Fayçal Barkat est un autodidacte qui manie les pinceaux et la palette avec bonheur. Ses œuvres picturales transmettent la féérie de la ville de Biskra. Cet habitué des expositions de peinture propose, cette fois-ci, 27 tableaux stylisée qui ne laissent pas indifférent.
Inespéré après 18 ans sans album : Tears For Fears surmonte drames et dissensions pour signer un bijou pop, ciselé de questionnements autour des démocraties menacées ou d’une nécessaire parité homme-femme.
La troisième édition du Salon national de la photographie a été ouverte dimanche à la Maison de la culture Ahmed Redha Houhou à Biskra avec la participation de 25 photographes représentant de nombreuses wilayas du pays.
L’association culturelle de la musique andalouse Ibn Badja de Mostaganem a annoncé, dimanche, l’organisation prochaine de la deuxième édition du concours national des jeunes talents en musique andalouse El Sanaa avec le prix dédié au Cheikh Moulay Benkrizi.
A travers Sur le chemin des sables en feu, l’auteur Brahim Sadok signe son premier roman aux éditions ANEP. Dans ce livre à la narration bien construite, ce diplômé de l’ENA et natif de Aïn Sefra revient sur une vie humaine réelle saupoudrée de fiction. Entretien -à point- avec cet auteur cet universitaire qui nous aide à mieux comprendre la portée de son roman historique.
Un autre homme de culture tire sa révérence. Il s’agit du cinéaste Djamel Bendeddouche, décédé durant la nuit de samedi à dimanche, à Alger, à l’âge de 80 ans. Il était le réalisateur du film Arezki l’indigène, sorti en 2008, qui retrace les exploits du bandit d’honneur Arezki El Bachir, en Kabylie, durant la période du colonialisme français.
L’auteur Belkacem Achite a signé son ouvrage intitulé Nous étions l’avenir : Regards sur l’Algérie de nos vingt ans paru chez Casbah Editions, le samedi 19 février à 14h, à la librairie du Tiers-Monde, place Emir Abdelkader, à Alger. Et sa vente-dédicace a drainé du monde. Pas des tiers, mais des familiers, ceux de la famille, grands et petits, des amis, anciens collègues, des anonymes venus le féliciter.
Multiples sont les résonances du titre de l’exposition : il évoque pour mieux la détourner l’expression populaire au Maghreb pour conjurer le mauvais sort : «Ma main sur ton œil». «Son œil dans ma main» suggère au contraire la rencontre voire le bonheur de cette rencontre entre un photographe -Raymond Depardon - et un écrivain - Kamel Daoud - : tous deux évoquent l’histoire de l’Algérie, le premier par une série de photographies, le second par des textes qui résonnent avec les photographies.
Entre les deux décrets exécutifs publiés au Journal officiel, moins d’un mois. Le premier, daté du 19 janvier, autorisait le déclassement d’une parcelle de 6 ha du parc en la faisant sortir du régime forestier national pour l’incorporer dans le domaine privé de l’Etat.
Cette histoire aurait pu sortir tout droit de l’imagination de l’une des plus grandes artisanes de romans policiers. Pourtant, les faits sont bien réels et n’ont rien à voir avec l’un des scénarios rocambolesques et rondement bien menés auxquels nous a habitués Agatha Christie. Car, cette fois-ci, c’est elle le protagoniste.
Un des grands poètes vivants de ce siècle, de celui qui précède, vient de s’en aller retrouver «la mer allée / avec le soleil ».
Un livre inédit du défunt chercheur en linguistique, Mohand Akli Haddadou, vient de paraître aux éditions Berti : Dictionnaire encyclopédique des Berbères.
Le président Abdelmadjid Tebboune a décidé d’exonérer et d’exempter toutes les maisons d’édition, nationales et étrangères, participant au Salon international du livre d’Alger des frais de location des stands, afin de leur permettre de participer à ce salon en toute sérénité.
Suite à la décision présidentielle portant sur la gratuité des stands au Salon international du livre d’Alger, en exonérant toutes les maisons d’édition, nationales et étrangères des frais de location, le Syndicat national des éditeurs du livre (SNEL) s’est fendu d’un communiqué signé de son président, Ahmed Madi, en accueillant cette bonne nouvelle pour les éditeurs avec enthousiasme et respect : «Le Syndicat national des éditeurs du livre (SNEL) formule sa haute considération et ses remerciements quant à la décision du président de la République Abdelmadjid Tebboune portant sur l’exonération et d’exemption de toutes les maisons d’édition participant à la 25e édition du SILA 2022, Salon du livre international du d’Alger- se tenant 24 au 31 mars- des frais de location des stands, afin de leur permettre de participer à ce salon en toute sérénité. Le SNEL salue cette mesure de gratuité des stands au SILA œuvrant pour une participation efficiente lors de cette édition imminente. Laquelle fut reportée à maintes reprises à cause des conditions sanitaires ayant impacté le monde entier.
Menacée de mort puis placée sous protection judiciaire, la journaliste Ophélie Meunier s’est exprimée sur le plateau de « Quotidien », mercredi 16 février 2022, après avoir été prise à partie pour la diffusion en janvier dernier d’un reportage sur l’islam radical dans l’émission « Zone interdite », sur M6.
La série diffusée par la chaîne franco-allemande Arte a entraîné de multiples réactions critiques, jusqu’aux autorités officielles. Plus que d’habitude, cette fiction télévisée donne une fausse image de l’Algérie
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a décidé d’exonérer toutes les maisons d’édition des frais de location pour le prochain Salon international du livre d’Alger. Une décision qui a été bien saluée par l’ensemble des éditeurs algériens.
Le long métrage de fiction La vie d’après d’Anis Djaâd et le documentaire Ne nous racontez plus d’histoire ! coréalisé par Ferhat Mouhali et Carole Filiu Mouhali, ont obtenu lundi le Prix Bouamari-Vautier, lors d’une cérémonie organisée à l’Institut du monde arabe à Paris, annoncent les organisateurs.
La 4e édition de la rencontre «Joussour Tawassel Li Tourath Al Haouadir», organisée par le musée public national des arts et des expressions culturelles traditionnelles-Palais Ahmed-Bey de Constantine, sera ouverte dimanche prochain avec la participation de 12 musées nationaux, a-t-on appris mardi auprès de sa directrice.
Une nouvelle version du roman Morituri, une oeuvre sur l’Algérie de la décennie du terrorisme, de Yasmina Khadra et adaptée au cinéma, paraîtra prochainement en Algérie, 26 ans après sa parution en France, a annoncé son auteur sur sa page Facebook.