Bonne nouvelle aussi bien pour les éditeurs que pour le large public, la 25e édition du Salon international du livre d’Alger se déroulera pendant neuf jours, au lieu de huit jours, au Palais des expositions des Pins Maritimes, à Alger.
Notre ami Slimane Zeghidour, écrivain et journaliste au long cours, grand reporter, rédacteur en chef et éditorialiste à TV5 Monde, donnera demain, à partir de 18h, une conférence à l’Institut français d’Alger sur un thème captivant : «La géopolitique des diasporas». «L’existence et l’enjeu international des diasporas sont aussi vieux que l’humanité.
Le Café littéraire et philosophique de Tizi Ouzou, initié par l’entreprise d’organisation d’événements culturels et scientifiques et économiques de Malek Amirouche, reprendra ses activités aujourd’hui, 26 février, après une année de mise veilleuse.
Ne pas se fier à la pochette de son nouvel album solo, où il est assis : Johnny Marr, ex-guitariste des Smiths, ne tient pas en place, œuvrant même avec Billie Eilish sur la B.O. de James Bond.
Le célèbre chef d’orchestre russe Valery Gergiev, réputé proche de Vladimir Poutine, a été écarté à la dernière minute d’une série de représentations ce week-end au Carnegie Hall à cause de l’invasion russe en Ukraine, a annoncé jeudi la prestigieuse salle new-yorkaise.
L’oeuvre de l’écrivain, anthropologue et linguiste, Mouloud Mammeri, disparu il y a 23 ans, est «un legs incommensurable», a considéré vendredi l’universitaire, Hacène Hellouane, du département de la langue française de l’Université de Tizi Ouzou.
L’Association Fort de Cherchell, présidée par le médecin orthopédiste, Dr Rachid Bellahcène, qui se compose essentiellement d’un effectif mixte d’universitaires, scientifiques et chercheurs, soutenue par d’autres associations locales, avait saisi (dernier courrier, ndlr) la direction de la culture et des arts de la wilaya de Tipasa le 9 septembre 2020, dossier à l’appui, exhortant le secteur d’étudier la situation de Dar Errachidia, un patrimoine architectural, culturel et historique au passé extrêmement riche.
La 3e édition du prix Cheikh Abdelkrim-Dali s’est ouverte, lundi soir à Alger, devant un public relativement nombreux, qui a pu apprécier, dans le strict respect des mesures de prévention sanitaires contre la propagation du coronavirus, les voix étoffées de Bahdja Rahal, Zakia Kara Torki et Karim Boughazi.
La 36e édition des Awards Goya, la grande fête du cinéma espagnol, a été célébrée cette année au Palau de Les Arts de Valence en hommage au cinéaste Luis García Berlanga, et a récompensé une année de plus les meilleurs titres du 7e art national.
Le nouveau film d’aventure Uncharted s’est emparé de la première place du box-office américain pour sa première semaine d’exploitation, selon les chiffres provisoires du cabinet spécialisé Exhibitor Relations publiés dimanche.
Confinement oblige, ils ne se connaissaient qu’à travers les réseaux sociaux où des groupes d’amateurs de poésie et de littérature s’étaient formés. Certains d’entre eux avaient déjà tenté l’expérience de l’écriture.
Fayçal Barkat est un autodidacte qui manie les pinceaux et la palette avec bonheur. Ses œuvres picturales transmettent la féérie de la ville de Biskra. Cet habitué des expositions de peinture propose, cette fois-ci, 27 tableaux stylisée qui ne laissent pas indifférent.
Inespéré après 18 ans sans album : Tears For Fears surmonte drames et dissensions pour signer un bijou pop, ciselé de questionnements autour des démocraties menacées ou d’une nécessaire parité homme-femme.
La troisième édition du Salon national de la photographie a été ouverte dimanche à la Maison de la culture Ahmed Redha Houhou à Biskra avec la participation de 25 photographes représentant de nombreuses wilayas du pays.
L’association culturelle de la musique andalouse Ibn Badja de Mostaganem a annoncé, dimanche, l’organisation prochaine de la deuxième édition du concours national des jeunes talents en musique andalouse El Sanaa avec le prix dédié au Cheikh Moulay Benkrizi.
A travers Sur le chemin des sables en feu, l’auteur Brahim Sadok signe son premier roman aux éditions ANEP. Dans ce livre à la narration bien construite, ce diplômé de l’ENA et natif de Aïn Sefra revient sur une vie humaine réelle saupoudrée de fiction. Entretien -à point- avec cet auteur cet universitaire qui nous aide à mieux comprendre la portée de son roman historique.
Un autre homme de culture tire sa révérence. Il s’agit du cinéaste Djamel Bendeddouche, décédé durant la nuit de samedi à dimanche, à Alger, à l’âge de 80 ans. Il était le réalisateur du film Arezki l’indigène, sorti en 2008, qui retrace les exploits du bandit d’honneur Arezki El Bachir, en Kabylie, durant la période du colonialisme français.
L’auteur Belkacem Achite a signé son ouvrage intitulé Nous étions l’avenir : Regards sur l’Algérie de nos vingt ans paru chez Casbah Editions, le samedi 19 février à 14h, à la librairie du Tiers-Monde, place Emir Abdelkader, à Alger. Et sa vente-dédicace a drainé du monde. Pas des tiers, mais des familiers, ceux de la famille, grands et petits, des amis, anciens collègues, des anonymes venus le féliciter.
Multiples sont les résonances du titre de l’exposition : il évoque pour mieux la détourner l’expression populaire au Maghreb pour conjurer le mauvais sort : «Ma main sur ton œil». «Son œil dans ma main» suggère au contraire la rencontre voire le bonheur de cette rencontre entre un photographe -Raymond Depardon - et un écrivain - Kamel Daoud - : tous deux évoquent l’histoire de l’Algérie, le premier par une série de photographies, le second par des textes qui résonnent avec les photographies.
Entre les deux décrets exécutifs publiés au Journal officiel, moins d’un mois. Le premier, daté du 19 janvier, autorisait le déclassement d’une parcelle de 6 ha du parc en la faisant sortir du régime forestier national pour l’incorporer dans le domaine privé de l’Etat.