Le conflit israélo-palestinien se joue aussi sur les campus américains. Jusque-là appréciée à travers le seul prisme défini par les lobbys sionistes et leurs pendants propagandistes US, la perception de la question palestinienne dans les campus américains n’est désormais plus la même.
Un projet de texte sera débattu, réclamant la protection des civils, l’accès humanitaire, et la libération «immédiate et inconditionnelle» de tous les otages.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a présidé hier une réunion du Conseil des ministres consacrée à plusieurs projets et secteurs, a indiqué un communiqué de la présidence de la République.
La situation humanitaire dans la Bande de Ghaza est «apocalyptique», ont encore alerté hier bon nombre d’ONG. En l’espace de 24 heures, 71 morts et 160 blessés sont arrivés à l’hôpital Al Aqsa de la ville de Deir Al Balah, à la suite d’intenses bombardements sur le centre de Ghaza, a indiqué le ministère palestinien de la Santé. Il a publié un dernier bilan global faisant état de 17 700 morts et plus de 48 780 blessés, pour la plupart des femmes et des enfants, depuis le début de l’agression israélienne ciblant les populations civiles de Ghaza.
Les investissements publics consentis en faveur des wilayas affichant des retards en matière de développement, notamment en ce qui concerne les infrastructures de base, viennent, faut-il le souligner, en appui des programmes destinés précédemment aux zones dites d’ombre et aux autres plans de développement des régions frontalières.
«Ces bombardements et les pertes insensées de vies humaines doivent cesser maintenant (…)», insiste le responsable de l’OMS dans les Territoires palestiniens occupés, le Dr Richard Peeperkorn.
Au mois d’avril 2023, le taux de numérisation global des PDAU était loin de l’objectif final, car il était de l’ordre de 17,42%, soit 268 plans numérisés sur un total de 1538 plans à numériser, alors que celui des plans d’occupation des sols (POS) ne dépassait pas les 3,18%, soit 221 plans numérisés sur les 6944 existants.
Le président Tebboune a mis l’accent sur l’importance de réaliser «une ville minière» autour du gisement de Gara Djebilet.
Les habitants de Ghaza vivent une «catastrophe humanitaire monumentale», a dénoncé, hier, Antònio Guterres, secrétaire général de l’ONU.
«Les Saoudiens voulaient reconnaître Israël.» «Les Etats-Unis, qui ont été l’un des initiateurs de l’IMEC, l’ont poussé comme un moyen d’isoler la Chine et l’Iran et d’accélérer la normalisation des relations entre Israël et l’Arabie Saoudite.»
Le CPA et la BDL doivent «stimuler l’investissement et le marché de l’emploi», afin que ces banques servent de «modèles en matière de prestations de qualité supérieure et d’efficacité».
L’échange d’un second groupe de prisonniers n’a pas eu lieu hier comme prévu, au deuxième jour de la trêve conclu entre le mouvement Hamas et les autorités israéliennes. Les Brigades Al Qassam, branche armée du Hamas, ont indiqué en fin de journée avoir pris la décision de retarder la libération du deuxième groupe de prisonniers, et ce, jusqu’à ce qu’Israël «respecte l’accord» entré en vigueur la veille.
Malgré l’annonce d’un cessez-le-feu dans la nuit de mardi à hier, prenant effet à compter d’aujourd’hui, les bombardements de l’armée israélienne n’ont pas cessé pour autant sur la Bande de Ghaza.
Pour la seule journée d’hier, plus de 80 civils palestiniens ont été tués dans des bombardements de l’armée israélienne concentrés sur le nord de la Bande de Ghaza, a rapporté l’agence palestinienne Wafa.
Après les mises en garde de l’ONU sur le risque de famine pour les 2,4 millions de Ghazaouis, on craint désormais la survenance d’épidémies dans l’enclave palestinienne, où les raids israéliens se poursuivent sans interruption depuis le 7 octobre.
L’agression israélienne contre les populations civiles de Ghaza pourrait prendre fin dans moins de trois mois. Pas en raison des pressions internationales de plus en plus fortes exercées sur l’entité sioniste, mais par crainte d’un effondrement total de l’économie israélienne.
L’armée israélienne s’embourbe, de jour en jour dans la Bande de Ghaza, après avoir fait le choix de mener une offensive terrestre pour, dit-elle, «anéantir» le Hamas, et ce, après avoir bombardé intensivement des populations civiles meurtries.
L’armée israélienne a perpétré, hier, un nouveau massacre dans le camp de Jabaliya, le plus important camp de réfugiés de la Bande de Ghaza, faisant au moins 80 morts dans deux frappes distinctes, selon le mouvement Hamas. La première frappe a fait au moins 50 morts «à l’aube, sur l’école Al Fakhoura», où étaient installés des déplacés, a indiqué un responsable du mouvement palestinien.
La Cisjordanie, longtemps contrôlée par l’Autorité palestinienne dirigée par le Fatah, finira-t-elle par basculer et à rallier les combattants du Hamas ? Car les crimes horribles que continue de commettre l’occupant israélien à Ghaza, additionnés à la «libération» de la violence des colons depuis octobre dernier, massivement et lourdement armés par le Cabinet de guerre conduit par Netanyahu, pousse inexorablement cette partie des Territoires occupés à l’affrontement armée.
Le personnel médical de l’hôpital Al Shifa a sorti, hier, pelles et pioches pour enfouir sous terre ses morts, dans des fosses communes, car se trouvant dans l’incapacité de les inhumer à l’extérieur dans les cimetières, eux-même pilonnés, de la Bande de Ghaza.