Le comité technique bilatéral de consultation sur les relations commerciales entre l’Algérie et l’Union européenne (UE) devra se réunir en vue de la révision de l’accord d’association. C’est l’annonce faite, hier, à l’issue de l’audience accordée par le Premier ministre, Nadir Larbaoui, à l’ambassadeur de l’UE en Algérie, Diego Mellado Pascua.
Dans son recueil, le poète, natif de la ville de Tizi Ouzou, nous replonge dans une actualité traumatisante : celle des incendies de Kabylie d’août 2021.
Les Assises nationales du cinéma s’ouvriront demain au Centre de conférences (CIC), Abdelatif Rahal. Placées sous le patronage du président Abdelmadjid Tebboune, ces assises devront permettre de préparer une «feuille de route opérationnelle» du secteur du cinéma en Algérie, précise dans un communiqué le ministère de la Culture, organisateur de cet événement de deux jours.
J’ai à maintes fois eu l’occasion de dire tout le bien que pensais du café littéraire de Larbaâ Nath Irathen. J’y suis allé à plusieurs reprises et chaque fois, je fus frappé par la qualité de l’audience, de son écoute et des échanges qu’elle établissait avec les conférenciers de passage.»
Le PDG d’AEC, filiale de Sonatrach, Lahcène Bada, revient dans cet entretien sur le très ambitieux programme de dessalement lancé par l’Algérie. «Ce programme permet de passer de 18 à 42% de la participation du dessalement de l’eau de mer dans l’alimentation en eau potable à partir de fin février 2025, ce qui aura comme impact positif de réduire le stress hydrique persistant dans le pays», soutient-il.
Il faudrait savoir que le dessalement d’eau de mer en Algérie ne date pas d’hier. L’Etat, dans le souci de créer un mix d’eau conventionnelle/non conventionnelle, a lancé préalablement un programme de 11 stations de dessalement d’eau de mer opérationnelles à ce jour, d’une capacité globale de 2,1 millions de mètres cubes/jour et qui participe à hauteur de 17% aux besoins des citoyens en eau potable.
Native d’Ath Yenni, Djoher Amhis-Ouksel, éducatrice et essayiste de renom, s’est très tôt intéressée à la littérature algérienne. A son actif, plusieurs essais. L’association Les Amis de la Rampe Louni Arezki, présidée par l’infatigable Lounis Aït Aoudia, rendra hommage à une essayiste, presque centenaire, qui a tant donné à la littérature algérienne.
Le jury a salué une traduction «fidèle et brillante, qui réinterprète avec justesse la mémoire d’une société à un moment charnière».
Les auteurs et critiques littéraires algériens ont été surpris par l’engouement des jeunes pour les genres de littérature considérés comme mineurs. Deux camps, aux positions tranchées, s’étaient formés : rejet franc d’un côté et accueil enthousiaste de l’autre.
C’est un témoignage édifiant venu du XXe siècle. L’actualité immédiate du génocide en cours à Ghaza fait écho aux humiliations anciennes subies par le peuple palestinien sur sa terre.
Il est l’un des plus grands connaisseurs des littératures francophones du Maghreb. Charles Bonn est décédé chez lui, mercredi 6 novembre, à Lyon, à l’âge de 82 ans. Professeur émérite à l’Université Lyon II, ce natif de Lipsheim (Bas-Rhin, France) a enseigné dans les universités de Constantine, Fès et Leipzig. Il était le fondateur du programme Limag et du site limag.com.
Dans cet entretien, Amar Mohand-Amer évoque les évolutions du camp indépendantiste. Pour lui, pendant toute la durée de la guerre et même avant le 1er Novembre 1954, les «tensions, clivages et oppositions sont légion». «Ce furent des confrontations objectives imposées par la guerre et ses nombreux enjeux et défis», souligne-t-il. Le jeune historien, qui est l’un des plus persévérant de sa génération, a une appréhension : «Le risque ou le danger est que notre histoire nationale ne soit plus à l’avenir du ressort de nos jeunes collègues.»
Notre mémoire est un monde plus parfait que l’univers : elle rend la vie à ce qui n’existe plus.» Cette citation, attribuée à l’auteur français Guy de Maupassant, résume le travail de Cherif Chikhi. Son livre témoignage, Guerre de libération nationale 1954-1962, Souvenirs d’un village martyr (Dahlab, 2024), nous parle avec des mots bien sentis de ces vies simples prises dans la tourmente de la guerre.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Ouanassa Siari Tengour, historienne au long cours, revient sur le déclenchement de la Guerre d'Algérie le 1er Novembre 1954 dans l'Aurès. Elle évoque, avec force détails, la genèse du mouvement dans cette partie du pays.
Les mémoires de l’historien Mohammed Harbi, Une vie debout, viennent d’être traduits en tamazigt sous le titre Tudert deg ise aux éditions Koukou.
Tout le stock d’armes des Mechelek a explosé. Le local de Batna a été soufflé. Lis ça ! Mostefa Ben Boulaïd, sourire aux lèvres, tend une coupure de presse à Abdelhamid Mehri, membre comme lui du comité central du MTLD.
Cœur-d’amande, c’est l’histoire de gens simples qu’on prend en affection, mais c’est également celle d’un quartier : Montmartre
La date du concours d’accès à l’Ecole régionale de formation des avocats de Sidi Aïssa (M’sila) n’est pas encore fixée. Idem pour les postes ouverts.
Le secrétaire général du HCA, Si El Hachemi Assad, a insisté, lors de sa visite à In Salah, sur le rôle de l’école dans la valorisation de la langue. «Le renforcement de la présence de la langue amazighe dans les différents systèmes nationaux (enseignement, média, ndlr) n’est possible que par l’école», insiste-il.
l Slimane Zeghidour, Boukhalfa Amazit, des spécialistes au long cours, animeront, aujourd’hui, avec deux bédéistes du cru, Aïder et Haroun, une table ronde sur les héros de la BD «made in Algeria».