Lors d’une visite des autorités locales, hier à Ksar Chellala, cette importante daïra de Tiaret qui compte en son sein plusieurs communes, de nombreux projets ont été passés au peigne fin, notamment celui relatif à la construction d’un hôpital de 120 lits, ou l’aménagement d’un nouveau groupement scolaire.
Le wali de Tiaret a entrepris, ces derniers jours, une visite sur le terrain pour inspecter des travaux en cours de réalisation dont ceux liés aux infrastructures éducatives, le logement, et fatalement les problèmes d’alimentation en eau potable de la population de Tiaret en cet été caniculaire.
Le chef-lieu de wilaya, Tiaret, qui compte près de 400 000 habitants, dispose, officiellement, de 180 cafés ou autres établissements du genre. Des commerces qui obéissent à une règlementation stricte car impliquant la santé, la sécurité et la salubrité publiques nonobstant les impacts sur le voisinage et sur l’environnement.
Les institutions impliquées dans l’octroi de terrains fonciers (conservation foncière, cadastre, urbanisme, service technique de l’APC), entre autres, viennent d’être notifiées de la décision du tribunal administratif portant «annulation de la décision du cadastre portant affectation d’un lot de terrain de près de 539 m2 appartenant à la Sonelgaz au profit d’un particulier, entrepreneur de son état».
Un complexe sanitaire flanqué d’un laboratoire d’analyses médicales de pointe», tel est le projet initié par l’homme d’affaires, Bouzid Larbi à Tiaret.
Le tribunal pénal relevant de la cour de justice de Tiaret vient de traiter, cette semaine, deux affaires qui continuent de défrayer la chronique locale.
En marge des festivités liées au 61e anniversaire de la création, le 22 juillet 1962, de la police et celle de la fête de l’Indépendance, les autorités locales ont procédé à l’inauguration d’une 12e sûreté urbaine au niveau de la cité des 1900 logements sur les hauteurs de la ville.
Le centre d’enfouissement technique de Hamadia (ex Victor Hugo), situé à 70km au nord-est de Tiaret, vient d’être officiellement fermé par Ali Bouguerra, wali de Tiaret et ce en marge de sa visite à cette région.
Plutôt une sortie du tunnel qui se profile à l’horizon et dont tout un chacun ne peut que s’enorgueillir de voir cette lourde pathologie s’étoffer en générateurs et aussi en stations de traitements des eaux.
Les gardiens des réserves steppiques ou mises en défense de trois communes de la daïra de Kermès (Sidi Abderrahmane, Rosfa et Madna), sans salaires depuis sept mois, viennent de lancer un ultime SOS en direction des pouvoirs publics locaux, dont le wali, pour intercéder en leur faveur auprès du HCDS.
Vingt-deux ans après sa création en tant qu’établissement universitaire après un long passage en tant que centre, l’université Abderrahmane Ibn Khaldoun de Tiaret lorgne vers des perspectives autrement plus pointues avec la création d’une annexe de la faculté des sciences médicales dès la prochaine rentrée à l’automne 2023.
Beaucoup d’habitants de la ville de Tiaret, à des degrés différents, vivent un été 2023 des plus difficiles en matière d’approvisionnements en eau potable.
Un flop magistral a eu lieu mercredi en marge de la visite officielle du wali au niveau du centre équestre Emir Abdelkader communément appelé par les Tiarétis «petite jumenterie».
La soixantaine bien entamée, toujours alerte et plein d’allant, Lakhdar Chouikhi reste, pour beaucoup, le «monsieur vert de Tiaret» pour avoir officié non seulement dans l’onde locale «Radio-Tiaret» près de vingt années durant, travaillé comme forestier, président d’une association «Adam» de la promotion de l’agriculture de montagne mais aussi, pour avoir résisté aux aléas du temps et des hommes qui ne sont pas pour leur majorité portés sur l’environnement.
Enfant de Tiaret, ville dans laquelle il a grandi, étudié et vécu épisodiquement, Farid Benramdane, professeur des universités, directeur de recherche associé au Crasc et non moins président de la Société algérienne savante d’onomastique, a été l’hôte de l’association Es Salam El Akhdar pour un café-débat qui n’a laissé personne indifférent.
Une énième séance de signature solennelle de conventions entre agences de tourisme privées ainsi qu’une présentation sur tableau synoptique des sites et lieux privilégiés par de potentiels touristes à Tiaret ont été au programme de la journée nationale célébrée officiellement dimanche dernier en présence des autorités locales, notamment le wali de Tiaret, Ali Bouguerra.
Avec 100 tonnes de peaux de mouton récupérées durant les deux jours de l’Aïd par les équipes de l’Epic «Tiaret-Nadhafa», soit la moitié du tonnage collecté l’année dernière, l’entreprise citoyenne a réussi sa mission de salubrité publique pour laquelle il y eut une minutieuse préparation.
Un des trois dossiers proposés les 21 et 22 juin au menu de la deuxième session de l’APW a été celui de la santé. Un dossier lourd qui a valu une présentation somme toute sommaire par la commission santé, hygiène et protection de l’environnement pour dire l’état du secteur.
Les résidants du lotissement situé à proximité de la gare routière Ain Guesma, au sud de la ville de Tiaret, vivent un calvaire et cela depuis que l’insécurité s’est installée dans ce lieu fréquenté jour et nuit par des milliers d’usagers.
Climat délétère sur fond d’un malaise relationnel entre élus au niveau de l’assemblée populaire communale du chef-lieu de wilaya de Tiaret. Et pour cause, cette assemblée n’arrive pas à délibérer correctement ni à dégager de la sérénité pour booster la dynamique de développement. Pis encore, ça a dégénéré parfois en marge des deux derniers conclaves qui se sont terminés en queue de poisson.