Diplômée en traduction à l’université d’Alger, la romancière a évoqué sa trilogie Sakarat Nedjma, composée de Fi el badê kanat al-kalima et Thabet edholma. Elle indique que sa trilogie traite des questions qui sont en relation directe avec la vie des Algériens et de la culture populaire, faisant partie du legs anthropologique. Elle est convaincue que chaque auteur qui ne s’appuie pas sur la culture populaire s’éloigne de ses lecteurs. «La littérature n’est pas une expression exclusive pour les élites, elle doit savoir exprimer les obsessions et les préoccupations communes.
Ait Mohand Mahfoudh est un bouquiniste hors pair. Durant sa jeunesse, il mordait les livres. À l’université, il faisait déjà le bouquiniste, en vendant ou échangeant des livres, même ceux qui étaient interdits.
Le commissaire de Salon international du livre d’Alger (SILA), Mohamed Iguerb, a animé, hier matin, une conférence, en compagnie d’Antonia Grande, directrice de l’Institut italien à Alger, à la Safex des Pins maritimes, pour donner un premier bilan exhaustif de ce 25e Sila.
Dans son dernier ouvrage intitulé L’Emir Abdelkader, adversaires et admirateurs, le journaliste et auteur Amar Belkhodja propose aux lecteurs de découvrir ou redécouvrir des centaines--- d’écrits, laissés par ses adversaires les plus virulents et par ses admirateurs, sur cette illustre personnalité de l’histoire de l’Algérie.
Pendant longtemps, on ne pensait pas traduire mais corriger : marginalisée pendant des années, la littérature québécoise s’épanouit enfin en France, dans sa langue, sans traduction ni «francisation» grâce au travail méticuleux d’éditeurs français et québécois. «On assiste à un vrai boom», s’enthousiasme auprès de l’AFP Anne-Isabelle Tremblay, responsable de la bibliothèque Gaston-Miron à Paris, spécialisée dans les études québécoises.
Il y aura pour tous les goûts à l’Opéra d’Alger pour les soirées ramadhanesques. Après deux ans d’absence imposée par les mesures de restriction prises contre la pandémie Covid-19, «les nuits de Ramadhan de l’Opéra d’Alger» Boualem Bessaih reviennent avec 17 spectacles.
Marc Cote, le géographe, le professeur émérite, fin connaisseur de l’Algérie et du Maghreb, est décédé dimanche en France, à l’âge de 88 ans. La nouvelle a jeté un voile de tristesse en Algérie, particulièrement dans les milieux universitaires constantinois.
Djillali Khellas, l’auteur algérien qu’on ne présente plus, après la trilogie successive intitulée Zaman El Ghirbane (Le temps des corbeaux), Leilat El Katala (La nuit des assassins) et Horath El Bahr (Les laboureurs de la mer), sort un nouveau roman Aradjoul aladi yaktoub ala rahatihi (L’Homme qui écrivait sur sa main).
La salle du Sila a reçu, lundi après-midi, les écrivains Amin Zaoui et Lounis Ben Ali, pour une rencontre, autour de la thématique «Le roman, plaisir d’écriture ou désir éditorial ?».
Avant-hier, l’espace dédié au Syndicat national du livre (SNEL) a accueilli une communication intéressante et surtout utile pour les exposants et les professionnels du livre en Algérie.
Des historiens italiens se sont relayés en animant une table ronde de haut niveau portant sur «La cause de l’indépendance algérienne en Italie». Une communication plurielle donnée au Salon international du livre d’Alger, dimanche matin.
Tout chercheur en matière de théâtre à propos des années 1970 est invariablement orienté, entre autres sources, vers le mémoire de magistère de M’hamed Djellid, sauf qu’elle demeurait introuvable, mise sous le boisseau pour de spécieuses considérations. Le CRASC vient de rendre justice à feu Djellid en éditant «ce trésor d’intelligence, de minutie, de patience et de persévérance, d’autant qu’il n’a pas perdu de son actualité».
La bibliothèque communale Salah Abdelbaki de Jijel a accueilli samedi l’artiste Abdelhalim Touhami, qui a brossé à l’occasion d’une rencontre organisée par l’association «Jijel antique», un aperçu sur les musiques andalouse et chaâbi dans l’antique Igilgili.
A la faveur de la tenue du 25e Salon international du livre d’Alger (SILA), une rencontre portant sur le marché italien du livre s’est tenue, dimanche dernier, à la salle El Djazair de la Safex, à Alger.
Le film CODA et ses acteurs sourds ont triomphé dimanche aux Oscars, applaudis en langue des signes par les invités de la soirée qui sont toutefois restés sidérés lorsque l’acteur Will Smith a frappé l’humoriste Chris Rock, après une blague sur son épouse.
L’écrivain et poète franco-algérien, Pierre Amrouche, fils du grand intellectuel et patriote algérien Jean El-Mouhouv Amrouche, vient de publier en Algérie son premier recueil de nouvelles Le chien de ta mère aux éditions Koukou. Il s’agit une première qui fait plaisir à Pierre Amrouche, l’un des grands experts en art africain.
C’est une grande vendeuse de livre dans le monde. Ses romans sont traduits en 32 langues dans. Elle s’appelle Stefania Auci. Elle n’est autre que l’écrivaine italienne célèbre ayant signé I Leoni Di Sicilia vendu à plus d’un million d’exemplaires. Elle était au SILA où elle a animé une rencontre romanesque.
L’écrivain, nouvelliste, poète, dramaturge et journaliste Mustapha Benfodil a animé, samedi dernier, la deuxième estrade du 25e SILA en revenant sur son expérience professionnelle.
Dans l’entretien qu’il a accordé à El Watan le jeune et sémillant auteur, Jugurtha Abbou nous parle de son livre Les maux conjugués, publié aux éditions Imal et préfacé par notre collègue Mustapha Benfodil. Son premier roman «se veut un hymne à la paix quand la guerre se fait sentir, un hymne à l’amour quand la haine s’installe, un hymne à l’espoir quand le dépit s’affirme et aussi et surtout un hymne à la résistance quand la tyrannie s’impose », résume celui qui a à son actif un recueil de poésie et un essai politique.
Tout chercheur en matière de théâtre à propos des années 1970, est invariablement orienté, entre autres sources, vers le mémoire de magistère de M’hamed Djellid, sauf qu’elle demeurait introuvable, mise sous le boisseau pour de spécieuses considérations.