Le Premier ministre, Aïmene Ben-abderrahmane, a réitéré, lors de la dernière réunion du gouvernement, son appel aux opérateurs de la téléphonie mobile (Mobilis, Djezzy et Ooredoo) au respect de leurs engagements vis-à-vis de leurs clients, «particulièrement en matière de qualité de prestations et d'amélioration de la couverture, tant au niveau des villes que dans les localités éloignées», selon un communiqué des services du Premier ministre.
Si des raisons objectives justifient certaines hausses, notamment celles des produits dépendant des prix des matières premières sur les marchés internationaux, certaines envolées des prix obéissent plutôt à de la pure spéculation et à l’absence de régulation du marché commercial.
Consolidant son engagement sur la voie de la parité des genres au travail, Schlumberger célébrera la Journée internationale des femmes en génie, le 23 juin, journée dédiée aux femmes ingénieures, en sensibilisant l’ensemble de la société sur le rôle important que jouent ces dernières dans l’essor des compagnies dans lesquelles elles travaillent et des sociétés dans lesquelles elles évoluent.
La principale remarque dans ce programme est le renforcement des lignes stratégiques à forte rentabilité vers la France où la demande est trop forte.
Un programme supplémentaire pour les vols internationaux, qui devait entrer en vigueur à partir du 27 mars 2022, a été annoncé avant d’être aussitôt supprimé de la page Facebook du ministère des Transports sans la moindre explication.
Le Groupe Algérie Télécom (GTA) a lancé hier à Alger son club de presse. Dans une allocution d’ouverture, Khaled Zarat, président-directeur général du GTA, a considéré les médias, tous supports confondus (presse, audiovisuel, médias électroniques), comme «de véritables partenaires qui accompagnent le groupe et contribuent à son développement.
Les Algériens s’apprêtent à vivre un Ramadhan exceptionnel, qui sera à coup sûr dominé par l’austérité. Plus question de dépenser sans compter. En effet et pour ne pas déroger à la règle, les prix flambent.
A la lecture de la situation actuelle et après plusieurs années de déséquilibre structurel du modèle économique, le front social se retrouve en face d’une réalité peu confortable et pour laquelle il ne s’est pas habitué du fait d’une certaine aisance éphémère résultante d’une économie rentière qui est arrivée à sa limite. A la lecture de la situation actuelle et après plusieurs années de déséquilibre structurel du modèle économique, le front social se retrouve en face d’une réalité peu confortable et pour laquelle il ne s’est pas habitué du fait d’une certaine aisance éphémère résultante d’une économie rentière qui est arrivée à sa limite. De ce fait, nous assistons à une reconfiguration de l’organisation des couches (catégories) sociales selon la situation financière plus ou moins tendue et pouvant être préjudiciable à certaines franges de la société. La détérioration du pouvoir d’achat se fait sentir de plus en plus, et ce, malgré les mesures prises par les pouvoirs publics pour l’atténuer à travers la suppression de l’IRG pour les bas salaires ainsi que la prochaine révision du point indiciaire pour les employés de la Fonction publique.
Le Salon international des équipements et services pour hôtels & restauration (Siaha), qui s’est déroulé du 13 au 16 mars 2022 au Centre des conventions d’Oran, a permis de mieux comprendre les tendances actuelles et décrypter la conjoncture, où malheureusement domine l’absence de visibilité.
La pandémie de la Covid-19 a largement impacté votre activité hôtelière. Comment avez-vous vécu cette période éprouvante ? On a vécu les deux précédentes années de la pandémie de Covid-19 difficilement, la situation était très compliquée. En 2020, on a fermé pendant 3 mois car on n’avait quasiment que 2 à 3 clients et ce n’était pas rentable de garder un hôtel ouvert, on a des charges énormes, c’était une décision mûrement réfléchie. On a préféré fermé l’hôtel en attendant une reprise adéquate, ça n’a pas été le cas après la réouverture au mois d’août, on était dans l’obligation de réduire le staff, revoir les salaires, les contrats et les charges fixes. Mais durant l’année 2021, on a senti une certaine reprise timide. On préfère de loin le dernier trimestre 2021 (octobre, novembre et décembre) au premier trimestre 2022 où on a senti une relative reprise économique. Notre secteur est très sensible, il dépend des autres secteurs. On dépend de l’économie du pays, de l’ouverture des frontières et des transports.
La 14e édition des Journées internationales de marketing touristique, organisée à Alger sous le parrainage du ministre du Tourisme et de l’Artisanat, ayant pour thème «Enjeu et défis de la destination Algérie dans la compétition mondiale», a suscité de vives débats.
La 14e édition des Journées internationales de marketing touristique se déroulera aujourd’hui et demain à Alger avec pour thème «Enjeux et défis de la destination Algérie».
Quelles sont les grandes tendances du marketing touristique dans le monde ? Le tourisme international est encore convalescent. Si des aires géographiques lèvent de plus en plus leurs restrictions, d’autres zones, émettrices ou réceptrices nettes de flux touristiques, hésitent encore à s’ouvrir au monde dans un souci de protection de leur population. La tendance sanitaire demeure prégnante et s’impose donc aux professionnels, tant pour les clientèles loisirs que professionnelles, ces dernières sont loin d’avoir renoué avec leurs habitudes d’avant Covid, vraisemblablement pour longtemps, les visioconférences, le télétravail, ont transformé durablement ce secteur. A l’inverse, la recherche d’une convivialité plus authentique, tendance préexistante à la pandémie, apparaît s’imposer, dans l’esprit de ralentir son rythme d’une vie trépidante, d’une conscience de l’empreinte écologique et sociale du tourisme.
Selon un exposé présenté à la commission des transports et des télécommunications de l’Assemblée populaire nationale (APN) par une cadre de la compagnie aérienne Air Algérie, la situation financière est «en chute libre», expliquant que la compagnie a subi une multitude de facteurs fragilisant sa santé financière, à l’instar des dettes courantes, des dépenses incompressibles cumulées au titre des années 2020 et 2021 (maintenance, redevances de stationnement, salaires, kérosène), des reliquats de compensation, des créances sur les organismes d’Etat et un déficit exceptionnel lié à la crise sanitaire.
De plus en plus de pays ont décidé la réouverture totale des frontières pour permettre de voyager sans restriction. Cette décision a été prise après avoir constaté un net recul du nombre des cas Covid-19 et ayant pris conscience que le transport aérien sera un élément vital de la reprise économique mondiale après la crise sanitaire.
Dans le cadre du renforcement du travail consultatif et participatif et la promotion de l’activité touristique, une séance de travail a réuni, hier à Alger, Yacine Hamadi, ministre du Tourisme et de l’Artisanat, et Aïssa Bekkaï, ministre des Transports, avec les différents partenaires sociaux affiliés au secteur du tourisme et de l’artisanat.
Lors du premier vol de rapatriement des ressortissants algériens, 76 Algériens résidant en Ukraine sont arrivés jeudi soir à Alger en provenance de Bucarest (Roumanie), tandis que 4 autres vols sont prévus dans les prochains jours.
L’année 2022 sera celle du décollage économique en Algérie. C’est du moins l’objectif affiché au plus haut sommet de l’Etat. Dans ce contexte et pour aller dans cette direction, une nouvelle organisation syndicale patronale a été créée. Elle aura comme priorité de rétablir le lien de confiance entre les entreprises, les investisseurs et les pouvoirs publics, susciter la concertation sur les réformes à mener avant l’élaboration des textes d’application, et lutter contre la paralysie de l’administration et sa résistance au changement. Dans cet entretien, Kamel Moula, président du Conseil du renouveau économique algérien (Crea), nous donne son éclairage.
Les Algériens consomment plus de 40 millions de baguettes par jour, selon les derniers chiffres du ministère du Commerce.
Le groupe AZ Hôtels a lancé, ce samedi 26 février à Oran, les opérations de location des locaux du centre commercial et de loisirs Grand Oran. Tenant compte des normes internationales dans sa conception, ce pôle commercial et de loisirs s’étend sur une superficie de 33 000 m2, regroupant 180 boutiques.