L’Iran a rejeté hier tout dialogue direct avec les Etats-Unis estimant que cela «n’aurait aucun sens», au moment où le président américain Donald Trump suggère des pourparlers sans intermédiaire et menace de bombarder le pays en cas d’échec de la diplomatie, selon l’AFP.
Les Etats-Unis n’ont plus de relations diplomatiques avec l’Iran depuis 1980. Les deux pays n’ont que des échanges indirects par le biais de l’ambassade de Suisse à Téhéran.
Le ministère de l’Education nationale a lancé jeudi un appel à la reprise des discussions avec les syndicats agréés du secteur, annonçant un calendrier de réunions qui débuteront le mardi 8 avril 2025.
Le Kremlin a estimé hier que les discussions visant à parvenir à une fin de conflit en Ukraine n'en étaient qu'à leur «début» et s'annonçaient «difficiles», à la veille de pourparlers en Arabie Saoudite avec les Américains.
Les premiers contacts secrets entre les représentants du FLN (Front de libération nationale) et ceux du gouvernement français remontent à avril 1956, avec des émissaires pour rencontrer Abane Ramdane, à Alger, et Khider Mohamed, au Caire.
Arraché par les pays médiateurs – Qatar, Egypte, Etats-Unis –, l’accord de trêve est entré en vigueur le 19 janvier, après 15 mois d’agression sioniste. Une première phase de cet accord a expiré le 1er mars et depuis les deux camps ne sont pas parvenus à s’entendre sur la suite de la trêve.
L'établissement de rapports interétatiques entre l'Algérie et la France est le principal but de guerre du FLN. Dès le 1er Novembre 1954, sa proclamation dite «Proclamation de Novembre» définissait en formulant ses conditions de paix :
l Les négociations directes et inédites entre les Etats-Unis et le Hamas, à Doha, pour la libération d’otages américains et un accord plus large qui aboutirait à la fin de guerre à Ghaza, inquiètent le Premier ministre israélien, dont les réactions irritent les conseillers du président Donald Trump. l Baisse de confiance et tension dans les relations entre Netanyahu et les conseillers de Donald Trump, alors que les pourparlers pour un cessez-le feu sont à l’arrêt depuis une semaine. Pendant ce temps, la population subit un blocus israélien sur la nourriture.
Les discussions porteront notamment sur «la prévention d’un retour à la guerre, le retrait militaire» israélien de Ghaza et «les critères» des échanges entre les derniers otages israéliens et les prisonniers palestiniens, a déclaré l’un d’eux.
En contrepartie de trois otages israéliens relâchés par le Hamas, 182 prisonniers palestiniens ont été libérés hier, par Israël, et pour la majorité, c’était la première fois qu’ils voient le ciel depuis plus de 20 ans. Parmi eux, 150 ont été expulsés vers Ghaza et 32 transférés à Ramallah, en Cisjordanie occupée. Le poste-frontière de Rafah, reliant Ghaza à l’Egypte, a été ouvert, pour la première fois depuis la guerre, pour permettre aux malades et blessés palestiniens de se faire soigner à l’étranger.
CARE revient sur l’objectif du gouvernement d’atteindre 30 milliards de dollars d’exportations hors hydrocarbures d’ici 2030.
Une frappe à Ghaza-ville a tué cinq autres personnes, alors que des civils demeurent encore ensevelis sous les décombres.
Alors que le bilan de la guerre contre Ghaza a franchi, hier, la barre symbolique des 35 000 morts, les négociations reviennent à la case départ. Pourtant, les pourparlers semblaient avoir franchi un cap encourageant, après l’annonce par le Hamas, le lundi 6 mai, de son adhésion à une proposition de cessez-le-feu présentée par l’Egypte et le Qatar.
Lundi, le mouvement Hamas a répondu favorablement à la proposition de cessez-le-feu présentée par le Qatar et l’Egypte. Israël n’a pas tardé à exprimer son rejet de cette offre de paix, et le cabinet de guerre de Netanyahu a approuvé à l’unanimité la poursuite de l’offensive sur Rafah. Toutefois, une délégation israélienne s’est rendue hier au Caire pour poursuivre les discussions autour d’une trêve.
Les pays médiateurs ont rencontré une délégation du Hamas pour approfondir les discussions autour d’un accord de trêve. Le mouvement dirigé par Ismaïl Haniyeh continue d’exiger un cessez-le-feu permanent et un retrait de l’armée israélienne de Ghaza, tandis que Netanyahu ne voit dans les négociations qu’un moyen de libérer les otages. Le bourreau de Ghaza n’entend pas mettre un terme au supplice des Palestiniens avant d’avoir lancé sa grande opération sur Rafah.
Washington pense qu’un accord arraché aujourd’hui est susceptible de calmer significativement le front houthi et limiter ses effets en mer Rouge, désamorcer l’engrenage d’une confrontation ouverte au Sud Liban avec le Hezbollah et enlèverait à Benyamin Netanyahu tout prétexte de maintenir l’option d’une offensive militaire à Rafah.
Les négociations visant à faire cesser les hostilités dans la bande de Gaza «piétinent», a reconnu hier le Premier ministre du Qatar, un des médiateurs entre Israël et le Hamas palestinien. «Nous passons par une phase sensible avec quelques piétinements et nous tentons, autant que possible, de la dépasser (...) de manière à mettre fin à la souffrance de la population à Ghaza et à obtenir la libération des otages» israéliens, a déclaré Mohammed ben Abderrahmane Al Thani, lors d’une conférence de presse.
Le groupe d’énergie émirati Abu Dhabi National Energy Company (TAQA) a confirmé, hier, être en discussion avec les trois principaux actionnaires de Naturgy pour le rachat de plus de 40% des actions, ce qui ouvre la voie à une éventuelle offre publique d’achat totale du groupe énergétique espagnol, dont Sonatrach détient 4,1% des parts.
L’ambassadrice des Etats-Unis auprès de l’ONU s’est rendue hier à la frontière intercoréenne hautement sécurisée, exhortant Pyongyang à «s’asseoir à la table des négociations».
Joe Biden et son administration prennent tout leur temps s’agissant du projet de cessez-le-feu à Ghaza, et devant transiter par une trêve, alors que la situation sur le terrain ne cesse de dépasser les limites de l’horreur, de l’inhumain et de l’insupportable pour près de 2 millions de Ghazaouis.