L'Iran a récemment demandé l'instauration d'un embargo sur les armes à destination d'Israël et a exigé son exclusion des Nations Unies, en réaction à une frappe israélienne survenue près de Damas, en Syrie.
La prestation des musiciens a été particulièrement appréciée, et c’est un véritable voyage dans l’espace et dans le temps qui a été proposé par cet ensemble dirigé par le chef d’orchestre Missak Baghboudarian, Syrien d’origine arménienne et formé de neuf instrumentistes, une contrebassiste, un violoncelliste et des violonistes, dont une femme, premier violon, saluée par le chef comme il est d’usage lorsqu’il a fait son entrée.
Des frappes aériennes nocturnes ont ciblé des positions de groupes armés pro-iraniens dans l'est de la Syrie, provoquant la mort d'au moins neuf combattants et en blessant plus de 20 autres, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
Au moins 11 ramasseurs de truffes ont été tués dans une attaque attribuée au groupe État islamique (EI) dans le désert syrien, anciennement un bastion de cette organisation extrémiste.
Israël a effectué, hier, des frappes aériennes en Syrie près de la capitale Damas, a annoncé un média d’Etat citant une source militaire, dans un contexte de tensions régionales en pleine guerre dans la Bande de Ghaza, rapporte l’AFP.
«Dix combattants pro-Iran, dont trois Syriens, ont été tués et plus de 30 blessés» dans au moins neuf frappes aériennes «probablement américaines» ayant visé des positions militaires à Boukamal et ses environs, dans la province frontalière de Deir Ezzor, a annoncé l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
Six civils ont été tués hier dans des frappes turques dans le nord-est de la Syrie sous contrôle des Kurdes, ont rapporté une ONG et un média kurde, relayé par l’AFP.
Une femme de 32 ans, qui avait suivi son mari dans les rangs de l'organisation État islamique en Syrie, où elle a passé quatre ans, a été condamnée mercredi 29 novembre à Paris à deux ans de prison ferme, une peine couverte par la durée de sa détention provisoire.
Le public du 12e Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB) a suivi, vendredi 20 octobre au soir, au Théâtre régional Abdelmalek Bouguermouh, cette pièce syrienne jusqu’au bout. Avec un thème accrocheur, le spectacle, qui a duré près de deux heures, n’a, à aucun moment, perdu de rythme.
L'envoyé spécial de l'ONU pour la Syrie a émis un appel pressant le jeudi 5 octobre en faveur d'une « désescalade immédiate » de la violence en Syrie, suite à l'attaque perpétrée contre une académie militaire à Homs qui a entraîné la perte de plus de 110 vies.
L’écrivain et scénariste syrien Khaled Khalifa, auteur de plusieurs romans l’ayant placé parmi les auteurs contemporains les plus reconnus de son pays, est décédé samedi soir à Damas d’une crise cardiaque à 59 ans, a-t-on appris d’une source proche de sa famille.
Une explosion a éclaté aujourd'hui dans un dépôt de munitions situé au nord-est de la capitale syrienne, Damas, entraînant des pertes humaines, selon une ONG.
Dans les premières heures du dimanche 13 août, d'énormes explosions ont retenti en Syrie dans des dépôts de missiles appartenant à des milices pro-iraniennes situées à proximité de Damas, provoquant des dégâts matériels, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Les habitants de Damas et des environs ont été témoins de ces "violentes explosions", issues des entrepôts des milices alliées au régime syrien, situés dans une zone montagneuse à l'est de la capitale. Bien que la cause précise de ces explosions ne soit pas encore claire, Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH basé au Royaume-Uni et disposant d'un réseau étendu de sources en Syrie, a déclaré à l'AFP : "On ne sait pas s'il s'agit d'une frappe aérienne ou d'une opération terrestre". Pendant ce temps, l'agence officielle Sana avait rapporté pendant la nuit "des bruits d'explosions" dans la périphérie de Damas, sans spécifier la cause. La semaine précédente, des frappes israéliennes sur des positions militaires et des entrepôts d'armes en périphérie de Damas avaient entraîné la mort de quatre militaires syriens et de deux combattants pro-iraniens, selon les rapports de l'OSDH. Ces raids avaient également causé des blessures à deux soldats syriens et cinq combattants étrangers, détruisant des entrepôts d'armes et de munitions appartenant aux milices pro-iraniennes, alliées au régime syrien, notamment près de l'aéroport international de Damas. Israël commente rarement de telles frappes, mais il affirme sa volonté d'empêcher l'Iran de s'établir à ses frontières. Le 19 juillet, des frappes israéliennes nocturnes avaient également ciblé des positions de l'armée et des groupes pro-iraniens près de Damas, causant la mort de trois combattants pro-régime et blessant quatre autres, selon l'OSDH. Israël avait également pris pour cible une base de défense aérienne dans la province côtière de Tartous, selon les mêmes sources. Depuis le début de la guerre en Syrie en 2011, Israël a mené de nombreuses frappes aériennes contre les positions du régime syrien, ainsi que contre les forces iraniennes et les groupes affiliés au Hezbollah, une milice libanaise pro-iranienne, qui sont alliées avec Damas et sont des ennemis avoués d'Israël.
Un groupe terroriste de l'État islamique a mené une attaque contre un car transportant des soldats syriens dans l'est du pays, entraînant la mort d'au moins 23 militaires, selon un rapport de vendredi provenant d'une ONG.
Lors d'une opération antidrogue menée par l'armée syrienne, un journaliste accompagnant les troupes a trouvé la mort le mercredi 9 août, aux côtés de deux soldats, suite à l'explosion d'une bombe placée au bord d'une route dans le sud de la Syrie, d'après un média d'État.
Le gouvernement syrien a pris la décision rare de retirer l'accréditation de la BBC, l'accusant de diffuser des informations et des reportages partisans.
Israël a mené des frappes aériennes en Syrie près de la ville de Homs, sous contrôle des forces du gouvernement, ont rapporté dimanche les médias d'État syriens, et l'armée israélienne a indiqué plus tard qu'elle avait répondu à des tirs de roquettes.
Pour la première fois depuis treize ans, le président syrien Bachar el-Assad participera vendredi 19 mai en Arabie saoudite à son premier sommet de la Ligue arabe. Il signe ainsi son retour sur la scène arabe après un long isolement dû à la guerre dans son pays.
Le roi d’Arabie Saoudite, Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud, a officiellement invité le président syrien, Bachar Al Assad, à participer à la 32e session du Conseil de la Ligue arabe, qui se tiendra le 19 mai à Djeddah.
Le président syrien Bachar Al-Assad a été invité hier par l’Arabie Saoudite au prochain sommet arabe, prévu le 19 mai dans le royaume, rapporte l’AFP.