A travers un communiqué qui nous a été adressé, le Palestine Film Institute (PFI), sis à Ramallah en Palestine occupée, annonce sa participation au principal Festival de documentaires du Royaume-Uni qui se tient du 12 au 17 juin à Sheffield, ville située au nord de l’Angleterre.
La Journée nationale de l’artiste a été célébrée de façon originale, cette année à Aïn Témouchent, en ce sens qu’il s’était agi d’une «lemma» (retrouvailles) à l’occasion de laquelle des artistes de différents bords et disciplines se sont retrouvés dans une ambiance chaleureuse et fraternelle.
Forcément, son auteur a sagement attendu que s’accumule en lui le nombre des années pour qu’il dépasse ses appréhensions, lui l’ancien professeur de langue anglaise, averti de ce qu’exigence littéraire signifie. Covidium, la première nouvelle qui ouvre le bal d’une dizaine d’autres, est la plus longue.
Hier, Mohamed Charfi, le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), était à Témouchent, poursuivant son périple à travers le pays afin d’évaluer le niveau de préparation des structures locales de l’ANIE, cela «au regard des dispositions de la Constitution et des lois au plan de l’organisation et de l’encadrement de l’élection présidentielle prochaine, de façon qu’elle soit à la hauteur des attentes de l’électeur».
Le quatrième jour du festival a été incontestablement celui de la cinéphilie qui s’affiche. Il a coïncidé avec le samedi, jour férié, en après-midi, où cinq courts métrages concouraient pour l’unique sacre consacré par le festival au profit de ce seul genre.
Chroniques fidèles survenues au siècle dernier à l’hôpital psychiatrique Blida, Joinville, au temps où le docteur Frantz Fanon était chef de la cinquième division entre 1953 et 1956, c’est même un avertissement à tout spectateur qui s’attendrait à voir un flamboyant et épique biopic sur Frantz Fanon auquel, d’ailleurs, Zahzah a précédemment consacré un documentaire, Mémoire d’asile, un 54 min en 2002, un genre dans lequel il excelle comme dans son superbe L’oued, l’oued.
Des spectateurs sont demeurés debout au fond de la salle jusqu’au mot fin. Un moment de silence quasi religieux s’ensuit. Le suspense est cependant bref. Une ovation et des youyous fusent. Bachir Derraïs et son équipe sont au comble de la satisfaction.
De la sorte, il est prôné l’abandon de la généralisation, jugée irréfléchie, de la céréaliculture pluviale, celle-ci étant définie comme une agriculture dont les résultats de production sont en fonction directe de la quantité des pluies annuelles, contrairement à la céréaliculture en irriguée, cette dernière étant aussi inenvisageable dans le Témouchentois pour la même raison, sachant l’insuffisance des précipitations qui ne permettent pas la constitution de ressources hydriques souterraines exploitables pour l’agriculture.
Pour sa septième édition, le très convivial Festival national de la littérature et du cinéma de la femme (FNLCF), domicilié à Saïda, y sera de retour du 23 au 26 mai, avec cette différence que cette année, son programme lui fait dépasser son caractère national puisque pour la première fois, il s’ouvre à un cinéma autre que national.
l Pour des raisons de maintenance de la station de dessalement de l’eau de mer, située à Oued El Hallouf, une bonne partie des robinets de Témouchent risquent d’être à sec à partir du 21mai l Notons que cette maintenance est nécessaire, signale-t-on, car elle s’assure de la fiabilité et de la longévité de l’usine de façon à éviter sa dégradation prématurée et à se prémunir des perturbations de la production d’eau potable comme de la détérioration de la qualité de cette dernière.
La 55e édition promet d’être un bon cru. Bien que de prometteurs indices laissent penser que la 55e édition du Festival national de théâtre amateur de Mostaganem sera d’un niveau élevé, d’autres n’encouragent guère à l’optimisme quant à la bonne santé de la pratique théâtrale en amateur, notamment à l’est du pays.
Cet entretien croisé associe deux universitaires de la diaspora, Abdeljalil Belarbi, professeur éminent de l’université de Houston, Texas, et Abdelhafid Khelidj, professeur à l’IUT Saint Nazaire, université de Nantes, responsable de la licence professionnelle et en conduite de projets de travaux publics, selon leurs qualifications académiques respectives.
Rencontré à Témouchent où, tout comme à Skikda et à Tizi Ouzou, pour l’est et le centre du pays, il a supervisé la sélection des spectacles devant figurer au programme de la prochaine édition du Festival national de théâtre amateur, Mohamed Takiret fait état d’une démarche arrêtée afin de redynamiser le plus ancien festival national et de contribuer à relever le niveau de la pratique théâtrale chez les amateurs.
Avec le printemps, il n’y a pas que les hirondelles qui réapparaissent, les troubadours du terroir aussi. Ce jeudi, sur le plus anciennement principal boulevard de Témouchent, du primitif centre de l’agglomération, cheikh Mamachi, pas l’illustre cheikh Mohamed de Hassi Mamèche (wilaya de Mostaganem), dit lui aussi El Mamachi, puisqu’il n’est plus de ce monde.
Pour sa première production théâtrale, présentée à Témouchent dans une étape de sa tournée nationale, la coopérative culturelle Branès d’Oran s’est colletée à une sérieuse gageure en algérianisant Une demande en mariage de Tchékhov.
Jeudi dernier, contrairement à l’usage, les soumissionnaires aux activités de plagiste ont afflué à la direction du tourisme pour prendre connaissance des mises en adjudication pour la saison estivale 2024 et retirer les cahiers des charges y afférent.
Selon un communiqué de la Sûreté de wilaya, la brigade de lutte contre la criminalité cybernétique vient de démanteler un réseau de prostitution organisé au sein d’un groupe constitué sur Facebook.
Le théâtre universitaire tient la 14e édition de son Festival du 17 au 23 avril sur le campus de l’université Djilali Liabès de Sidi Bel Abbès. Heureuse auspice ? Dine Hanani Jahid, un des organisateurs, y croit fermement au regard de l’expérience vécue.
l Jeudi dernier, la ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a rendu visite à la wilaya de Témouchent.
Classé en 2016 au patrimoine national, le mausolée royal dit de Syphax va bénéficier en urgence d’une opération de sauvetage en attendant l’adoption d’un plan de protection et de mise en valeur (PPMVSA), un projet qui va incessamment être discuté et adopté par l’APW.