Le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, a insisté sur la modernisation du système de santé et sur la bonne gouvernance basée sur les normes et standards internationaux.
De nombreuses propositions relatives à la réforme profonde du système national de santé ont été formulées dans les ateliers organisés lors de la rencontre nationale sur la relance du système national de santé pour faire face à tous les obstacles et anomalies que connaît le secteur depuis des années.
Plus d’une dizaine de syndicats et associations de la santé ont décidé de ne pas prendre part aux travaux de la conférence nationale sur la relance du système de santé. Certains contestent la démarche entreprise par le ministère de la Santé et d’autres crient à l’exclusion.
Le ministère de la Santé entend recadrer les Centres d’imagerie médicale (CIM) sur le plan réglementaire, organisationnel et fonctionnel.
Même en l’absence de chiffres officiels des services sanitaires ou du ministère de l’Education nationale, la situation est très compliquée : les enseignants sont fortement infectés. Les directeurs d’école et autres personnels le sont également.
En comparaison avec le mois de décembre, les admissions ont nettement augmenté, alors que l’insuffisance de lits de réanimation est devenue un problème sérieux.
Les études de médecine devront être revues dans leur contenu et dans leur architecture, afin qu’elles puissent mieux répondre aux défis de notre ère et s’adapter aux évolutions des connaissances dans le domaine.
Les hôpitaux affichent «complet» alors que le nombre de cas positifs déclarés officiellement reste stable. Les cas diagnostiqués dans les laboratoires privés ne figurent pas sur la plateforme du ministère de la Santé.
Le gouvernement lance un appel aux citoyens et citoyennes à prendre la juste mesure de l’inquiétante situation sanitaire de par le monde et de la menace d’un rebond des cas de contaminations qui risque de nous exposer aux difficiles situations que nous avons vécues lors de la troisième vague de cette épidémie.
L’avènement du variant Omicron en Algérie est d’autant plus «inquiétant», que la campagne de vaccination tourne au ralenti et que les objectifs de l’année 2021 n’ont pas été atteints, affirme le Pr Ryad Mahyaoui, membre du Comité scientifique chargé de la lutte et du suivi de la pandémie Covid-19.