Stafford Law, a adressé aux juridictions africaines dans une nouvelle étude, rapporte une agence suisso-africaine spécialisée dans la gestion publique et l’économie africaine.
Plus de 300 millions de candidatures traitées depuis 2001, un cap qui vient d’être franchi. 2024 est donc une année à marquer d’une pierre blanche pour le prestataire d'externalisation des demandes de visas, VFS Global.
La CAAR cherche à s’imposer comme leader incontesté sur le marché, où la concurrence devient de plus en plus féroce.