Le ministre de l’Intérieur, Brahim Merad, insiste sur «le maintien du niveau renforcé de la coopération multilatérale» pour combattre le phénomène de la migration irrégulière.
L’Algérie déplore la confirmation de la position américaine reconnaissant la «souveraineté marocaine sur le Sahara occidental» et appuyant le plan d’autonomie «comme seule solution» à ce conflit. «L’Algérie a pris connaissance de la réaffirmation par le Département d’Etat de la position des Etats-Unis d’Amérique considérant le plan d’autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine comme la seule solution au conflit du Sahara occidental», indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, rendu public hier.
L’Algérie et l’Iran affichent la volonté de «consolider leurs relations bilatérales». Cet engagement a été exprimé à l’occasion de la visite officielle effectuée, hier à Alger, par le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi.
Les condamnations à la peine de mort ont fortement baissé en 2024 en Algérie, s’est réjouie Amnesty International. L’ONG, qui a rendu public son rapport annuel sur la peine capitale dans le monde, affirme avoir recensé huit condamnations à cette sentence prononcées par la justice algérienne durant l’année écoulée.
Elle figure dans la liste des décisions prises à l’issue de la visite, dimanche à Alger, du ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot.
Crise désamorcée et «retour à la normale» amorcé ! L’Algérie et la France mettent fin à leur désaccord et tournent la page de la grave et inédite tension ayant ébranlé, de longs mois durant, leurs relations diplomatiques.
L’Algérie n'a pas tardé à réagir à la décision de la justice française d'opposer un avis défavorable aux demandes d'extradition de l’ancien ministre de l'Industrie et des Mines Abdessalem Bouchouareb.
Les divergences au sein du gouvernement français sur la tension avec l’Algérie ne cessent d’éclater au grand jour. Outre le silence du Premier ministre, François Bayrou, son ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, qui était aligné, il y a quelques semaines, sur les thèses de l’extrême droite, revient visiblement dans le droit chemin.
l Le chef de l’Etat précise que la Fête de la victoire «est le fruit du précieux sang qui a coulé sur notre terre pure et des sacrifices douloureux et cruels que le peuple algérien a consenti avec courage, foi et patience pour vivre dans sa patrie dans la liberté et la dignité».
Le 19 mars 1962-19 mars 2025. L’Algérie célébrera, demain 19 Mars, la Fête de la victoire, qui renvoie également à un autre événement et une autre date capitale dans l’histoire du pays, en l’occurrence la signature des Accords d’Evian, le 18 mars 1962, qui ont mis fin à 132 ans de colonisation française. Des accords qui ont tracé les règles générales à suivre dans les relations entre l’ancienne puissance coloniale et l’Etat algérien indépendant.
Les voix dénonçant la surenchère des extrémistes qui enveniment les relations entre l’Algérie et la France se multiplient. Après différentes personnalités françaises, c’est au tour des binationaux, des Franco-Algériens de prendre la parole pour dénoncer leur marginalisation et leur stigmatisation.
L’Union européenne veut plus d’étrangers… sans papier sur son territoire. Résultante de la montée de la droite et de l’extrême-droite dans de nombreux pays, la politique de l’Union européenne (UE) envers les immigrés devrait connaître un profond changement.
La société nationale d’électricité et du gaz Sonelgaz veut élargir son champ d’action à l’Afrique de l’Ouest.
Les étudiants algériens sont très intéressés par l’émigration. Ils sont plus de 75% à vouloir tenter leur chance sous d’autres cieux, dans l’espoir de décrocher un «meilleur emploi» à l’issue de leur formation universitaire. C’est ce que révèle une étude réalisée par trois sociologues, en l’occurrence Zahir Hadibi, Yasmine Musette et Sonia Kherbachi.
L’Algérie hausse le ton ! L’annonce, par certains médias marocains, des manœuvres militaires conjointes entre la France et le Maroc à Er-Rachidia fait immédiatement réagir les autorités algériennes qui dénoncent une «provocation» de plus à l’égard de notre pays.
l Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a mis en garde contre le danger d’aujourd’hui, à savoir «la dispersion d’un peuple après la tentative de l’exterminer, le déplacement d’un peuple après confiscation de sa terre…»
Le président français, Emmanuel Macron, intervient à nouveau dans la crise entre l’Algérie et la France. Face à l’insistance de son Premier ministre, Bruno Retailleau, à aggraver la tension entre Alger et Paris, il décide, visiblement, de lui rappeler, ainsi qu’au premier ministre, François Bayrou, leurs prérogatives.
La question palestinienne est-elle devenue, pour certains pays arabes, une chasse gardée ? Il semblerait que des pays dits «influents» au Moyen-Orient cultivent l’exclusion au sein même de la Ligue arabe, censée être un lieu de concertation et de resserrement des rangs pour mieux défendre la cause «sacrée».
Sans anesthésie. C’est le titre de la dernière production intellectuelle du politologue et professeur à HEIP Lyon Politics, Gilles Thevenon. Il s’agit d’un roman publié aux Edition Le Livre et la plume, en 2024. Un livre pas du tout comme les autres.
Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a reçu, hier, un appel téléphonique de son homologue saoudien, Faisal Ben Farhan Al Saoud. Selon un communiqué du ministère, les deux ministres ont examiné les développements de la question palestinienne, dans le cadre des préparatifs du Sommet arabe d’urgence prévu, demain (4 mars) au Caire (Egypte), ainsi que de la réunion d’urgence du Conseil des ministres des Affaires étrangères des Etats membres de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), prévue le 7 mars courant.