Le partenariat entre Novo Nordisk Algérie et le ministère de la Santé vient d’être renouvelé.
La mortalité due à cette maladie transmise par les moustiques est redescendue à son niveau d’avant le Covid, qui avait perturbé les opérations de lutte.
Si dès le début de l’épidémie de l’infection VIH/sida, l’Algérie s’est investie dans la riposte au sida de façon volontariste et déterminée à travers un engagement politique régulièrement réaffirmé et traduit par un financement conséquent avec plus de 95% du budget alloué par le Trésor public qui garantit, à titre gratuit et universel, toutes les prestations, certains tabous persistent, ce qui dissuade beaucoup de personnes à se faire dépister. C’est pourquoi les spécialistes estiment important que les facteurs sociaux soient pris en compte dans les stratégies de prévention et de sensibilisation, afin de créer un environnement où les personnes se sentent soutenues et en sécurité pour se faire dépister et suivre un traitement. Explications !
Si les gens sont toujours si réfractaires au dépistage, c’est pour plusieurs raisons. Selon M. Bourouba, il y a d’abord la peur de la maladie elle-même et les tabous qui entourent le VIH/sida
«Il existe une véritable juxtaposition de deux épidémies : celle de la toxicomanie et celle du VIH», affirme Othmane Bourouba, président de AIDS Algérie. C’est pourquoi il estime que la lutte contre la drogue est un élément crucial dans la réduction des cas de contaminations par le VIH.
«La meilleure stratégie pour mettre un terme au VIH/sida doit être globale et holistique, c’est-à-dire qu’elle doit prendre en compte les défis et réalités du terrain, tout en étant centrée sur les populations-clés, en répondant spécifiquement à leurs besoins», explique M. Bourouba.
Plusieurs actions de prévention combinées sont organisées tout au long de l’année au profit des jeunes ainsi que des autres populations-clés et vulnérables (PCV).
La 2e édition du Salon international de la pharmacie et de la parapharmacie (Siphaphac) a été ouverte, jeudi à Chlef, avec la participation de plus de 40 opérateurs, entre pharmaciens, investisseurs en produits pharmaceutiques et parapharmaceutiques et distributeurs.
Outre des présentations théoriques, l’accent a été mis sur la dimension pratique, avec l’organisation d’ateliers destinés aux praticiens généralistes.
Une rencontre a été organisée hier à Alger, à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, lors de laquelle les participants ont mis en avant l’importance de la prévention de cette maladie ainsi que l’accès équitable aux services de santé sans discrimination ni stigmatisation.
Même si les cas chez les humains restent rares, les experts craignent une mutation du virus qui lui permettrait de passer d’un humain à un autre.
Après un mois d’activités intenses à travers plusieurs localités et établissements, dans le cadre de la campagne de sensibilisation et de dépistage du mois d’Octobre rose, l’association Tudert a enregistré 74 cas suspects sur 1887 ayant effectué le test de dépistage.
Evoquant le projet de réalisation du centre anticancer d’Amizour, dont l’inauguration du service de radiothérapie devrait intervenir avant la fin de l’année, comme promis par le wali en mai au micro de la radio locale, les membres de l’association Tudert rebondissent sur un autre projet auquel ils tiennent.
Dans cet entretien, le Professeur Abdelhak Lakehal dresse un état des lieux de l’incidence du carcinome hépatocellulaire (CHC) en Algérie, en examinant les facteurs de risque, ainsi que les méthodes de dépistage du cancer du foie en Algérie. Ce thème constituait l’un des axes centraux du Congrès international de l’Association scientifique des pathologies hépatobiliaires et pancréatiques (ASPHP), qui s’est tenu le 31 octobre à l’hôtel Marriott de Constantine.
Ces dernières années, les jeunes privilégient davantage la consommation de boissons dites «énergisantes». Si certains cherchent à améliorer leurs performances sportives, d’autres abusent dans leur consommation pour favoriser la concentration à l’approche des examens, et cela n’est pas sans conséquences sur leur santé. Explications !
Sous le slogan «La Sécurité sociale vous accompagne tout au long de votre parcours universitaire», la campagne, qui se poursuivra jusqu’au 24 octobre, a pour but d’informer les étudiants universitaires sur leurs droits et obligations en matière de sécurité sociale.
Le Pr Abderrezak Dahdouh, président de la Salud-PP, a tenu à assurer que l’urologie va de mieux en mieux grâce à des urologues plus nombreux.
Le rapport indique que la coordination ville-hôpital «doit être un objectif partagé par l’ensemble des acteurs de santé impliqués dans la prise en charge du cancer».
Le cancer est l’une des principales causes de mortalité en Algérie. «En 2022, il a été enregistré 64 713 nouveaux cas, toutes localisations confondues, et 35 778 décès à cause de cette maladie», a révélé, hier, le Pr Mohamed Oukkal, chef de service oncologie au CHU de Beni Messous et membre de la Commission nationale de prévention contre le cancer.
La troisième édition des Salam Days a démarré hier. Organisée par le Syndicat algérien des laboratoires d’analyses médicales (Salam), cette nouvelle édition s’est intéressée à l’oncologie en biologie médicale. D’ailleurs, ces journées sont l’occasion de mettre la lumière sur les dernières avancées dans le domaine, mais aussi d’aborder l’épineuse question de l’exercice illégal de l’activité.