Rachida Dati fait, surtout, partie de ce contingent politique qui a toujours œuvré à arrimer le président Emmanuel Macron au Makhzen. Sa visite résonne comme un acte qui vise à empêcher toute possibilité de retour en arrière dans la situation de crise que connaissent les relations bilatérales.
L’Algérie poursuit son offensive diplomatique en Afrique. Preuve en est la consécration de la diplomate algérienne Selma Malika Haddadi, élue, samedi, au poste de vice-présidence de la commission de l’Union africaine (UA).
Felix Colozzi, combattant pour l’indépendance de l’Algérie, s’est éteint le vendredi 14 février, en France, à l’âge de 95 ans, a rapporté, hier, la Revue de l’Association des amis de la révolution algérienne (AIARA).
Le fils de l’ancien président français Nicolas Sarkozy, Louis Sarkozy, se joint aux lobbies «algérophobes» qui, forcément, ne ratent aucune occasion pour s’attaquer à l’Algérie.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a ouvert, hier à Addis-Abeba (Ethiopie), la 34e session du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP), et ce, à la veille de la tenue du 38e sommet de l’Union africaine dans la capitale éthiopienne. Le président Tebboune a présidé ce sommet en sa qualité de président du Forum des chefs d’Etat et de gouvernement du MAEP.
Invité hier au forum d’El Moudjahid, le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs (UGTA), Amar Takjout, a réaffirmé que la question de l’augmentation du salaire national minimum garanti (SNMG) «figure dans l’agenda du président Tebboune». «Le principe est acquis.
Au 3e jour de sa visite officielle en République d’Inde, le général d’armée Saïd Chanegriha, ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a été reçu, vendredi, par le général d’armée Anil Chauhan, chef d’état-major de la Défense des forces armées indiennes, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
C’est au moment précisément où il y a eu la déclaration du président français sur le Sahara occidental que les choses ont commencé à se détériorer dans la relation entre les deux pays», a souligné, lundi, l’historien Benjamin Stora dans une interview accordée au site d’information TSA.
«Le climat est délétère, nous perdons du temps avec le président (Emmanuel) Macron. Nous avions beaucoup d’espoirs de dépasser le contentieux mémoriel», a déclaré le chef de l’Etat à l’Opinion.
Si la loi est votée, «ce sera au nom du peuple algérien, pas au nom d’un groupe parlementaire», a fait savoir le président de l’APN.
Dans l’entretien accordé à l’Opinion, le président Tebboune est revenu sur plusieurs sujets liés principalement aux relations algéro-françaises.
L’Algérie n’est pas citée dans ce rapport, sa dette extérieure est tout simplement insignifiante.
Selon la députée RN, la colonisation n’a pas été un «drame» pour l’Algérie, apportant ainsi une autre touche à la falsification de l’histoire à laquelle œuvrent les courants d’extrême droite et les nostalgiques de «l’Algérie française».
Sofiane Chaïb a affirmé «le rejet catégorique de l’Algérie de toute atteinte, de quelque manière que ce soit, à la dignité de ses citoyens, ou de les instrumentaliser à des fins de pression, de provocation ou de tentative d’intimidation à l’encontre de leur pays».
Dans les médias, on parle d’une nouvelle «guerre des visas» qui se profile à l’horizon, et ce, suite aux déclarations récentes et musclées émanant de responsables politiques français.
La circulaire adressée vendredi aux préfets français durcit les conditions de régularisation des sans-papiers par rapport à la précédente circulaire Valls.
«Le moment est venu de tourner la page», a affirmé Retailleau à l’Express, réitérant néanmoins son souhait de revoir les accords franco-algériens de 1968, qu’il estime «datés et déséquilibrés».
Dans sa diatribe clairement anti-algérienne, le ministre de l’Intérieur français, Bruno Retailleau, s’est appuyé sur deux faits essentiels : le refus d’Alger d’accueillir l’influenceur «Doualemn» et les poursuites engagées par la justice algérienne contre Sansal.
La facture d’importation des huiles de moteur a sensiblement baissé ces dernières années, «grâce aux nombreux investissements privés réalisés dans ce domaine», a affirmé, hier, le président du comité de direction de l’Autorité de régulation des hydrocarbures (ARH), Rachid Nadil.
Ressassant un discours qui n’est pas nouveau et qui s’inscrit dans une vision expansionniste de la monarchie marocaine, Benkirane se saisit d’une opportunité pour tenter de raviver des revendications expansionnistes, défendues dans les années 1950 par Allal El Fassi, du parti Istiqlal.