Alors qu’un accord de cessez-le-feu a été annoncé mercredi soir entre le Hamas et Israël, accord qui devrait entrer en vigueur demain, l’entité sioniste a poursuivi sans répit son entreprise génocidaire, gâchant la joie des Palestiniens de retrouver enfin un peu de paix. Plus de 111 morts, dont 27 enfants, ont été enregistrés à Ghaza depuis cette annonce, selon la Défense civile palestinienne.
La conclusion d’un accord de cessez-le-feu entre le Hamas et Israël après plus de 15 mois d’une guerre épouvantable contre le peuple palestinien à Ghaza a suscité des réactions enthousiastes sur la scène internationale, saluant à l’unisson cette issue heureuse de plusieurs mois de négociations.
Les dernières 48 heures qui ont suivi l’annonce d’un accord pour un cessez-le-feu à Ghaza ont été particulièrement meurtrières pour les Ghazaouis, parmi lesquels près d’une centaine ont été tués et des dizaines autres blessés par des raids sionistes, mais aussi très tendues au sein du gouvernement israélien, menacé de dissolution par une coalition de l’extrême droite opposée à la fin de la guerre.
Toutes les procédures de la première étape se poursuivront à l’étape 2, tant que les négociations sur l’accord est en fait celui proposé par le président Biden à la fin du mois de mai 2024, accepté par Israël, entériné par le Conseil de sécurité, avant qu’il ne soit rejeté par le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu.
Au vingt-deuxième jour, l’armée israélienne se retire du centre de Ghaza, en particulier de l’axe Netzarim et l’axe de la place du Koweït, à l’est de la rue Salah Al Din vers une zone proche de la frontière, les sites et installations militaires doivent être complètement détruits ou démantelés, les déplacés désarmés poursuivent leur retour, vers leurs maisons dans le nord, sans aucune entrave à leur liberté de mouvement dans toutes les zones de l’enclave.
Le peuple palestinien est sorti, mercredi soir, de 15 mois d’enfer. La joie et ses larmes ont éclaté à l’annonce du cessez-le-feu conclu à Doha. 15 mois durant lesquels des milliers de femmes et d’enfants sont morts sous les bombes «made in America».
Mohamed Méziane a affirmé que le Conseil supérieur de la déontologie et de l’éthique du journalisme sera installé dès la promulgation des textes réglementaires y afférents.
Le processus d’accès de façon numérique à la consultation des documents et ouvrages sera généralisé à l’ensemble des bibliothèques universitaires du pays avant la fin du mois de mars, a assuré Kamel Baddari, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, en visite jeudi à Oran.
Face à l’augmentation des divorces en Algérie, le ministre de la Justice, Lotfi Boudjemaa, a affirmé que la réponse à cette situation serait d’ordre sociétal et non pas juridique. Dans une réponse écrite à une question parlementaire, publiée le 31 décembre, il a expliqué que la montée en flèche des cas de divorce dans notre pays ne peut être imputée aux seules dispositions juridiques, mais qu’elle s’inscrit dans un contexte de transformations survenues dans la société algérienne ces dernières années.
Un appel a été lancé aux citoyens pour éviter de se déplacer s’il n’y a pas urgence et de ne pas prendre la route vers les parcs forestiers de Babors (Sétif) et de Chélia (Khenchela), en raison des conditions météorologiques difficiles.
La réduction de la pollution plastique et de ses effets néfastes sur l’environnement constitue l’une des priorités du secteur. D’ailleurs, une série de mesures significatives ont été prises en faveur de la santé du consommateur et du citoyen», c’est ce qu’a déclaré Nadjiba Djilali, ministre de l’Environnement et de la Qualité de la vie, lors d’une plénière, tenue jeudi, consacrée aux questions orales au Conseil de la nation.
Lors d’une visite de travail et d’inspection effectuée jeudi dans la wilaya de Bouira, le ministre de l’Energie et des Mines a fait savoir que «plus de 70 000 exploitations agricoles à travers le territoire national ont été raccordées au réseau électrique, depuis fin 2021.
L’Algérie a exprimé, jeudi, sa satisfaction suite à l’annonce de l’accord de cessez-le-feu dans la bande de Ghaza, affirmant la nécessité de concrétiser cet accord dans tous ses termes et ses dimensions, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines.
Une enquête d’opinion réalisée par l’ONG Tournons la page (TLP), en collaboration avec le Centre de recherches internationales de Sciences Po (CERI Sciences Po, Paris), dans six pays africains livre des enseignements édifiants sur les raisons du «rejet de la France en Afrique».
Ressassant un discours qui n’est pas nouveau et qui s’inscrit dans une vision expansionniste de la monarchie marocaine, Benkirane se saisit d’une opportunité pour tenter de raviver des revendications expansionnistes, défendues dans les années 1950 par Allal El Fassi, du parti Istiqlal.
La gauche dénonce l’odieuse campagne conduite par plusieurs ministres, dont celui des Affaires étrangères et celui de l’Intérieur, contre l’Algérie. Une insupportable instrumentalisation politico-médiatique sur un ton de va-t-en-guerre virulent.
Selon le décret exécutif n° 24-428, «la relation de travail entre l’établissement et le contractuel, s’établit par contrat de travail écrit d’une durée de trois ans, renouvelable pour la même durée et dans les mêmes conditions».
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, a présidé, hier à Alger, une réunion du gouvernement consacrée à l’examen de dossiers relatifs aux secteurs des forêts et de l’hydraulique, ainsi que le développement du cadre réglementaire relatif aux modalités d’homologation des dispositifs médicaux et la réforme de la formation professionnelle, a annoncé un communiqué des services du Premier ministre.
Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, a présidé hier une réunion du Bureau du Conseil élargi aux présidents des groupes parlementaires et au questeur, consacrée à l’examen du calendrier proposé pour les activités législatives du Conseil prévues entre le 20 et le 23 janvier, indique un communiqué du Conseil.
Des mesures sont annoncées par le ministère de l’Agriculture afin d’éviter les perturbations qui, chaque année, mettent les marchés à rude épreuve. Miloud Triâa, conseiller chargé des études et des synthèses auprès du ministre de l’Agriculture, a détaillé hier lors d’un passage sur la chaîne Echourouk Newss les efforts entrepris par son département.