L’autorisation de baignade à la plage de Sidi Safi que domine le mausolée de ce saint tutélaire de la ville de Béni Saf devient enfin envisageable au grand bonheur des estivants comme de ceux qui ont pour souci la défense de l’environnement.
l C’est une première nationale par laquelle se distingue la wilaya de Témouchent en créant un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) pour assurer la préservation d’une zone protégée, en l’occurrence l’ile de Rachgoun, qui présente un triple intérêt écologique, historique et économique.
Le superbe documentaire L’olivier sauvage qui porte sur le fameux cabaret sauvage et Méziane Azaiche, son hors norme fondateur et directeur, vient de décrocher la mention spéciale du Grand Prix Kilimandjaro Documentaire de la 10e édition du festival Africlap de Toulouse.
2,100 kg de kif traité ont été saisis ainsi que l’arrestation d’un individu effectué par la brigade de lutte contre le commerce illicite des stupéfiants ainsi qu’un montant de 958 000 DA résultant de son activité criminelle.
Pour la relater, elle s’offre les services d’une aventurière qui s’y rend afin d’entamer une nouvelle vie en cet alléchant Eldorado que décrivaient les marins faisant escale en sa déshéritée Sicile. Plébéienne réduite contre son gré à l’état d’esclave sexuelle, elle vient de s’en extraire par une manigance vengeresse, gagnant une fortune et s’adjugeant, grâce à de vrais-faux papiers, un titre de noblesse et un nom kilométrique afin de mieux mystifier ses protagonistes à venir.
Après de nombreux et rocambolesques rebondissements, le hold-up sur 58 ha du domaine privé de l’Etat à Béni Saf, rapporté sur ces mêmes colonnes (El Watan du 23 avril 2014), vient de connaître un premier dénouement devant la cour de justice d’Aïn Témouchent.
Huit individus constituant une bande organisée dans le commerce de psychotropes, kif et boissons alcoolisées ont été arrêts au niveau du chef-lieu de wilaya.
Bien que l’automne s’installe peu à peu et que les écoliers ont repris le chemin de l’école, les noyades n’ont pas cessé, tous les estivants n’ayant pas déserté les plages. Ainsi, un baigneur a disparu depuis jeudi dernier.
Ce qui émerge peu à peu d’un flot d’images gorgées d’une violence inouïe, à force d’une spectacularité extrême, c’est l’insistance non sur la témérité des combattants turcs mais sur une bestialité qui leur est prêtée par leurs gestuelles et leurs hurlements de fauves.
Parlant du métier d’écrivain en réponse à un aspirant à l’écriture romanesque : «Vous avez dit que n’importe qui peut écrire. Cela est juste car ce qui est véritablement le propre de l’homme, ce n’est le rire selon l’adage, mais écrire. L’animal ne peut pas écrire mais peut rire. Maintenant, il faut que l’État s’investisse. Mais c’est aussi à nous de créer notre monde et de nous imposer.»
Salle de spectacle devenue l’une des plus prestigieuses de Paris, le Cabaret Sauvage vaut aussi par son créateur, Méziane Azaïche, un Algérien. D’ailleurs, dans L’olivier sauvage, le succulent documentaire qui est consacré à cet antre de la fête, ce fabuleux personnage lui a ravi la vedette.
Les images d’archives insérées, comme à brûle pourpoint, sont là pour rappeler que l’on n’est pas en mode fiction.
Le commissaire du FNLCF n’a pas le sourire gêné qu’il présentait à ses hôtes, par devers lui, l’année passée. Pour cette 6e édition, les moyens, qui ont permis à Abdelkrim Moulay de l’organiser, n’ont pas été aussi chiches. Le sponsoring des entreprises locales, le soutien de la wilaya ainsi que celui de l’ONDA les ont requinqués.
Asma Cheikh, dont nous avons loué la remarquable qualité de jeu dans «Nostalgia» (El Watan du 22 juin 2023), vient de décrocher le prix de la meilleure comédienne à la 30e édition du Festival international du Théâtre expérimental du Caire à laquelle le Théâtre du Point-Oran représentait l’Algérie.
Du 13 au 17 septembre, le Festival de cinéma et de littérature de Saïda (FNCLS) revient. Il promet de bons moments cinéphilo-littéraires, au regard de son alléchante affiche.
Selon les statistiques établies par la Protection civile, cet été a été très nettement moins meurtrier, soit 3 décès, comparativement à la saison estivale 2022 qui en a enregistré treize, et cela bien qu’il s’est produit presque le même nombre d’accidents sur les routes, respectivement 332 contre 338.
Une vaste descente sur toutes les plages de la wilaya de Aïn Témouchent,effectuée de 20h jusqu’à 6h du matin, a été opérée par la gendarmerie dans le cadre de la lutte contre le commerce illicite des stupéfiants.
Durant les dix derniers jours, spécialement le week-end, quatre personnes sont mortes dont trois par noyade en mer.
Les éditions Bel Horizon ont publié récemment un beau livre intitulé Oran méditerranée signé par Kouider Métayer.
La fréquentation des 80 km de littoral témouchentois a atteint le nombre de près de 2 millions, exactement 1 915 850, selon les estimations effectuées au quotidien par la Protection civile, entre le 1er juin et le 2 août, depuis l’ouverture de la saison estivale.