Le président sud-africain sera accompagné d’une délégation de haut niveau, dirigée par le ministre sud-africain des Relations internationales et de la Coopération, Ronald Lamola.
Le ministère des Affaires étrangères (MAE) a annoncé l’installation d’une cellule de crise pour suivre la situation en Syrie et prendre des mesures nécessaires concernant la prise en charge des Algériens vivant dans ce pays.
Première réaction officielle à la polémique née suite à l’arrestation, il y a plus de dix jours, de l’écrivain Boualem Sansal. Elle vient du président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Brahim Boughali.
La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, réitère à nouveau son appel à la prise en charge des revendications des étudiants en médecine, en grève depuis plusieurs semaines.
Ecole algérienne, réalité et défis». C’est le thème choisi par le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) pour sa rencontre-débat organisée hier à Sétif,. Intervenant à cette occasion, le président du parti, Atmane Mazouz, a dressé un tableau sombre de la situation de l’école, victime, dit-il, des «violence idéologiques».
La campagne anti-algérienne a repris de plus belle en France. Des acteurs de la droite et de l’extrême droite ont profité de la récente interpellation de l’écrivain Boualem Sansal pour s’attaquer à l’Algérie.
Le gouvernement Larbaoui II entame le travail. Remanié lundi 18 novembre, le nouvel Exécutif a tenu, hier, sa première réunion pour se pencher, selon un communiqué du Premier ministère, sur «la mise en place des mesures opérationnelles permettant la pleine mise en œuvre des directives données au gouvernement par le président de la République lors du Conseil des ministres tenu le 24 novembre 2024».
La compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, annonce le lancement d’un concours national de recrutement. L’opération qui vise à répondre aux besoins de la société, lit-on dans un communiqué rendu public hier, est destinée aux diplômés des universités, instituts et écoles académiques.
La Sous-secrétaire d’Etat américaine pour la Sécurité civile, la Démocratie et les Droits de l’homme, Uzra Zeya, a achevé, hier, sa visite en Algérie entamée dimanche dernier.
Attendu depuis quelques jours, le changement de l’exécutif a été annoncé vers 17h.
Le remaniement ou le changement du gouvernement ne devrait pas tarder. Il serait même imminent au regard de la célérité avec laquelle a été examiné et adopté le projet de loi de finances 2025 (PLF-2025) au Parlement. Mais alors que l’opinion nationale attend toujours de connaître la composante officielle du nouvel Exécutif, un fait, tout à fait nouveau et étrange, suscite à la fois curiosité et interrogations.
L’information a été donnée par le New York Times et elle a vite été relayée par de nombreux journaux et sites d’information marocain. Le sénateur de Floride qui avait demandé, en septembre 2022, à l’administration Biden d’imposer des sanctions contre l’Algérie, Marco Rubio, pourrait être le futur chef de la diplomatie américaine.
Ce nouveau discours des autorités marocaines est, à la fois, étrange et inquiétant. Et pour cause, les autorités algériennes ne cessent d’afficher l’engagement de l’Algérie à contribuer à la paix et à la sécurité en Afrique et dans le monde.
Abordant le développement économique en Afrique, Ahmed Attaf met en avant la nécessité d’accélérer la réalisation de l’Agenda 2030 des Nations unies et de l’Agenda africain 2063.
Le roi du Maroc, Mohammed VI, semble être agacé par les derniers développements concernant le dossier sahraoui, surtout après le revers subi en Europe. Sa dernière sortie confirme, en tout cas, sa colère. Dans un discours prononcé, mercredi dernier à l’occasion de l’anniversaire de la colonisation par son pays du territoire du Sahara occidental, événement appelé dans la monarchie «La marche verte (de Hassan II)», le souverain marocain s’en prend à l’Algérie, sans la citer directement.
Aboutissement d’un long processus. Le 1er Novembre 1954, correspondant à la date du déclenchement de la Guerre de libération nationale, dont nous célébrons cette année le 70e anniversaire, n’était pas une idée venue du néant. Il est le fruit de plusieurs décennies de luttes multiformes contre un système colonial inique. Comment ces luttes ont-elles débouché sur une révolution armée ? Quel est le rôle de la classe politique algérienne de l’époque ? Des historiens nous en parlent.
Une multitude de sigles pour une même cause. Le nationalisme algérien n’est pas porté par une seule voix. Au contraire, les voies étaient multiples. Divers courants y étaient représentés, en dépit de la répression du colonialisme. Un véritable multipartisme a, en effet, vu le jour en Algérie bien avant l’indépendance. Le Mouvement national avait plusieurs facettes.
Tous les rapports des services de sécurité pointent du doigt les conducteurs qui, selon eux, sont à l’origine des accidents les plus mortels.
Les nouveaux souscripteurs AADL seront destinataires, dans les toutes prochaines semaines, d’un ordre de versement de la première tranche du montant du logement convoité.
Au moins treize détenus politiques ont été libérés, depuis jeudi dernier, dans le cadre d’une grâce présidentielle, décidée à l’occasion de la célébration du 70e anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a signé, jeudi, deux décrets présidentiels portant mesures de grâce pour plus de 4000 détenus.