Paris a toujours été l’une des destinations privilégiées de la nomenklatura algérienne pour y «planquer» son argent et pour acheter des appartements de luxe dans le «16e» et autres biens immobiliers ayant pignon sur rue à Paname. Et dans le cadre des efforts déployés pour la récupération des biens mal acquis détenus par d’anciens responsables algériens en France, l’Algérie a sollicité l’aide de la justice française.
Suit aux instructions du président de la République portant sur l’enquête sur les causes de la pénurie de médicaments, les associations membres de l’Alliance nationale de lutte contre le cancer, à travers tout le territoire national, se félicite de cette décision.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a déclaré samedi soir qu’une enquête sur les raisons des ruptures de stock de certains médicaments dans les hôpitaux est en cours, lors d’une entrevue avec des représentants de la presse nationale, diffusée sur les chaînes de la Télévision et de la Radio nationales.
L’annonce de la création d’une instance d’enquête sur les signes extérieurs de richesse est diversement appréciée par les députés de l’Assemblée populaire nationale, entre ceux qui considèrent qu’il s’agit d’une énième instance de lutte contre la corruption et ceux qui insistent pour que l’Etat assure tranquillité et protection aux dénonciateurs qui pourraient faire l’objet de représailles.
Les grévistes soulèvent le manque des moindres outils nécessaires pour leur formation, dont les consommables, mais aussi les fauteuils dentaires et la dégradation du peu qui existe, ainsi que le non-fonctionnement du simulateur dentaire.