Classé en 2016 au patrimoine national, le mausolée royal dit de Syphax va bénéficier en urgence d’une opération de sauvetage en attendant l’adoption d’un plan de protection et de mise en valeur (PPMVSA), un projet qui va incessamment être discuté et adopté par l’APW.
Désormais, la perspective que les ruines de Siga puissent enfin nous entretenir de son passé se précise. Un arrêté du ministère de la Culture portant plan de protection et de mise en valeur du site archéologique (PPMVSA) vient d’être publié au Journal officiel.
Si en janvier, il a été comptabilisé 22,9 mm de précipitations, et d’inespérés 65,1 en février, puis un maigre 1,4 depuis début mars, «on ne désespère pas que d’ici la fin du mois, la situation s’améliore», assure le secrétaire général de la Chambre de l’agriculture.
Kamal Baddari, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et Yacine El Mahdi Oualid, ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, ont effectué une visite de travail et d’inspection à l’université Belhadj Bouchaïb (UBBAT) avec l’entrepreneuriat pour axe de préoccupation.
La brigade mobile de police judiciaire (BMPJ) de Béni Saf a démantelé une bande spécialisée dans le commerce des stupéfiants les plus demandés, en l’occurrence les psychotropes.
Les deux zones industrielles (ZI) de la wilaya, celle du chef lieu (129 ha) et celle de Tamzoura (205ha), constituent les deux faces d’une situation contrastée du foncier industriel. Quant aux treize zones d’activités (ZA), pour un total de 92 ha, la leur n’est guère reluisante, à l’instar de celle la Z.I. de Témouchent, comme en a fait étalage un rapport de l’APW. En fait, cette situation est indéniablement imputable à l’époque de l’économie administrée, d’une part, et, d’autre part, aux errements d’une libéralisation qui a suivi sans cap structurant.
Sous la devise «le numérique au service de l’administration et du citoyen», la wilaya de Aïn Témouchent a organisé une formation au profit des administrateurs des pages Facebook des communes, des directions de l’exécutif et des divers organismes sous la tutelle de ces dernières.
Le tri sélectif des déchets ménagers est enfin entré dans les mœurs à Témouchent après près de deux décennies suite à l’établissement, en 2005, d’un schéma directeur de leur ramassage pour la wilaya.
n Une journée de vulgarisation a été consacrée aux dispositions de la nouvelle loi relative à la protection et à la préservation des terres relevant du domaine national tant public que privé de l’Etat et des collectivités locales.
Témouchent, une wilaya classée région semi-aride, est en passe d’être déclarée aride, en raison de choix politico-idéologiques et non pas économiques, a-t-il été rappelé, la céréaliculture, spéculation gloutonne en pluviosité, ayant couvert l’essentiel des surfaces agricoles par la suppression de la viticulture plus adaptée tant au plan pédologique que climatique à la région, ce qui a fait disparaître l’humide microclimat qui régnait localement.
Guitare en main, chaque fois que de besoin, il illustre son propos pour le plus grand plaisir de notre oreille. A un moment, il entonne dans une prenante et mélodramatique tonalité, mais sans emphase, Darou sehour, darou (Ils ont osé la sorcellerie), dans un remarquable timbre de voix, voguant délicieusement sur une crête entre asri wahrani et raï, un tube dont il a fait cadeau à Khaled au tout début des années 1980 à la faveur de leur compagnonnage artistique.
La rencontre qui a regroupé l’APW et la société civile en fin de semaine écoulée a constitué une première en ce sens que ce type de rencontre avec le mouvement associatif s’effectuait jusque-là à l’initiative du chef de l’exécutif de wilaya ou de ses directeurs, ces deux instances disposant du pouvoir de décision en matière de développement local, l’objet de l’ordre du jour de la rencontre.
Si en 2022, la lutte contre le commerce illicite des stupéfiants en milieu urbain s’est conclue par 255 affaires, ce nombre s’est démultiplié en 2023 pour atteindre celui 774 affaires.
Menée tambour battant, censurant les soporifiques assertions qui meublent par l’autosatisfaction les rapports présentés, l’évaluation de la campagne labours-semailles a tranché cette année dans sa démarche. C’est qu’elle s’inscrivait dans le cadre des nouvelles prérogatives des walis.
« Goût de terroir » est à vrai dire inclassable comme texte. Il n’est ni une œuvre romanesque, ni un essai, mais relève plutôt du récit-témoignage teinté de nostalgie sur un temps qui fut, dans les alentours du milieu du 20ème siècle, celui des jeunes années de l’auteur, mais sans être autobiographique. Boualem Belhadri, son auteur, un ingénieur hydraulicien ayant également exercé en tant que collaborateur de plusieurs journaux, s’est mis à l’écriture longue, à l’heure de la retraite. Il en est à son troisième titre.
La wilaya de Aïn Témouchent s’apprête à dépasser la gestion de la saison estivale dont l’objectif se limite à contribuer au maintien de la paix sociale dans le pays. Ainsi, sur une zone de ses 120 km de littoral, celle de Rachgoun, elle vient d’initier une démarche pilote complémentairement à la mise en place récemment d’un EPIC pour assurer la préservation et la valorisation de Layella, l’île qui lui fait face.
Le Maroc a obtenu à sa demande l’inscription du melhoun, «élément de référence incontournable de l’identité culturelle marocaine ancienne», comme patrimoine immatériel de l’humanité auprès de l’Unesco, selon des sites d’information marocains.
Dans le détail, la régression des revenus se situe concomitamment à la baisse progressive du revenu de la Taxe sur l’activité professionnelle (TAP), une taxe supprimée dans la loi des finances 2024 afin, est-il escompté d’encourager l’investissement dans le pays.
Dans le cadre de la lutte contre les délits de cybercriminalité, la brigade spécialisée de la Police Judiciaire d’Aïn Témouchent a procédé à la surveillance de deux pages Facebook.
Le dragage du port de Béni Saf, entamé en septembre dernier, doit théoriquement s’achever en fin d’année, après l’extraction d’un volume de 270 000 m3 de sable. Interrogé, le directeur des travaux publics indique que les travaux ont actuellement atteint 70% de taux de réalisation alors que de nouvelles projections ont été arrêtées afin de pousser l’extraction du sable jusqu’à 310 000 m3.