CARE revient sur l’objectif du gouvernement d’atteindre 30 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures d’ici 2030.
Une frappe à Ghaza-ville a tué cinq autres personnes, alors que des civils demeurent encore ensevelis sous les décombres.
Alors que le bilan de la guerre contre Ghaza a franchi, hier, la barre symbolique des 35 000 morts, les négociations reviennent à la case départ. Pourtant, les pourparlers semblaient avoir franchi un cap encourageant, après l’annonce par le Hamas, le lundi 6 mai, de son adhésion à une proposition de cessez-le-feu présentée par l’Egypte et le Qatar.
Lundi, le mouvement Hamas a répondu favorablement à la proposition de cessez-le-feu présentée par le Qatar et l’Egypte. Israël n’a pas tardé à exprimer son rejet de cette offre de paix, et le cabinet de guerre de Netanyahu a approuvé à l’unanimité la poursuite de l’offensive sur Rafah. Toutefois, une délégation israélienne s’est rendue hier au Caire pour poursuivre les discussions autour d’une trêve.
Les pays médiateurs ont rencontré une délégation du Hamas pour approfondir les discussions autour d’un accord de trêve. Le mouvement dirigé par Ismaïl Haniyeh continue d’exiger un cessez-le-feu permanent et un retrait de l’armée israélienne de Ghaza, tandis que Netanyahu ne voit dans les négociations qu’un moyen de libérer les otages. Le bourreau de Ghaza n’entend pas mettre un terme au supplice des Palestiniens avant d’avoir lancé sa grande opération sur Rafah.
Washington pense qu’un accord arraché aujourd’hui est susceptible de calmer significativement le front houthi et limiter ses effets en mer Rouge, désamorcer l’engrenage d’une confrontation ouverte au Sud Liban avec le Hezbollah et enlèverait à Benyamin Netanyahu tout prétexte de maintenir l’option d’une offensive militaire à Rafah.
Les négociations visant à faire cesser les hostilités dans la bande de Gaza «piétinent», a reconnu hier le Premier ministre du Qatar, un des médiateurs entre Israël et le Hamas palestinien. «Nous passons par une phase sensible avec quelques piétinements et nous tentons, autant que possible, de la dépasser (...) de manière à mettre fin à la souffrance de la population à Ghaza et à obtenir la libération des otages» israéliens, a déclaré Mohammed ben Abderrahmane Al Thani, lors d’une conférence de presse.
Le groupe d’énergie émirati Abu Dhabi National Energy Company (TAQA) a confirmé, hier, être en discussion avec les trois principaux actionnaires de Naturgy pour le rachat de plus de 40% des actions, ce qui ouvre la voie à une éventuelle offre publique d’achat totale du groupe énergétique espagnol, dont Sonatrach détient 4,1% des parts.
L’ambassadrice des Etats-Unis auprès de l’ONU s’est rendue hier à la frontière intercoréenne hautement sécurisée, exhortant Pyongyang à «s’asseoir à la table des négociations».
Joe Biden et son administration prennent tout leur temps s’agissant du projet de cessez-le-feu à Ghaza, et devant transiter par une trêve, alors que la situation sur le terrain ne cesse de dépasser les limites de l’horreur, de l’inhumain et de l’insupportable pour près de 2 millions de Ghazaouis.
Le déluge de feu qui s’est abattu dans la nuit de mardi à mercredi sur les villes déjà exsangues de Khan Younès et de Deir Al Balah a encore semé le chaos.
Alors que les discussions autour d’une trêve amorcées par la réunion de Paris puis poursuivies au Caire n’ont rien donné, l’entité sioniste a menacé de lancer une vaste offensive sur Rafah, si les otages détenus à Ghaza ne sont pas libérés d’ici au début du Ramadhan.
L’Egypte et le Qatar parrainent «un nouveau cycle de négociations» qui débutera aujourd’hui au Caire et vise à obtenir «le calme dans la Bande de Ghaza» ainsi qu’un échange de prisonniers palestiniens et d’otages israéliens, a annoncé, hier, un responsable égyptien à l’AFP.
L’alliance Opep+ a décidé de reporter sa réunion, initialement prévue le 26 novembre à Vienne, en Autriche, au jeudi 30 novembre en mode virtuel.
Après plusieurs jours de négociations, le Hamas palestinien a annoncé, tôt dans la matinée d’hier, un accord avec les autorités d’occupation pour un cessez-le-feu et une trêve humanitaire de 4 jours, durant lesquels 150 détenus palestiniens et 50 otages seront libérés.
Les négociations entamées entre Israël et le Hamas par le biais du Qatar affichaient hier des signes prometteurs d’un accord imminent, selon le Qatar. Menés par le Qatar, l’Egypte et les Etats-Unis, ces pourparlers visent à instaurer une trêve (de cinq jours) renouvelable dans la guerre à Ghaza.
Les pourparlers internationaux visant à contrer la prolifération des déchets plastiques ont pris fin au Kenya dimanche, marqués par des désaccords sur l'envergure du traité et la frustration des organisations non gouvernementales (ONG) environnementales face à l'absence de progrès concrets.
Le Qatar mène une médiation pour une trêve humanitaire de trois jours dans la guerre d'Israël contre dans la Palestine en échange de la libération de 12 otages dont six Américains, a indiqué hier une source proche du mouvement Hamas. «Les discussions portent sur la libération de 12 otages, pour moitié des Américains, contre une trêve de trois jours pour permettre au Hamas de libérer ces otages», a indiqué la source sous le couvert de l'anonymat.
De retour à la table des négociations en Arabie Saoudite, les généraux soudanais en guerre tentent surtout de gagner des points sur le terrain militaire, en concentrant leurs efforts sur Nyala, la deuxième ville du pays, au cœur du Darfour, selon l’AFP.
Les acteurs grévistes et les patrons des studios d’Hollywood ont interrompu leurs négociations mercredi, ont annoncé les deux camps, compromettant les espoirs d’une reprise rapide de la production de films et de séries, après de longs mois de grève.