Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, a affirmé, lundi soir, que l’ordre du jour que les ministres ont convenu de soumettre aux dirigeants arabes lors du 31e Sommet à Alger, revêt «un niveau élevé de pertinence».
En plaçant la barre très haut, en battant le rappel des institutions, à l’échelle internationale, continentale et régionale : l’Organisation des Nations unies, l’Union africaine (UA), le Mouvement des non-alignés, l’Organisation de la Conférence islamique – représentées au plus haut niveau, respectivement par Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, Macky Fall, président du Sénégal et président en exercice de l’UA, Ilham Aliyev, le secrétaire général du Mouvement des non-alignés, Hissein Brahim Taha, secrétaire général de l’OCI, qui ont répondu présents à l’invitation de l’Algérie pour prendre part en qualité d’invités d’honneur au 31e Sommet de la Ligue des Etats arabes –, l’Algérie s’est taillée une cuirasse à toute épreuve.
C'est dans la soirée d'hier, mardi 1er novembre, dans le somptueux Centre international des conférences Abdelatif Rahal que le 31e Sommet arabe, réuni sous l'égide de la Ligue arabe, organisé et présidé par l'Algérie, s'est ouvert en présence de nombreux chefs d'Etat et souverains arabes, des personnalités de haut rang.
Les principales décision du dernier conseil des ministres présidé par le président de la République Abdelmadjid Tebboune
Qui aurait parié le moindre réal brésilien, et imaginé, il ya quelques mois, que Lula, condamné à une peine de 12 ans de prison pour corruption, réussirait cet extraordinaire retour, en renvoyant dimanche, au second tour de la présidentielle, Jair Bolsareno, le président conservateur sortant, qui lui souhaitait, « de pourrir, le reste de sa vie dans une cellule? »
La formation dirigée par Louisa Hanoune estime que ce code «va livrer le pays au pillage étranger au profit des multinationales, alors que ces dernières ne cherchent que de nouveaux marchés pour leurs marchandises frappées par l’inflation, la récession et la saturation du marché mondial».
Le leader de Jil Jadid, Soufiane Djilali, a dévoilé, lors du congrès de son parti, les prémices d’une initiative politique pour la construction d’«une Algérie forte et solidaire».
Le président de transition malien, le colonel Assimi Goïta, a promulgué vendredi la loi électorale adoptée il y a une semaine par l’organe législatif, une condition à l’organisation d’élections et à un retour des civils au pouvoir, selon un décret présidentiel rendu public.
Youcef Aouchiche, premier secrétaire national du FFS, a saisi l’occasion de sa présence à la rencontre fédérale du parti pour l’installation de la commission administrative de la fédération de Béjaïa (CAF), pour répondre aux reproches de certaines voix discordantes, sans les nommer.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le premier secrétaire du FFS, Youcef Aouchiche, revient sur la dernière rencontre avec le président Tebboune. «Pour nous, le dialogue n’est pas une option de circonstance, mais une constante politique du parti qui, pour nous, est la seule démarche en mesure d’apporter des solutions concrètes et consensuelles à la crise structurelle et multidimensionnelle qui touche notre pays. Ce dialogue est devenu impératif pour faire face aux défis actuels et futurs, internes et externes et préserver la stabilité, l’unité et la souveraineté nationales», résume-t-il. Et d’insister : «Le FFS a toujours considéré que la libération des détenus d’opinion, et au-delà la fin de la judiciarisation de la vie publique, l’ouverture des champs politique et médiatique étaient indispensables pour créer un climat favorable à un dialogue inclusif.»
Le FFS a toujours fait du dialogue constructif son principe fondamental. Ce sont les pouvoirs publics qui refusent le dialogue et c’est dans cette perspective que nous avons répondu favorablement à l’invitation du président de la République», a assuré d’emblée Youcef Aouchiche, premier secrétaire du Front des forces socialistes (FFS), lors d’une conférence de presse animée hier au siège national du parti à Alger.
L'ancien député de Bejaia, Atmane Mazouz est le nouveau président du RCD. Il a été élu, tard dans la nuit de vendredi, à la majorité des voix des congressistes.
Le gouvernement libyen désigné par le Parlement a annoncé mardi 17 mai qu'il se retirait de la capitale, siège du pouvoir exécutif rival, quelques heures après son entrée à Tripoli qui a provoqué des combats.
Oui, il y a du nouveau dans la Nouvelle Algérie, «l’instauration de la culture de la concertation et du dialogue entre l’Exécutif, les syndicats, la société civile et les personnalités indépendantes», selon les termes utilisés par Soufiane Djilali
Les médias viennent de faire part de la volonté du président Abdelmadjid Tebboune de proposer une action politique inscrite dans un esprit de rassemblement national pour répondre à une pressante demande interne et aux nouvelles exigences de la conjoncture internationale.
Le secrétaire général de Jil jadid, Soufiane Djilali, a été très critique à l’adresse du gouvernement qui, dit-il, est «déconnecté de l’opinion publique».
Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, exhorte «les acteurs de la société à adhérer à la démarche de rassemblement prônée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, pour asseoir les bases et dessiner les contours de l’Algérie nouvelle».
Le Front des forces socialistes (FFS) s’est élevé, dans un communiqué publié à l’occasion du double anniversaire du Printemps amazigh et du Printemps noir, contre ce qu’il considère comme une «fermeture sans précédent du champ des libertés individuelles et collectives» ainsi que des tentatives qui viseraient à «attiser la discorde», pointant du doigt des «manœuvres sournoises pour semer la haine et la division dans les rangs d'un même peuple».
L’attitude du ministère de l’Intérieur suscite déjà des craintes et la colère chez les partis de l’opposition et des mouvements citoyens qui dénoncent «une énième attaque contre le multipartisme» et «une remise en cause de la liberté de réunion».
Le Front des forces socialistes (FFS) a appelé à une «plus grande vigilance» dans ce contexte particulier que traverse le pays, marqué par des «manœuvres sournoises» visant à semer la haine et la division entre les enfants du peuple.