Les robes noires passent à l’acte et optent pour une grève illimitée à partir de demain en riposte au nouveau système d’imposition contenu dans la loi de finances 2022 entrée en vigueur au début de l’année.
La rencontre nationale de deux jours consacrée à la modernisation du système de santé a été diversement appréciée par les professionnels de la santé. Certains professeurs et spécialistes du secteur et praticiens n’ont pas caché leur «déception» alors qu’une autre catégorie de soignants nourrit l’espoir de voir les promesses formulées par le président de la République se concrétiser sur le terrain.
La spéculation illicite est définie comme «tout stockage ou rétention de biens ou de marchandises visant à provoquer une pénurie sur le marché ou une perturbation des approvisionnements au niveau du marché, et toute hausse ou diminution artificielle des prix des biens ou marchandises ou des billets de banque».
Pour le Parti des travailleurs (PT), l’année 2022 commence avec la dégradation de la situation sur tous les plans, notamment sanitaire, et également avec son lot d’atteintes aux libertés démocratiques.
Quel est le devenir du Centre national de recherche en archéologie (CNRA) ? Des dizaines de travailleurs, entre chercheurs, doctorants en archéologie et auxiliaires exerçant au CNRA, ont observé, hier, un sit-in devant le ministère de la Culture pour dénoncer une situation socioprofessionnelle «intenable». Ces chercheurs et titulaires d’un doctorat en archéologie exigent un statut et la régularisation de leur situation.
Le président Tebboune a présidé, dimanche, une réunion du Conseil des ministres au cours de laquelle il a affirmé la nécessité de réviser la loi portant modalités d’exercice de l’action syndicale, conformément aux résolutions du Bureau international du travail (BIT). Des syndicalistes ont exprimé leur «regret» de ne pas avoir été associés à la rédaction du texte.
Le droit syndical est un pilier essentiel de la démocratie.» C’est ce qu’a rappelé hier le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, lors du Conseil des ministres consacré, entre autres, à l’examen et l’approbation du projet de loi portant sur les modalités d’exercice du droit syndical.
L’ancienne ministre de la Culture Khalida Toumi a été arrêtée à la suite d’une lettre anonyme, pour des soupçons de «dilapidation de l’argent public», «abus de fonction» et «octroi d’indus avantages à autrui». L’instruction dans son affaire est terminée et le procès de Mme Toumi devrait être programmé pour «bientôt», annonce son avocat, Boudjemaa Ghechir.