Après une éclipse de cinq années, le Festival national de théâtre de marionnettes (FNCM) est de retour. Il se tiendra du 8 au 11 juin, soit seulement trois jours, restrictions budgétaires obligent, celles-là même qui ont gommé ce parent pauvre du théâtre algérien du calendrier des manifestations du ministère de la Culture, une décision très mal vécue par les marionnettistes qui n’avaient que cette unique rencontre annuelle pour promouvoir leur art.
Après s’être contentée de rencontres virtuelles durant les deux années de pandémie de Covid-19, la Société algérienne de médecine générale (SAMG) renoue avec les rencontres en présentiel.
D’aucuns, à l’instar de Bensmaïl et Bachir Derraïs, estiment qu’il aurait fait une carrière exceptionnelle en France. On se souviendra toujours de sa sympathique volubilité, de ses rires tonitruants, de son air parfois ombrageux au point d’inquiéter.
Ce choix est certainement à mettre au compte de la nécessité de rendre l’œuvre accessible aux bourses les moins garnies, un choix amplement justifié s’agissant d’une œuvre manifestement voulue de salubrité publique tant les mémoires de Lakhdar Bentobbal vont contribuer à dépolluer la mémoire et l’histoire d’un segment historique essentiel dont sa/ses vérité(s) ont été altérées à des fins politiciennes.
Lundi dernier, les enquêteurs de la brigade de la police judiciaire du chef-lieu de wilaya ont procédé à l’arrestation de deux suspects du meurtre du jeune homme découvert le week-end dernier blessé à la poitrine à la cité Akid Othmane, où il résidait.
Ce lundi, l’entrée de l’université Belhadj Bouchaïb était bloquée en raison d’une action de protestation à l’initiative d’une des treize associations estudiantines accréditées.
Après le signalement d’un mortel accident de la circulation routière sur la route côtière A96, sur le tronçon, reliant la plage de Sassel au douar Sbiat dans la commune de M’Saïd, les éléments de la protection civile se sont déplacés pour découvrir le corps sans vie d’un garçon âgé de 14 ans percuté par un véhicule.
Rencontré pour un tour d’horizon sur la situation de l’année agricole, un céréaliculteur, connu pour être parmi les plus frondeurs de la profession, étale une inaccoutumée satisfaction en exhibant pour preuve ses bottes crottées par la gadoue : «Je peux vous assurer que la moisson sera exceptionnelle alors que deux mois auparavant, nous désespérions !» Mohamed descendait des Monts du Tessala qui constituent, sur 100km, une frontière naturelle entre la wilaya de Témouchent et celle de Sidi Bel Abbès.
Le projet de la station d’épuration (STEP) à Beni Saf est revenu à l’ordre du jour. Son gel en 2019 serait sur le point d’être levé, la priorité aurait été donnée aux projets les moins coûteux en matière d’épuration des eaux usées se déversant en mer.
La première mouture d’un plan de protection et de mise en valeur des vestiges de la capitale de Syphax, aguellid de la Massaessylie, a été votée par l’APW. Il a fallu toute l’ardeur persuasive du directeur de la Culture pour que la seule objection émise ne constitue pas un frein à son adoption.
Face à la rareté et à la cherté des aliments de bétail de base, dont le fourrage qui devient moins disponible à cause de la sécheresse, une femme a décidé d’investir dans une solution palliative qui a fait ses preuves au Sahara l Cette alternative consiste à «produire de l’orge hydroponique qui, juge-t-elle, couvre 40% des besoins de ses vaches».
Lorsqu’on saisit en main ce pavé de près de 500 pages, en ces temps de consommation hâtive de la lecture, l’on ressent quelques appréhensions à l’ouvrir.
Pour alléger la pression sur les ménages, alors que les nerfs sont à vifs du fait de l’augmentation excessive du coût de la vie, les pouvoirs-publics ont décidé de l’amélioration du programme de distribution de l’eau potable pour ce Ramadhan.
Ce dimanche 27, la Protection civile a repêché le corps du deuxième pêcheur plaisancier mort le 21 du mois avec son compagnon.
Tout chercheur en matière de théâtre à propos des années 1970, est invariablement orienté, entre autres sources, vers le mémoire de magistère de M’hamed Djellid, sauf qu’elle demeurait introuvable, mise sous le boisseau pour de spécieuses considérations.
L’entrepreneuriat culturel passant jusque-là par la création d’une association et par un financement à travers l’octroi annuel d’une subvention n’a plus les faveurs des pouvoirs publics.
Du 21 au 23 mars, un hommage d’envergure nationale sera rendu à Kaki et à ses douze compagnons ayant participé au premier spectacle théâtral de l’Algérie indépendante, une représentation qui a eu à projeter le Théâtre national dans une nouvelle étape, celle d’une modernité technique et esthétique fusionnant avec le patrimoine immatériel local.
Depuis plusieurs années, l’on observe une augmentation des saisies de psychotropes proposés à la vente par les dealers en milieu urbain.
De prime abord, l’intitulé de la deuxième édition de la rencontre nationale consacrée à la littérature féminine, a semblé pour le moins fantaisiste. Néanmoins dès l’entame de la manifestation, Abdelali Koudid, le directeur de la culture, et Ahmed Mékaoui, le directeur de la maison de la culture, lèvent toute équivoque en exposant les tenants de la problématique.
Les 28 P/APC de la wilaya nouvellement installés ont été conviés à une session de formation pour un exercice adéquat de leur mandat.