De plus en plus d’entreprises sont sensibles à la cause environnementale et au développement durable. Conscientes qu’elles ont un rôle à jouer en tant qu’acteurs, elles se sont engagées à limiter au maximum les impacts sur la nature à travers plusieurs axes majeurs. Parmi les initiatives, figure la collecte des emballages des produits afin qu’ils ne finissent pas comme des déchets sauvages ou dans les mers.
Depuis la propagation de la Covid-19, partir en voyage est devenu compliqué. Les mesures adoptées visent la lutte contre la propagation du virus en Algérie comme à l’étranger. Chaque pays instaure ainsi de nouvelles règles d’entrée et de sortie de ses frontières et notre pays n’échappe pas à la règle.
L’Union nationale des Ordres des avocats (UNOA) avait précédemment décidé, en fin de semaine dernière, d’engager une grève illimitée lors de l’assemblée générale extraordinaire tenue le 8 janvier à Constantine.
La pandémie de coronavirus a démontré la nécessité de percevoir la numérisation comme une stratégie capable d’améliorer la flexibilité économique, la préservation de l’emploi et d’affronter les crises.
Dans tout projet, quelles que soient sa taille, sa nature ou son envergure, il est important de se poser trois questions fondamentales : pourquoi, quoi et comment. Pour ce qui est du projet de transformation digitale de l’Algérie, nous nous sommes bien posé la question du pourquoi : pourquoi aller vers le numérique ?
Outre sa croissance continue, la population algérienne subit une transformation rapide en termes de structure par âge. Il faut savoir que pendant les années 1970 et 1980, la natalité était de 7 enfants/femme, en 2000, elle a chuté à 2 enfants/femme pour se stabiliser en 2017 à 3 enfants/femme.
Air Algérie manque actuellement de liquidités financières en raison de la crise de la Covid-19 qui a considérablement réduit son activité malgré la reprise des vols internationaux vers certaines destinations. Elle reste néanmoins loin du rythme avec lequel elle fonctionnait avant la propagation de la pandémie.
La maîtrise de la cybersécurité est un des enjeux majeurs pour les utilisateurs d’objets connectés, pour les entreprises comme pour les Etats. Source d’enjeux économiques, politiques et géopolitiques, elle ne cesse de se développer dans un monde numérique de plus en plus étendu. En 2020, le président de la République a signé un décret portant sur la mise en place d’une stratégie de cybersécurité, avec la création d’un conseil et d’une agence de cybersécurité. Mais jusqu’à présent, peu d’actions concrètes ont été mises en place.
L’utilisation abusive des écrans dans notre quotidien peut s’avérer néfaste sur notre santé, tels que l’apparition de troubles de la vision (myopie, perte de la vision de loin…). La durée d’exposition aux écrans ne cesse d’augmenter.
L’Algérie, à l’instar des autres pays, connaît une récurrence de certaines maladies, dont celles qui représentent un problème de santé publique. En pole position, on retrouve la cataracte, qui est considérée comme la première cause de cécité évitable dans le monde et dans notre pays puisqu’elle représente la chirurgie la plus pratiquée dans le monde toutes spécialités confondues.
Internet est devenu une nécessité de la vie au vu de la dépendance à laquelle sont soumis de nombreux services administratifs, économiques, culturels et de divertissement, et l’Algérie n’échappe pas au mouvement mondial pour adopter cette technologie révolutionnaire qui a fait du monde un petit village.
Tourisme et voyages, magazine mensuel spécialisé dans le tourisme et l’artisanat, vient de faire paraître son 12e numéro (octobre 2020) en mettant en exergue la magie du Grand Sud, particulièrement Adrar.