L’écrivain Saâd Saïd a signé son roman intitulé Les Tranchées de l’imposture, à la Librairie du Tiers-Monde – place Emir Abdelkader –, à Alger, le 12 mars, après-midi.
Auteur prolifique et chercheur infatigable dans le domaine de l’histoire amazighe, Mohand-Akli Haddadou, décédé en 2018 à l’âge de 63 ans, a laissé un autre fruit de son travail : Dictionnaire encyclopidique des Berbères.
Le long métrage de fictionSoula, du réalisateur algérien Salah Issaad, a remporté vendredi soir le Prix du meilleur long métrage de fiction du Festival international du film de femmes de Beyrouth au Liban, annonce l’équipe du film.
Il y a 60 ans, l’écrivain algérien et enseignant, Mouloud Feraoun, auteur, entre autres, de Le fils du pauvre en 1950, tombait sous les balles assassines de l’Organisation de l’armée secrète (Oas), un groupuscule d’ultras opposé à l’indépendance de l’Algérie.
Sur cette carte figure une délimitation géographique propre à la Chine, dite «la ligne en neuf pointillés», qui définit les revendications de Pékin sur ces eaux contestées, sur lesquelles Hanoï a des revendications rivales.
L’Institut culturel italien d’Alger organise deux concerts animés par la chanteuse italienne Tiziana Tosca Donati le samedi 19 mars 2022 au Théâtre national d’Alger Mahieddine Bachtarzi et lundi 21 mars au Théâtre régional d’Oran Abdelkader Alloula.
Chahra Guerouabi, la présidente de l’association culturelle El Hachemi Guerouabi, nous éclaire sur la 7e édition du Grand Prix El Hachemi Guerouabi qui s’est tenue du 2 au 5 mars dernier à Alger. Dans cet entretien, elle déplore les lenteurs administratives ayant trait à la création d’une école académique de chaâbi portant le nom de son défunt mari, sans oublier de donner un petit aperçu sur la commémoration du 16e anniversaire de la disparition du maître El Hachemi Guerouabi.
De prime abord, l’intitulé de la deuxième édition de la rencontre nationale consacrée à la littérature féminine, a semblé pour le moins fantaisiste. Néanmoins dès l’entame de la manifestation, Abdelali Koudid, le directeur de la culture, et Ahmed Mékaoui, le directeur de la maison de la culture, lèvent toute équivoque en exposant les tenants de la problématique.
28 ans après son lâche assassinat par les sanguinaires intégristes, l’amour et l’engouement que portent les Oranais au grand dramaturge algérien Abdelkader Alloula n’a pas perdu une ride.
Mes recherches dans les archives m’avaient permises de relever que l’urbanisme à Cherchell est totalement différent de celui que j’avais noté ailleurs en Algérie, nous dit-elle, plus grave encore, ils ont détruit des anciennes habitations pittoresques, un patrimoine urbanistique avec sa beauté architecturale, érigé entre le XVe siècle et le XIXe siècles qui malheureusement font l’objet des agressions à présent à Cherchell, sachant que la colonisation française, ajoute-t-elle, avait fait déjà disparaître plusieurs quartiers dès sa violente invasion dans le pays et à Cherchell en particulier», indique notre interlocutrice. Le débat est lancé.
Abdelkader Alloula, victime d’un attentat le 10 mars 1994 alors qu’il se rendait, lors d’une soirée du mois de Ramadhan au théâtre d’Oran pour donner une conférence, fut très proche des jeunes, comme le souligne sa veuve Radja Alloula. «Sa coopérative théâtrale 1er Mai comptant de nombreux jeunes comédiens qui donnaient des spectacles et des représentations dans divers espaces, notamment dans les établissements scolaires, dans les villages les plus reculés et à l’occasion des festivals de théâtre et remportaient d’énormes succès», a-t-elle affirmé.
En vingt épisodes, Mayna, la nouvelle série réalisée par Walid Bouchebbah, écrite par Lamia Kahli et produite par Atyaf production et présentée jeudi à la presse au siège du Centre national du cinéma algérien (Cnca), veut par son esthétique habile, son casting rigoureux et son univers décalé, renouveler le genre éculé du «sketch chorba». Malgré ses qualités indéniables, la série peine à trouver un diffuseur pour ce mois de Ramadhan.
La mise à l’écart qui frappe plusieurs artistes russes en Occident depuis l’invasion de l’Ukraine, dont la soprano superstar Anna Netrebko, relance le débat sur le bien-fondé et l’impact des boycotts culturels.
L’écrivain Saâd Saïd signera son roman inttitulé « Les Tranchées de l’imposture », à la Librairie du Tiers-Monde-place Emir Abdelkader-, aujourd’hui, samedi 12 mars à 14h.
Ce sera le premier ouvrage depuis Chroniques, volume 1, publié en 2004, pour l’artiste américain, récompensé par le Prix Nobel de littérature il y a cinq ans.
Le géant américain du streaming, qui s’impose au fil des années comme un acteur majeur du cinéma entre succès populaires («Don’t look up», 2021) et d’auteur («Roma», 2018 ; «The Power of the Dog», 2021), sort le grand jeu à coup de grands noms hollywoodiens, à la réalisation comme à l’interprétation : Jessica Chastain, Judd Apatow, Guillermo del Toro, Ryan Gosling, Daniel Craig... avec pour point culminant The Gray Man, première superproduction de la plateforme, a annoncé à Paris la direction de Netflix France, lors d’une conférence de presse.
Dans le cadre des activités de «Mars au féminin», l’espace culturel Bachir Mentouri a organisé, lundi dernier, une rencontre intitulée « Des femmes et des parcours ».
Slimane Zeghidour, intervenant lundi à l’Institut français d’Oran sur les diasporas, un sujet complexe avec ses thématiques sous-jacentes tout aussi compliquées que sont l’émigration, l’exil, etc., a eu à un moment à évoquer Boris Pasternak (1890-1960).
Invité samedi 5 mars au Café littéraire de Biskra, organisé par le Comité des fêtes de la municipalité, Selim Betka, enseignant de littérature à l’université, et écrivain né en 1963 ayant à son actif plusieurs romans et pièces de théâtre écrits dans une langue arabe usuelle «afin d’atteindre le plus nombre de lecteurs», précise-t-il, est longuement revenu sur ses motivations et sur le processus d’écriture d’un récit historique romanesque, ainsi que sur les obstacles et les embûches auxquels sont confrontés les écrivains voulant se frotter à un tel exercice.
Il n’avait pas tort quand le défunt vice-président de l’APC de Koléa, Cheikh Slimane Annani, alors inspecteur général de l’Education nationale, quand il avait décidé, le 7 mars 1974, de céder une école primaire désaffectée située au centre-ville à l’association musicale Dar El Gharnatia dirigée par le défunt président Bellouti, un mélomane et éducateur dynamique.