L’association El Badr d’aide aux malades atteints de cancer vient d’obtenir l’autorisation officielle pour la construction d’un hôpital. «Nous avons obtenu les autorisations la semaine dernière, et nous avons rendez-vous avec l’architecte cette semaine pour convenir d’une date pour poser de la première pierre», a confié Mustapha Moussaoui, président de l’association El Badr.
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et celui de la Santé ont signé, jeudi à la faculté de médecine de l’université d’Alger 1, un accord de coopération avec la fondation Elias Zerhouni.
La Fédération algérienne des malades atteints de sclérose en plaques a célébré, hier au niveau de la Bibliothèque nationale d’El Hamma, la 5e édition de la Journée mondiale de la sclérose en plaques. Traditionnellement célébrée le dernier mercredi du mois de mai, le 30 mai est désormais devenue la date officielle.
C’est lors de son intervention, dans le cadre des travaux de la 77e session de l’Organisation mondiale de la santé qui se tient à Genève, et ce jusqu’au 1er juin, que le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a mis en avant les efforts déployés par l’Algérie pour développer son système de santé.
Depuis son ouverture en 2015, le service de néphrologie de l’hôpital Mustapha Pacha a mis un point d’honneur à ne pas se limiter à la seule hémodialyse. Diverses activités de consultation, de dépistage, de prévention, de néphrologie clinique (hospitalisation, développement de la biopsie rénale) ont alors été développées au CHU.
Il est nécessaire de faire de la santé maternelle et infantile l’un des piliers les plus importants du secteur de la santé. D’ailleurs, le cadre juridique nous oblige à prendre soin de la mère et de l’enfant», c’est ce qu’a indiqué, hier, le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, lors de la commémoration de la Journée nationale de la santé maternelle et infantile, célébrée le 20 avril de chaque année, et coïncidant avec la Semaine nationale de prévention.
Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a supervisé, jeudi, l’inauguration de deux nouvelles unités à l’hôpital psychiatrique Mahfoud Boucebci de Chéraga, en présence de cadres de l’administration centrale ainsi que le directeur de la santé et de la population de la wilaya d’Alger.
Les pénuries de médicaments au Royaume-Uni ont connu une augmentation significative au cours des deux dernières années, devenant une réalité de plus en plus difficile à gérer pour les pharmacies, les médecins et les patients, selon un rapport publié jeudi 18 avril.
En visite aujourd'hui dans la wilaya de Boumerdès, le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a insisté sur l’importance de la prévention dans la promotion de la santé en Algérie et la mise en œuvre de la politique adoptée en la matière par les pouvoirs publics.
Pas d’eau ni d’aliments pendant au moins quatorze heures de suite et cela durant tout un mois. Si le jeûne constitue un réel changement dans le régime alimentaire, il perturbe également profondément le métabolisme. Et afin d’éviter tout trouble digestif et autres désagréments et conserver tout de même les bienfaits du ramadan, il est important de traiter le corps avec précaution.
Peut-on considérer le ramadan comme une détox ? Le jeûne est effectivement reconnu pour aider à détoxiquer le corps. N’oublions pas que le foie a pour fonction de nettoyer le corps. Il devient fatigué, voire malade lorsqu’il y a trop de nettoyage à faire et qu’il ne peut plus nettoyer lui-même. Avec le jeûne, il y a détoxination du corps. Il n’y a plus de toxines qui arrivent par le tube digestif. Par ailleurs, le jeûne peut aider à éliminer la graisse corporelle, tout en préservant voire en augmentant la masse musculaire quand une bonne hygiène alimentaire est observée. Des études scientifiques ont montré que pour bénéficier de ces bienfaits du jeûne, il faut que ce dernier dure entre 16 et 20 heures. La surconsommation durant cette période peut entraîner des complications de santé chez les malades chroniques, car l’appareil digestif est forcé au-delà de sa capacité maximale.
Le ministre de la Santé a estimé nécessaire de créer des partenariats économiques pour assurer la couverture des besoins nationaux en vaccins fabriqués localement.
L’Algérie est un pays qui vaccine beaucoup. Nous possédons un des meilleurs programmes de vaccination au monde.
Le don de sang est l’histoire de toute l’humanité qui a pris presque 17 siècles de recherche et de contribution de plusieurs civilisations pour comprendre qu’on peut transfuser le sang qui circule en nous d’une personne à une autre et sauver ainsi des vies. Cela n’a pas été facile sur le plan de la recherche, de la médecine et de l’application. Il a fallu ensuite attendre jusqu’au XXe siècle pour découvrir les groupes sanguins et le système rhésus grâce au biologiste et médecin autrichien Karl Landsteiner. Et c’est à partir de là que les secrets de la compatibilité et incompatibilité ont été percés. Depuis, la médecine transfusionnelle a connu beaucoup de progrès. Cependant, au départ, la transfusion était payante et les malades pauvres n’y avaient pas accès. Quant à la première association de donneurs de sang, elle a été créée en Italie en 1927 par Vittorio Formentano, baptisé AVIS. En 2023, l’Organisation mondiale de la santé a révélé des disparités en matière de dons entre les pays riches et les pauvres. On compte 31,5 dons de sang pour 1000 habitants dans les pays à revenu élevé, 16,4 dans les pays à revenu intermédiaire supérieur, 6,6 dans les pays à revenu intermédiaire inférieur et 5 dans les pays à faible revenu. Actuellement, le débat est centré sur la nécessité d’encourager et d’instaurer un don de sang volontaire, altruiste.
«En Algérie, avant la circoncision des enfants, il est recommandé de demander un bilan de coagulation complet pour évaluer la fonction hémostatique de l’enfant».
L’hémophilie est une maladie génétique qui se traduit par un trouble de la coagulation et qui touche essentiellement les garçons. Une naissance sur 5000 garçons peut avoir l’hémophilie.
Le ministre de la santé, Abdelhak Saihi, a affirmé que le Plan stratégique national de lutte contre la tuberculose (2020-2024) a été évalué et un nouveau plan est actuellement en cours d’élaboration.
Un partenariat visant à renforcer l’entrepreneuriat et à soutenir les startups dans les domaines des technologies médicales et de santé en Algérie vient d’être signé entre Roche Algérie et l’EPIC Algeria Venture «Aventure», le premier hub d’innovation algérien et accélérateur de startups sous la tutelle du ministère de l’Economie de la Connaissance, des Startups et des Microentreprises.
Les équipes chargées d’inspecter l’état des différents établissements de santé, qu’ils soient publics ou privés, ainsi que l’accessibilité aux services de soins durant le mois sacré viennent d’être formées.
Un partenariat pour l’amélioration des soins en Algérie a été signé entre Kahia-Genethical, le plus ancien laboratoire privé en biotechnologie en Algérie, et Clinica Group, CRO leader sur le marché algérien.